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Pourquoi se former en Marketing digital ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Fredzone

Article réalisé en partenariat avec l’école française.

Le marketing digital est devenu incontournable dans la réussite de toute structure. Cependant, sa pratique exige des compétences généralement acquises lors de diverses formations. Voici les avantages dont bénéficient généralement les participants.

Acquérir de nouvelles compétences

Pour passer au statut de professionnel, une formation en marketing digital pourrait vous aider à obtenir les compétences nécessaires. Mis en place par des experts du domaine, ces programmes reposent sur différents modules dont la réalisation d’une étude de marché ou encore la définition des cibles de clients potentiels.

En outre, des modules sont souvent prévus pour familiariser les participants à l’utilisation des outils de marketing. Vous aurez alors l’occasion d’en apprendre davantage sur les rouages d’internet et des réseaux sociaux. Ces derniers étant d’ailleurs les principaux leviers d’acquisition de la publicité en ligne.

Les formateurs enseignent également les méthodes de gestion des données et d’interprétation des résultats d’une campagne marketing.

Il est à souligner que ces formations ne sont pas uniquement destinées aux débutants. En effet, certains professionnels peuvent approfondir leurs connaissances lors de ces programmes instructifs. En plus, le marketing digital évolue continuellement et chaque formation représente donc une aubaine pour actualiser vos compétences.

Mieux gérer son propre projet

En tant qu’entrepreneur, une formation en marketing digital, peut vous aider à mener à bien votre initiative commerciale. En effet, le pilotage de projets est souvent abordé lors de certaines séances. À la fin, vous saurez donc comment poser les bases pour la réalisation et la réussite d’une idée d’entrepreneuriat.

Ce type de formation pourrait également contribuer à revitaliser un projet en cours. En plus, si vous êtes en charge d’une entreprise déjà active, les compétences acquises seront utiles pour vos collaborateurs. Il vous suffira en effet de transmettre fidèlement vos nouvelles connaissances. Cela vous évitera aussi de solliciter les services onéreux des experts ou des agences spécialisées.

S’ouvrir au marché de l’emploi

L’univers digital étant en pleine croissance, les débouchés se multiplient de plus en plus. Avec une formation certifiée en marketing digital, vous augmentez évidemment vos chances sur le marché de l’emploi.

En effet, de nombreuses PME et grandes entreprises considèrent le monde digital comme un pilier essentiel pour l’évolution de leurs activités. Pour ce faire, ces structures mettent en place des départements spécialisés dans le marketing digital.

Cette tendance crée donc de nouveaux métiers et des opportunités de travail. La formation en marketing peut alors être considérée comme une option pour les personnes qui sont en quête d’orientation professionnelle. Dn plus, les connaissances supplémentaires peuvent aider un employé à monter en grade dans son entreprise actuelle.

Par ailleurs, le marketing digital reste accessible pour ceux qui désirent diversifier leurs compétences. Pour preuve, les formateurs n’exigent généralement aucun diplôme prérequis. En outre, un tel métier offre le choix entre le télétravail, le présentiel ou encore le freelance.

Être mieux rémunéré

La demande étant forte sur le marché du travail, les rémunérations sont constamment revalorisées pour attirer les professionnels. Pour les postes fixes, il est donc possible de bénéficier d’un salaire conséquent.

Cependant, les travailleurs en freelance pourraient plus en tirer profit. Ces derniers ont en effet la possibilité de négocier les contrats en fonction des besoins de chaque client. Ils ont également le droit de travailler sur plus d’un projet à la fois. En résumé, s’inscrire à une formation de marketing digital peut constituer un investissement rentable.

Orange ouvre son 12e Digital Center africain au Botswana

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Nous vous proposons cette excellente contribution de Boursier.com

(Boursier.com) — Orange a ouvert officiellement, le 11 novembre, à Gaborone (Botswana), son 12e ‘Orange Digital Center’. Cet écosystème -inauguré en présence de hautes autorités politiques et académiques du Botswana, de la Direction d’Orange Botswana et des membres du Comité exécutif d’Orange Afrique et Moyen Orient- est entièrement dédié au développement de compétences numériques et à l’innovation.

D’une superficie de 390 m2, il réunit les 4 programmes stratégiques du groupe Orange, à savoir : une Ecole du Code, un atelier de fabrication numérique FabLab Solidaire de la Fondation Orange, un accélérateur de start-up Orange Fab, soutenu par Orange Ventures Afrique et Moyen Orient, le fonds d’investissement du Groupe Orange.

L’ensemble des programmes est gratuit et ouvert à tous. Ils vont de la formation des jeunes au numérique dont 90% sont pratiques, à l’accompagnement pour les porteurs de projets en passant par l’accélération de start-up et l’investissement dans ces dernières.

Cette inauguration intervient après des ouvertures d’Orange en Tunisie, au Sénégal, en Ethiopie, au Mali, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, en Egypte, en Jordanie, à Madagascar, au Maroc et au Libéria.

Pourquoi Amazon va construire son siège africain au Cap

Nous vous proposons cette excellente contribution de Afriquinfos.com

Après une bataille judiciaire de plusieurs mois, un tribunal sud-africain vient d’autoriser le géant américain du E-commerce à construire son siège africain au Cap, sur un terrain que des activistes considèrent comme sacré.

Un tribunal du Cap a annulé ce mercredi 9 novembre 2022, la décision visant à suspendre la construction controversée du siège africain d’Amazon au Cap sur un terrain que des descendants des premiers habitants du pays, les Khoïsan, considèrent comme sacré.

L’autorité judiciaire estime que le militant représentant les groupes autochtones devant la justice, Tauriq Jenkins, n’était pas légitime à le faire et qu’il a « déformé le point de vue de certains représentants autochtones sans les consulter« .

Certains groupes khoïsan ont apporté leur soutien au projet de complexe sur un ancien terrain de golf pour un coût équivalent à 224 millions d’euros (4 milliards de rands), après que ses promoteurs ont accepté de bâtir un centre historique et culturel qui sera géré par les autochtones.

Mais le Conseil traditionnel autochtone Goringhaicona Khoi Khoin est opposé au projet approuvé par la municipalité. « Nous sommes profondément déçus« , ont pour leur part exprimé les opposants au projet dans une déclaration commune. « Nous ne pensons pas que les faits présentés au tribunal aient permis à ce dernier de rendre un jugement équitable« .

L’Afrique était le seul continent où Amazon n’avait aucune structure opérationnelle en place. Le géant du e-commerce. Le complexe d’un coût de 280 millions de dollars générera plus de 24 000 emplois dont 5 239 directs. Le conglomérat d’e-commerce bâtira ses locaux sur un terrain de 60 000 mètres carrés.

Il est clair que cette nouvelle promet de nombreux avantages économiques et sociaux pour l’Afrique du Sud. Elle arrive aussi dans le contexte pandémique qui a touché le pays plus que les autres nations africaines. L’économie sud-africaine n’arrive pas à se redresser. Et la métropole du Cap, particulièrement, est actuellement en mauvaise posture à cause de l’incendie de ce début de semaine.

Pourquoi l’Afrique du Sud à la place du Nigéria ?

Pour cette raison, la question du choix de l’Afrique du Sud soulève une interrogation : Pourquoi Amazon a-t-il outrepassé le Nigéria ? Au niveau de l’attrait d’investissement, ainsi que de la richesse, le Nigéria aurait été un choix évident. Cependant, le manque d’incitations fiscales, la mauvaise gouvernance et la gestion chaotique du change font fuir les grandes enseignes.

En l’occurrence, Amazon sert les habitants de plus de 120 pays, dont 17 pays africains. Toutefois, les achats sur Amazon passaient par les services postaux nationaux ou des partenaires privés en Afrique. Ce qui ne garantissait pas un service client optimal, qui était limité par l’absence de possibilité d’achat en ligne en Afrique. En somme, les Africains devaient se pourvoir de fonds électroniques à l’étranger pour utiliser les services Amazon.

Jusque-là, lorsqu’il s’agissait du marché africain, Amazon misait sur le cloud plutôt que sur le commerce. L’entreprise avait déjà hébergé son service Amazon Web Service (AWS) au Cap en 2017. AWS était accessible mondialement depuis les deux centres de données Teraco à Johannesburg. L’outil qui fournissait une connexion réseau dédiée depuis le site Amazon donnait l’accès aux centres de données sud-africains via une connexion privée vers Teraco. L’intranet AWS s’exécutait jusqu’à 10 Gbits/s.

Il est possible donc que la proximité des centres Teraco, ainsi que la stabilité du réseau électrique ont incité Amazon à s’établir en Afrique du Sud. Il est aussi probable que l’insécurité au Nigéria est un facteur prédominant dans la décision.

▷ Top 10 des livres de marketing digital à lire absolument !

Nous vous proposons cette excellente contribution de Webmarketing & co’m

S’informer et se former en marketing digital sont nécessaires aussi bien pour les débutants que pour les marketeurs aguerris qui souhaitent accroître leurs ventes et développer leur entreprise. Parmi les nombreuses solutions sur le marché, la lecture reste l’une des plus intéressantes pour bénéficier d’un apprentissage structuré. Pour vous aider, voici le top 10 des livres de marketing digital les plus pertinents…

Dans ce livre de 320 pages, les auteurs Julien Lamouret, Alexia Kuperman et Sonia Bennacer vous aident à mettre en place une stratégie de communication efficace grâce à une meilleure connaissance des techniques et des éléments spécifiques du webmarketing.

Formation webmarketingPublié aux Éditions Vuibert, vous apprendrez davantage sur :

  • La meilleure stratégie digitale influente et cohérente à mettre en œuvre ;
  • La performance digitale et la méthode adaptée pour l’évaluer ;
  • Les techniques à adopter pour être présent et améliorer sa visibilité sur les réseaux sociaux ;
  • Le marketing mobile, le marketing générationnel, le RSE, etc. ;
  • Les actions et astuces à retenir pour acquérir et convertir rapidement des prospects ;
  • La création de site web et les techniques à suivre pour améliorer votre référencement et votre visibilité.

Parce qu’il n’est pas toujours évident pour les débutants de comprendre le jargon utilisé dans le marketing digital, Marie-Alice Boyé a publié en 2019 « Le marketing digital pour les Nuls en 50 notions clés ». Spécialisé dans le marketing numérique depuis plus de 15 ans, l’auteur est particulièrement connu pour sa collection « pour les Nuls » qui compte parmi les meilleurs livres de tous les domaines confondus. Afin de s’adapter aux nouvelles exigences du marché, de nouvelles éditions sont régulièrement publiées par cette formatrice des entreprises, réputée dans le monde entier.

Grâce à ce livre, vous pouvez acquérir 50 notions de base pour connaître les différentes techniques, les actions à mener et les canaux à utiliser pour réussir vos campagnes. Vous pouvez approfondir vos connaissances en le complétant avec les autres livres de la collection « pour les Nuls ».

Soigner votre contenu web est primordial pour optimiser votre positionnement SEO et réussir votre stratégie de marketing digital. À travers ce livre, vous saurez comment améliorer la qualité de vos articles web en décodant quelques mécanismes du cerveau. Les techniques révélées vous seront favorables pour inciter les visiteurs à compléter un formulaire ou encore pour les séduire et les faire apprécier votre site Internet. En optimisant votre manière de rédiger, vous multipliez vos chances d’être visible dans les premières pages des moteurs de recherche. Par la même occasion, vous augmenterez également vos ventes.

Ce livre de 250 pages comprend huit parties permettant de savoir comment solliciter les six pôles du cerveau pour inciter à l’action, susciter des émotions et particulièrement l’empathie.

« Ces idées qui collent » a été écrit par Dan Heath, conférencier et auteur, et son frère Chip Heath, professeur de comportement organisationnel à la Stanford Graduate School of Business.

Dans ce livre, les auteurs rappellent que la simplicité est l’un des critères essentiels à la réussite de votre stratégie de marketing digital. Selon eux, une idée devient mémorable lorsqu’elle raconte une histoire, véhicule une émotion, est crédible, concrète, inattendue et simple.

À la fois drôle, révélateur et provocateur, cet ouvrage vous aide à mieux comprendre l’importance d’une idée.

Pour convaincre un prospect d’acheter vos services ou vos produits, vous devez le séduire par le biais d’un storytelling efficace. Cet ouvrage vous livre les étapes à suivre pour y parvenir. Avant de le rédiger, trouvez le fond et le déroulement de l’histoire, et pensez à un titre  captivant pour attirer l’attention de vos lecteurs. Afin de les inciter à passer à l’action, il suffit de glisser l’approche commerciale tout en finesse dans l’histoire.

Ce livre de 158 pages, paru aux Éditions Dixit, est écrit par Blake Snyder, consultant scénariste qui enseigne la scénarisation et la structuration des histoires.

Écrit par Grégoire de Montaigu, Renaud Vaillant, Willy Fontugne et François Scheid, ce livre de 290 pages présente les notions et termes utilisés dans le marketing digital. Vous en apprendrez également davantage sur le SEA, le SEO ainsi que les différents outils et stratégies à employer pour adopter la meilleure stratégie pour votre site web.

Cet ouvrage vous aidera à analyser les tendances ainsi que les données qui peuvent être exploitées en ligne.

Le Growth marketing vise à captiver l’attention, à retenir les prospects et les clients tout au long de leur parcours d’achat. À travers cet ouvrage de 224 pages aux Éditions Eyrolles, écrit par Romain Saillant et Yann Leonardi, vous découvrirez cette stratégie marketing prisée dans divers secteurs d’activités et en apprendre davantage sur le modèle AARRR (Acquisition, Activation, Retenir, Recommandation et Revenu).

Digital marketing 2020, un ouvrage écrit par Nicolas Deroualle, résume en 7 chapitres toutes les techniques qu’il faut connaître sur le e-marketing. Vous y retiendrez les conseils pertinents des spécialistes sur des problématiques digitales et sur les méthodes à suivre pour réaliser des campagnes innovantes.

Idéal pour les débutants, ce livre de 500 pages explique ce que vous devez effectuer étape par étape depuis la recherche de prospects jusqu’à la mise en œuvre de différentes stratégies.

Cet ouvrage de 296 pages a été écrit par Christophe Menani. Il expose les différents outils et les actions à mener pour s’adapter au marché, à l’offre et au contexte. Ce livre vous dévoile également les pièges à éviter et les étapes à suivre pour convertir vos prospects en clients.

Avec l’essor du digital, les entreprises doivent désormais être présentes sur le web pour vendre leurs services et leurs produits. Dans ce livre de 132 pages, Marion Giroudon vous révèle les différents canaux et techniques à utiliser pour optimiser votre présence en ligne : réseaux sociaux, SEO, communication avec les prospects et clients, analyse du trafic, etc.

Pour aller plus loin

N’hésitez pas à vous former sur le sujet. Ce parcours certifiant de formation webmarketing vous permettra de mettre en place une stratégie webmarketing efficace. Eligible au CPF, il vous permet de préparer notre certification « Développer son activité avec le webmarketing ».

Se former au marketing digital : l’importance des compétences et des métiers transverses

Nous vous proposons cette excellente contribution de BDM

Des compétences nécessaires pour faire carrière dans le digital

Selon la dernière édition du baromètre Croissance et Digital de l’ACSEL (l’association de l’économie du numérique), le digital contribue au chiffre d’affaires de 51 % des commerçants en France (+9 points vs 2021). « À l’heure post-COVID, le marketing et la communication digitale figurent devant tous les autres leviers de la communication, quels que soient le secteur et la taille de l’entreprise », explique Vincent Montet, qui dirige les MBA spécialisés de l’EFAP en Digital Marketing & Business (DMB), et vice-président de l’ACSEL.

Alors que les attentes des consommateurs ont évolué et que l’expérience client se réinvente, les marques ont besoin de talents pour les accompagner dans leurs projets, de la digitalisation de leur activité jusqu’à la transformation numérique de leur organisation. C’est le cas dans le luxe, qui a rattrapé son retard en la matière ces derniers mois. « Elle est la 1ère industrie à intégrer l’univers du web3, où s’entremêlent les mondes virtuels avec le metaverse et une traçabilité renforcée à travers l’utilisation des NFT et de la blockchain. »

Pour mieux comprendre les besoins des utilisateurs et appréhender toutes les facettes d’un monde en pleine mutation, il est nécessaire de rester en veille sur l’état du marché. Des compétences en digital et, plus largement, dans l’accompagnement de la transformation numérique des entreprises, sont également requises pour exercer dans ce domaine. « Il sera plus difficile pour un jeune diplômé ou un senior en reconversion de trouver un projet professionnel cohérent et épanouissant s’il ne présente pas ce type de compétences. »

C’est dans ce contexte que l’EFAP, qui a récemment obtenu la reconnaissance de l’État en intégrant la notion de « transformation digitale » dans son titre RNCP, vient également d’ouvrir en full-time le MBA spécialisé DMB doté d’une majeure dédiée au luxe, co-produit avec les autres MBA de l’école.

Des métiers de plus en plus transverses et hyperspécialisés

Pour réussir dans le webmarketing, il convient de bien connaître les besoins du marché et d’être en mesure de cartographier les différentes disciplines ainsi que les professions associées. Car le marketing digital s’impose de plus en plus par son hypertransversalité, c’est-à-dire la possibilité d’exercer un métier dit « traditionnel » mais dont une part importante des missions nécessite d’être formé aux outils du digital. Tous les secteurs sont concernés : adtech, edtech, agritech, fintech…

Si la liste des professions n’est pas figée dans ce secteur en mouvement permanent, Vincent Montet souligne que les métiers du marketing digital ont aussi tendance à devenir de plus en plus hyperspécialisés. « Nous évoluons aujourd’hui dans un environnement marqué par l’obsolescence programmée des expertises, avec une renaissance de métiers et des compétences tous les 6 mois à 1 an en fonction des révolutions et des technologies disruptives. »

4 grandes familles de métiers se démarquent actuellement dans cet écosystème :

  1. La création de trafic et la visibilité : il s’agit des fonctions liées au social media, à la performance, au marketing direct, avec l’objectif de rendre visible une marque, générer du trafic et de l’engagement, à travers l’analyse des données et des KPI.
  2. La gestion et le pilotage d’un produit digital : des applications aux robots, en passant par les interfaces homme-machine en magasin ou aux montres connectées… Tous ces devices sont orchestrés par les chefs de projet avec une vision centrée sur l’expérience utilisateur.
  3. La fidélisation et la relation client : c’est le retour en force de la satisfaction client, via la maîtrise du CRM, de la data, du contenu, de l’emailing, après des décennies de débats autour de la création de trafic et l’importance de la publicité.
  4. L’accompagnement de la transformation digitale : la digitalisation d’une activité peut concerner un lieu physique (magasin, restaurant, salon de coiffure, officine…) voire un processus (marque employeur, R&D…), et nécessite d’évaluer les bénéfices ainsi que les étapes pour la déployer.

Le fondateur et directeur des MBA DMB de l’EFAP, qui forme aux nouveaux métiers de la communication digitale, note que les récentes promotions se dirigent davantage vers les métiers de product owner et du growth hacking. Autre discipline prisée : les achats médias et digitaux sur l’ensemble des canaux, preuve de l’hypertransversalité des métiers du webmarketing.

Comment devenir un expert du marketing digital, en France ou à l’étranger

Pour devenir un expert dans ce domaine, l’EFAP propose plusieurs MBA spécialisés en digital marketing & business, avec des majeures pour vous permettre de vous spécialiser sur une thématique (art et culture, e-santé, beauté et cosmétiques, luxe), quelle que soit votre région. « Pour se former au marketing digital, on peut tout à fait choisir de suivre un programme du MBA DMB en fonction de son appétence régionale et de son choix de vie personnel », assure Vincent Montet.

Ainsi, vous avez la possibilité d’exercer l’une de ces fonctions dans la région de Lyon, connue pour son ancrage autour de l’intelligence artificielle ou de l’Internet des objets (IoT) ; de Lille, un territoire au cœur de la transformation de la grande distribution et du retail ; ou de Bordeaux avec son pôle autour du jeu vidéo et de la e-santé. Le plus : l’ouverture du campus de Santander, en Espagne, une plateforme internationale tournée vers les pays de l’Amérique du Sud avec des acteurs de référence dans le cloud, où vous pouvez suivre le MBA DMB de l’EFAP en full english.

Autre atout de ces MBA : le Label Digital Marketing School attribué au MBA DMB de l’EFAP par le groupement de 4 associations professionnelles phares du secteur : l’Alliance Digitale (qui réunit l’IAB France et la Marketing Mobile Association), la DMA (Data & Marketing Association), ainsi que le Collectif pour les Acteurs du Marketing Digital. L’objectif pour les apprenants : des ressources pédagogiques, un accès facilité aux entreprises et une employabilité valorisée sur le marché du travail.

Vous souhaitez en savoir plus sur les métiers du marketing digital ? Ne manquez pas la réunion d’information organisée par l’EFAP le jeudi 17 novembre de 12h30 à 13h30. La session sera co-animée par Vincent Montet, accompagné de Sophie Guignier, directrice adjointe, et Arnault Chatel, responsable pédagogique du MBA, et expert en IA, en transformation digitale et en social media.

S’inscrire à la réunion d’information de l’EFAP

Agadir donne rendez-vous avec le Salon africain d’e-commerce «E-Markets Expo»

Nous vous proposons cette excellente contribution de Aujourd’hui Le Maroc

La première édition du Salon africain d’e-commerce «E-Markets Expo» sera organisée à Agadir du 16 au 19 novembre prochain.
E-Markets Expo sera le premier Salon d’e-commerce englobant toute l’Afrique ayant pour but de créer un espace de rencontre entre des porteurs de projets e-commerce et des sociétés marocaines, africaines et internationales appartenant aux différents secteurs d’activité. Ledit Salon s’inscrit dans la politique de la transition numérique, la création de nouveaux emplois pour les jeunes et l’accompagnement des start-up et jeunes entrepreneurs.
À cet effet, l’événement sera sous forme d’expositions des porteurs de projets, des conférences aussi bien en présentiel qu’en distanciel se caractérisant par la présence des conférenciers spécialistes du domaine de l’e-commerce. Diverses formations se rapportant à l’e-commerce et au marketing digital seront également mises en place.
«Notre objectif est de connecter les entreprises, de promouvoir les solutions dans le domaine du digital et d’apporter des réponses ciblées aux problématiques et projets d’investissement à venir ainsi que d’assurer un espace propice pour échanger les expériences en présence d’un véritable réseau d’experts. Le Salon est une occasion de faire le point sur les tendances de demain et les innovations d’aujourd’hui», soulignent les initiateurs de cet événement.
Il va sans dire que le secteur de l’e-commerce au Maroc a connu un développement très rapide. Au cours de l’année écoulée, 20,7 millions d’opérations de paiement en ligne ont eu lieu, s’établissant à 7,7 milliards de dirhams (MMDH).
Le nombre des transferts électroniques est en augmentation de 45% par rapport à 28% l’année précédente en matière de la valeur globale des paiements électroniques réalisés. La crise sanitaire causée par la pandémie du Coronavirus a contribué au renforcement et à la prospérité de ce modèle d’affaires commercial. Selon une étude menée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications en 2020, 84% des Marocains vivant en milieu urbain confirment que les changements découlant de la pandémie concernant l’utilisation des moyens numériques ne disparaîtront pas et seront permanents.
Par ailleurs, le département de tutelle a lancé une série de projets pour accompagner le rythme de la digitalisation du secteur du commerce et en particulier les commerçants, à travers une série de projets. Il s’agit notamment de créer un carrefour pour accueillir et accélérer la croissance des entreprises émergentes dans le secteur de l’e-commerce afin de développer des solutions numériques adaptées aux besoins des commerçants. Cette croissance spectaculaire est soutenue par une connectivité plus large des Marocains qui ont accès de plus en plus à des services d’Internet haut débit et des smartphones à la portée de tous les budgets.

Ecommerce Fevad Covid

Le marketing digital est-il en voie de disparition ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de The Conversation Indonesia

À l’occasion du 21ᵉ Colloque du Marketing Digital organisé en Sorbonne les 8 et 9 septembre 2022, la question de sa disparition possible s’est posée. Avec les premiers développements du métavers, le marketing digital tel que nous le connaissons est menacé. Ainsi, les dépenses publicitaires mondiales dans le digital pourraient atteindre un plafond dès 2026 avec une croissance de « seulement » 6,8 %. Le marché serait-il donc arrivé à saturation ?

Certes, ces perspectives ne sont pas inéluctables. Cependant, pour faire mentir les prévisions, les acteurs du secteur doivent désormais relever de nombreux défis d’ordre éthique, écologique, juridique et commercial.

Santé publique et fraude

En ce qui concerne l’éthique, les problématiques de santé publique sont au cœur des récents débats. Les problèmes d’addiction ou de dépression liés aux réseaux sociaux sont pointés du doigt depuis longtemps. Les bulles de filtres algorithmiques qui enferment l’internaute dans ses croyances sans possibilité de changer d’avis sont souvent dénoncées.

Par ailleurs, certaines pratiques sur le web posent question. Nous citerons la publicité digitale qui souffre de façon structurelle de fraudeurs à l’inventivité sans limites. Création de faux comptes, usage de bots, faux avis client… toutes ces techniques devraient coûter 697 milliards de dollars au marché en 2022. L’industrie des faux influenceurs et faux followers représenterait 1,3 milliards de dollars par an. S’ajoute à ces chiffres, la perte de confiance, notamment des « millennials », envers les influenceurs… Quelques initiatives comme la certification RSE (responsabilité sociétale des entreprises) des influenceurs visent à regagner cette confiance, mais le mal semble déjà fait…

Sobriété et empreinte carbone

À l’heure de la sobriété énergétique, il semble en outre que le marketing digital ne soit pas vraiment écoresponsable… Les impacts écologiques du web sont réels. En 2019, le numérique représentait 4 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Toutes les données stockées ne sont pas imputables au marketing digital, mais la part de celui-ci est importante.

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La loi REEN (visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France et parue au Journal officiel du 16 novembre 2021), les data centers verts, la calculatrice de l’empreinte carbone des campagnes digitales, les initiatives pour réduire cette consommation sont nombreuses mais encore timides.

Coopération et protection des données

Sur le plan juridique, la difficulté de créer de vrais partenariats entre acteurs aboutit à une suite ininterrompue de conflits : procès perdu de Google contre les éditeurs réclamant la rémunération de leurs articles, guerre Facebook-Apple concernant le tracking publicitaire… Le chantier de la protection des données renvoie le marché à ses propres faiblesses. La fin des cookies tiers publicitaires pour des raisons de respect de la vie privée le déstabilise. Une multitude de solutions technologiques est imaginée, passant de la Sandbox de Google (une pénalité pour les sites qui abusent des techniques de référencement), aux identifiants uniques.


Read more: La fin des « cookies tiers » ne répond pas au besoin de contrôle des internautes sur leurs données


Cependant, le marché peine encore à trouver une solution unifiée et compréhensible pour les annonceurs au point que l’on parle aujourd’hui de « cookie apocalypse » renforcée par la tendance des consommateurs à refuser les cookies (près du tiers des Français, selon une étude de l’entreprise technologique Seedtag).

Snack content, baisse de l’engagement

Enfin, les défis d’ordre commercial touchent au cœur même le modèle économique du marketing digital fondé sur la publicité. En effet, celui-ci a conduit à des ratés. Preuve en est le réseau social Snapchat qui va supprimer près de 20 % de son effectif suite au ralentissement de la publicité numérique, principal revenu de l’application.

La baisse de l’engagement (clics, commentaires, partage) est parfois spectaculaire. Twitter génère un engagement de 0,05 % en moyenne. En outre, 44 % des consommateurs utilisent un bloqueur publicitaire (AdBlock). Selon le Bernstein Research, la tendance du « Snack content » (contenu de quelques secondes diffusé sur des réseaux sociaux comme TikTok) empêche les publicités de s’installer car les formats sont beaucoup trop courts pour créer attention et adhésion.

Que faire ?

Lors de notre intervention au 21e Colloque du Marketing Digital, nous avons tenté d’esquisser des axes d’amélioration possible pour faire face à ces nombreux défis. Nous en avons notamment relevé trois :

  • la stabilité : depuis son lancement, Google a connu 20 mises à jour majeures de son algorithme. À chaque mise à jour, les sites Internet doivent s’adapter pour ne pas perdre leurs positions dans les premières pages du moteur. Les injonctions paradoxales (comme publiez tous les jours sur votre blog mais n’utilisez pas d’outils d’automatisation), les fermetures arbitraires de comptes sur des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter induisent un sentiment de dépendance à des acteurs qui peuvent décider du jour au lendemain de votre mort commerciale ou sociale. Un environnement plus stable permettrait ainsi de concevoir des stratégies de marketing digital moins exposées à ces changements.
  • la pédagogie : La complexité accrue du marché, à cheval entre le marketing et l’informatique rend nécessaire des programmes de formation en libre accès pour les acteurs. Des initiatives existent, à l’image des ateliers numériques proposés par Google ou Facebook, mais elles restent trop parcellaires au regard de la sophistication des modes d’achat. Nous prendrons notamment l’exemple du programmatique (un mode d’achat d’espace en temps réel qui ressemble à ce qui est pratiqué en bourse) dont les différents types d’enchères obligent les directeurs marketing à maîtriser les pratiques : en effet, le programmatique représente 64 % du marché de la publicité en ligne.
  • Enfin, l’interopérabilité : les acteurs du marketing digital travaillent, de plus en plus, en silo. Messenger ne communique pas avec Gmail. Partager une publication LinkedIn sur Twitter n’est pas prévue dans l’interface de LinkedIn. Cependant, cette prédominance d’écosystèmes fermés devrait se heurter rapidement à la volonté du législateur d’imposer des collaborations.

Déjà pratiquée en Chine, l’interopérabilité, ou la capacité de systèmes, unités, matériels à opérer ensemble) fait l’objet d’une loi qui va en effet entrer en vigueur dans l’Union européenne, le DMA (ou Digital Market Act). Ce texte va tenter de limiter les pratiques anticoncurrentielles et d’interdire certaines pratiques comme les applications préinstallées.

Ces trois impératifs pourraient décider de la survie du marketing digital face à un Web 3.0 de plus en plus conquérant et qui ne s’embarrassera pas des « vieux » acteurs du digital. Sans réponse à ces enjeux, Meta-Facebook, Google ou l’ensemble des réseaux sociaux tels que nous les connaissons pourraient alors être balayés par des sociétés issues de la blockchain, des cryptomonnaies et des jetons numériques non fongibles (NFT).

Cfao retail veut doubler le parc de Carrefour en Afrique de l’ouest

Nous vous proposons cette excellente contribution de LSA

La branche distribution du groupe de négoce principalement automobile et pharmaceutique CFAO, détenue par le fonds d’investissement de Toyota, Toyota tsusho corporation, a décidé d’accélérer son développement dans les trois pays d’Afrique francophone ou elle opère. La Côte d’Ivoire, où elle a démarré en 2015, le Cameroun et le Sénégal. « Nous voulons doubler notre parc d’ici à 2024″, a indiqué Jean-Christophe Brindeau (photo ci-dessous), le directeur général de cette activité, lors d’une conférence de presse à Paris mardi 18 octobre, sur laquelle LSA reviendra plus en détail dans de prochains articles.

 

Une population qui va presque doubler en 30 ans

En 7 ans, la branche qui réalise aujourd’hui environ 200 millions d’euros de chiffre d’affaires HT avec 23 magasins a pu roder son modèle et surtout valider la pertinence du concept discount de son partenaire Carrefour (avec qui il exploite une joint-venture majoritaire), Supeco, sur lequel ce spécialiste du continent africain mise pour passer la vitesse supérieure. Sur les 23 nouveaux magasins que CFAO Retail envisage d’ouvrir d’ici à 2024, 13 devraient être des Supeco. Le concept qui mixte soft discount et cash & carry se révélant particulièrement efficace pour séduire les classes moyennes émergentes de ces pays où seulement 30 à 40% des populations ont des revenus suffisants pour fréquenter ce type de magasins et les supermarchés. Le potentiel reste considérable avec 2,1 milliards d’habitants attendus en Afrique d’ici à 2050, contre 1,2 milliard aujourd’hui selon les dernières prévisions d’Ecofin.

 

Fin 2024, CFAO retail espère exploiter 21 magasins en Côte d’Ivoire, 13 au Cameroun et 12 au Sénégal, avec 20 unités Supeco au total pour un chiffre d’affaires compris entre 300 et 400 millions d’euros. A date, la filiale africaine de Toyota tsusho corp, gère 13 magasins en Côte d’Ivoire, 6 au Cameroun et 4 au Sénégal, dont 2 hypers Carrefour (pour environ 70 millions d’euros de CA), 14 supermarchés Market (100 M€ de CA) et 7 Supeco (30 M€).

 

La branche distribution emploie 2100 employés, dont une trentaine en France et 12 expatriés et indique qu’elle arrivera à l’équilibre en Côte d’Ivoire dès cette année et au Cameroun l’an prochain. Elle examine aussi, selon Jean-Christophe Brideau, « la possibilité de se développer dans d’autres pays limitrophes des 3 implantations actuelles » et n’écarte pas une expérience en Afrique anglophone.

Pour mémoire un autre acteur français, Auchan, est aussi très actif sur la zone. Aux dernières nouvelles, il compterait désormais 37 magasins au Sénégal (avec du e-commerce et des drives) et déjà 7 points de vente en Côte d’Ivoire. Mais le distributeur nordiste qui s’y développe en mode 100% intégré ne souhaite pas s’épancher sur ses projets en Afrique. On lui prête l’intention néanmoins d’ouvrir assez rapidement des hypers, à l’image des 2 Carrefour qu’exploite Cfao Retail dans 2 de ses 3 centres commerciaux Playce.

auchan senegal

Comment créer une photo de couverture Facebook ?

Si vous détenez un compte Facebook, vous avez sans aucun doute entendu parler de la photo de couverture. Mais une photo de couverture Facebook, c’est quoi exactement ? Aussi nommée image de fond Facebook ou bannière Facebook, elle représente l’élément (image ou vidéo) située dans la partie supérieure de votre page, plus précisément au-dessus de votre photo de profil.

Bon à savoir, créer une photo de couverture Facebook n’a jamais été aussi simple et rapide avec les outils de création gratuits en ligne.

Faire une photo de couverture Facebook gratuitement

À l’instar de la photo de profil, la photo de couverture est un excellent outil de communication. Les avantages d’utiliser cette bande publicitaire sont nombreux. Néanmoins, il ne suffit pas d’élaborer n’importe quel visuel : il convient de bien se renseigner sur la création d’une belle image de fond Facebook.

User d’un outil de création graphique gratuit en ligne

Désormais, il est possible de créer soi-même son propre bandeau Facebook à l’aide d’un outil de création. Plus besoin de s’attarder à peaufiner votre image ! D’autant plus que Adobe Express propose la personnalisation d’un modèle de bannière en seulement quelques minutes.

Accédez à toutes les fonctionnalités dont vous avez besoin pour personnaliser le modèle de bannière choisi  (photos, logos, icônes, polices personnalisées, etc.).

À noter qu’il est tout de même possible de faire une photo de couverture à partir d’une page blanche.

Que faut-il mettre sur sa photo de couverture Facebook ?

changer facebook cover

Un visuel unique qui ne peut être dissocié de la page à laquelle il appartient est préférable. Outre l’aspect design, il est important pour un fond d’écran Facebook de compter sur un contenu pertinent pour renseigner uniquement les informations nécessaires.

Du fait de son importance numérique, la photo de couverture Facebook est utilisée comme première impression. Par conséquent, faites en sorte qu’elle reflète instinctivement le bon message que vous souhaitez véhiculer sur :

  1. Qui vous êtes (identité, personnalité, parcours, etc.)
  2. L’univers que vous souhaitez partager avec les autres membres
  3. La valeur ajoutée de votre compte

Enfin, elle est un réel avantage pour améliorer son personal branding.

Comment changer sa photo de couverture sur Facebook ?

Changer une bannière sur Facebook n’a rien de bien compliqué, il suffit de :

  1. Se connecter à Facebook avec les détails de votre compte
  2. Cliquer sur votre photo de profil en haut à droite de Facebook
  3. Aller sur l’icône appareil photo dans le coin inférieur droit de la photo de couverture
  4. Cliquer sur « Sélectionner une photo » et sélectionner « Importer une photo » pour importer une photo depuis votre ordinateur ou smartphone
  5. Accéder à la galerie photo de votre support de communication
  6. Redimensionner si besoin votre photo en cliquant dessus et en la déplaçant vers le bas ou vers le haut
  7. Cliquer sur “Enregistrer les modifications »

Par ailleurs, il est conseillé de changer régulièrement votre bannière pour dynamiser votre compte Facebook (à chaque changement de saison, promotion d’un produit ou d’un service pour son e-commerce, annonce d’une promotion).

Comment ajouter une bannière vidéo sur Facebook ?

Ajouter une vidéo de couverture Facebook est une option qui permet de se démarquer des autres utilisateurs. Elle apporte à coup sûr plus de créativité et de dynamisme à votre page. Aussi, elle permet de gagner en efficacité au niveau de la diffusion de votre message.

Ajouter une bannière vidéo Facebook : les différentes étapes

  1. Rendez-vous sur votre page Facebook
  2. Cliquer sur l’icône appareil photo dans le coin inférieur droit de la photo de couverture
  3. Aller sur “Importer une vidéo” et importer une vidéo depuis votre ordinateur ou smartphone
  4. Repositionner la vidéo si besoin
  5. Cliquer sur « Enregistrer les modifications » et publier la vidéo

Pour information, la vidéo se lance automatiquement à l’arrivée de l’utilisateur sur votre page. D’ailleurs, le son est coupé par défaut mais il peut être activé par l’utilisateur. Aussi, en cliquant sur le bandeau Facebook cela permet d’afficher la vidéo en plein écran.

Résumé : les points clés à retenir pour créer une image de couverture Facebook

En conclusion, faire une photo de couverture peut sembler compliqué. Il est vrai qu’on peut vite se sentir dépassé par le choix des dimensions, du design ou encore de la typographie. Ne cédez pas à la panique !

Pour vous accompagner dans la création de votre bannière Facebook, il existe des générateurs de bannières gratuits pour trouver l’inspiration avec des modèles conçus par des experts. Vous pouvez dès lors les personnaliser à votre guise.

 

créer couverture de Facebook

E-commerce accéléré, la Covid a révolutionné le secteur

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Nous vous proposons cette excellente contribution de Investir

Marc Lolivier , Délégué général de la Fédération e-commerce et vente à distance (Fevad)

Comment la pandémie de Covid-19 a-t-elle bouleversé l’e-commerce, à la fois du côté des consommateurs et du côté des entreprises du secteur ?

Le commerce en ligne se développe de façon structurée et régulière depuis vingt ans, et la crise sanitaire a accéléré le mouvement. Il y a eu une rupture. Les confinements successifs ont conduit à un transfert des habitudes de consommation, du magasin vers Internet. La courbe de progression était orientée vers le haut et, en 2020 et en 2021, elle est montée à la verticale. Internet a permis à des millions de personnes de continuer à consommer, se nourrir, s’instruire, s’équiper et se divertir. Les magasins et les commerces ont pu maintenir leur activité. Et derrière le commerce, c’est la production qui a pu se poursuivre. L’e-commerce a donc joué un rôle d’utilité sociale et d’amortisseur économique très important. Du côté des entreprises, il y a eu également une très forte accélération. Les enseignes n’ont pas découvert l’e-commerce avec la crise sanitaire, mais elles ont accéléré leur transformation en multipliant les investissements et en se développant plus rapidement sur la Toile, car c’était le seul moyen de continuer leur activité. Sans ce débouché, les conséquences auraient été dramatiques pour les magasins et les enseignes. Rappelez-vous, tout ce qui n’était pas «?essentiel?» était fermé. Les personnes qui voulaient consommer étaient obligées de passer par le Web. La croissance des ventes sur Internet des enseignes physiques, comme Leroy Merlin, Boulanger, Fnac Darty ou Ikea, a été quatre à cinq fois plus importante que la moyenne de l’e-commerce. Normal, puisque leurs magasins tournaient au ralenti lorsqu’ils n’étaient pas fermés pour cause de confinement. Même l’alimentaire a accéléré, car, au plus fort de la crise, les gens étaient parfois inquiets à l’idée de se rendre dans les magasins et ils ont commandé en ligne. Aujourd’hui, les clients retournent dans les magasins, il y a un phénomène de vases communicants. Les ventes en ligne, au deuxième trimestre 2022, sont aujourd’hui en recul par rapport à la période exceptionnelle de la Covid, mais elles sont en hausse de plus de 20?% en moyenne depuis 2019, soit avant la pandémie. Un palier a été franchi. Dans l’e-commerce, le cap des 100?milliards d’euros, pour les produits et services en France, a été dépassé. Mais en même temps, seulement 14?% du commerce de détail se fait sur Internet. Il y a donc encore une grande marge de progression. Ce secteur crée des emplois et va continuer à le faire.

Depuis la crise sanitaire, y a-t-il de nouveaux ­consommateurs ?

Des personnes qui ne consommaient pas sur Internet y sont venues, contraintes et forcées en raison de la crise sanitaire, notamment dans l’alimentaire. Plus de la moitié des nouveaux clients ont conservé leurs habitudes sur Internet et ils mixent les deux créneaux, en ligne et en s. Comme ils ont acheté sur la Toile et que cela s’est bien passé, ils y sont revenus. Une partie des clients, notamment parmi ceux qui n’achetaient pas sur Internet avant la crise, s’est tournée assez naturellement vers les enseignes de magasins où, avant, ils avaient l’habitude d’aller physiquement. Les taux de progression des ventes sur Internet ont atteint 200 % pour certains grands magasins généralistes, notamment pendant les périodes de confinement. Les consommateurs ont parfaitement intégré la dimension multicanale. On passe facilement de l’un à l’autre de manière naturelle. On va sur Internet pour se renseigner. Puis, on se rend en magasin où l’on n’est pas obligé d’acheter. On rentre chez soi, on réfléchit et on finit l’achat sur Internet. Il y a de plus en plus de click and collect, c’est-à-dire de personnes qui achètent sur le Web et se déplacent pour aller chercher le produit. Il existe aussi l’e-réservation. Par exemple, dans la mode, on réserve un vêtement et on va l’essayer en magasin. Plusieurs grandes enseignes de mode ont développé avec succès ce service. Lorsqu’on achète en magasin, il n’est plus rare que le vendeur vous propose de vous envoyer le ticket de caisse ou la facture sur votre adresse e-mail. Cela économise du papier, tout en facilitant la vie du client. Enfin, lorsqu’on passe chercher sa commande en magasin, on en profite aussi, souvent, pour acheter un produit supplémentaire. Les magasins l’ont bien compris. C’est la raison pour laquelle ils ont beaucoup investi ces derniers temps dans le click and collect, qui permet ainsi d’attirer la clientèle en magasin. Bref, avant, les deux mondes évoluaient en parallèle et on avait parfois tendance à les opposer. La crise sanitaire n’a fait que confirmer la complémentarité entre les canaux. Elle a consacré la notion de commerce unifié. Les Français souhaitent que leur magasin ait un site Internet. C’est désormais devenu le prolongement de la boutique physique. Internet a réinventé l’expérience d’achat en magasin. C’est un nouveau parcours client qui s’offre au consommateur. Ce dernier passe du magasin à Internet ou d’Internet au magasin, en allant bien sûr sur son smartphone au cours d’un même achat. C’est ce qu’on appelle le parcours client « sans couture ». Tout est désormais interconnecté pour faciliter la vie du client.

Les ventes par le smartphone ont-elles monté en puissance ?

Le téléphone portable est devenu incontournable. Le trafic sur le mobile sur les grands sites d’e-commerce est supérieur à celui sur l’ordinateur. C’est devenu un outil essentiel. Les consommateurs utilisent de plus en plus le smartphone pour leurs achats, y compris en magasin. C’est l’e-commerce rêvé. Il est ouvert 24 heures/24 et il est avec nous en permanence. C’est devenu le personal shopper préféré des consommateurs. On l’utilise dans la rue, pour savoir si le magasin est ouvert, et en boutique, pour comparer. On l’utilise aussi beaucoup chez soi, car il est plus facile d’utilisation que l’ordinateur, il est souvent connecté en permanence. Il y a eu également un fort développement des applications, et les améliorations en matière de paiement en ligne ont contribué à en démocratiser l’usage. Payer sur Internet n’est plus un frein à l’achat, mais, pour cela, il a fallu renforcer les mesures de sécurité, afin de rassurer les consommateurs et notamment parmi les plus seniors, qui hésitaient encore au moment de payer. Les e-commerçants et les banques ont su développer de nouveaux outils permettant de répondre à cette attente en matière de sécurité, tout en assurant une certaine fluidité dans l’acte d’achat sur Internet. D’abord, en introduisant la validation du paiement par un code SMS, et, depuis quelques mois, par l’application bancaire. Depuis trois ans, les chiffres de la fraude sont en baisse, selon la Banque de France, et le commerce en ligne continue de se développer. On va donc dans la bonne direction.

Les groupes de distribution ont-ils beaucoup investi dans l’e-commerce ?

Ils ont massivement investi. La crise de la Covid les a conduits à accélérer dans le marketing, les infrastructures logistiques et les recrutements de compétences dans le numérique. Je suis très confiant dans l’avenir de l’e-commerce. Quand une entreprise investit 300 à 400 millions d’euros dans un centre logistique, elle ne l’arrête pas du jour au lendemain. On est dans un phénomène de mutualisation. Plus on a de clients, plus on a de commandes, plus on peut investir dans la qualité de service et dans les innovations, qui sont très importantes dans ce secteur. Par exemple, l’intelligence artificielle aide beaucoup la logistique. Elle permet plus d’efficacité pour gérer les stocks et les livraisons. De même pour la robotisation des centres logistiques. En outre, il existe de nouvelles machines 3D, qui permettent des emballages sur mesure, afin d’économiser le plastique et le carton. Un autre point important est que ces nouveautés ont un impact positif sur l’environnement. Par exemple, l’emballage d’origine réalisé par le fabricant peut suffire, et cela évite de suremballer un produit peu fragile avec un emballage d’expédition. Cela permet aux entreprises de faire des économies en matières premières et en transport. Autre exemple d’innovation, la réalité augmentée permet de visionner en 3D des meubles chez soi ou des vêtements avant de les acheter. Vous faites un selfie et vous portez virtuellement le vêtement pour savoir s’il vous va bien avant de l’acheter.

Qu’en est-il du marché de la seconde main ?

C’est un vrai phénomène majeur dans la consommation, qui est aussi poussé par des sites Internet spécialisés. Cette offre de seconde main est en train d’être généralisée par tous les sites. Beaucoup de marques le font. Quatre-vingts pour cent des cybershoppers ont acheté ou vendu un produit sur Internet. C’est une tendance majeure, qui va bien au-delà d’une simple mode. Cela change le rapport à l’objet. Avant, on achetait pour posséder. Aujourd’hui, on achète pour l’usage. C’est un vrai changement dans le rapport à l’acte consumériste. On le voit avec la location. On est moins intéressé par le fait d’être propriétaire de l’objet que par le fait de pouvoir l’utiliser. Des grandes enseignes de la distribution, comme Decathlon, se sont lancées sur cette nouvelle offre. Le modèle économique de la location devrait inciter les fabricants à produire des objets qui durent le plus longtemps possible, notamment en renforçant leur réparabilité. Plus longtemps le produit sera en bon état de marche, plus on pourra le louer. En matière de RSE [responsabilité sociétale des entreprises], la fabrication et l’usage ont un très gros impact carbone. Donc, l’impact positif de la location sera élevé et structurant. Tous les secteurs se penchent sur la question. Cela touche aussi bien l’automobile que l’équipement de la personne ou de la maison, sans parler de la fameuse perceuse, dont on n’a pas besoin tous les jours ! C’est bon pour la planète.

Avec l’inflation galopante, l’e-commerce est-il avantageux ?

L’e-commerce touche 42 millions de Français. Ce sont les mêmes consommateurs que ceux qui vont en magasin. Les Français sont touchés dans leur pouvoir d’achat par l’inflation et ils sont donc de plus en plus souvent amenés à arbitrer entre leurs différents achats. L’e-commerce a cette caractéristique qu’il est soumis à une concurrence permanente et sans frontières. Avec Internet, vos concurrents en France et dans le monde sont toujours à portée de clic. Une étude a prouvé que le canal e-commerce est moins touché par l’inflation, car la comparabilité est plus forte. En outre, l’achat sur Internet est plus réfléchi. On gère mieux son panier. On visualise sa liste de courses et, d’un simple clic, on peut supprimer des produits. C’est plus facile que d’enlever, lorsqu’on est dans le magasin, un produit du chariot.

Quels sont les défis que les grandes entreprises doivent relever ?

Les grands généralistes sont pour beaucoup devenus des acteurs majeurs dans l’e-commerce. D’une manière générale, ils sont aujourd’hui confrontés à une double révolution : d’un côté, la transition numérique et, de l’autre, la transition environnementale. Une des grandes difficultés, c’est que ces deux transformations majeures, qui sont bien plus liées entre elles qu’on ne le pense, doivent être menées de front. Même si des synergies indéniables existent entre elles, cela suppose la mobilisation de ressources au sein des entreprises, beaucoup d’investissements et d’innovations. Cela justifie aussi le besoin d’une vraie politique publique d’accompagnement, car, au-delà de l’enjeu de compétitivité pour ces entreprises, c’est aussi l’avenir de notre économie qui est en jeu.

La France est-elle à la hauteur en termes d’innovations ?

Les Français sont très forts dans la retail tech. Nous sommes un des pays européens qui comptent le plus grand nombre de licornes, et une grande majorité d’entre elles sont en lien avec l’activité e-commerce et rayonnent dans le monde entier. Nous avons un excellent écosystème. Il vient nourrir avec sa créativité les grands groupes, qui avancent plus vite grâce aux start-up. Dans l’e-commerce, trois grands domaines coexistent : le marketing, le paiement et la logistique. Il y a beaucoup d’innovations dans ces trois domaines avec l’intelligence artificielle, qui permet d’optimiser la performance, la qualité de service ou encore la sécurisation des transactions. L’innovation est également très présente dans la RSE. Par exemple, dans la logistique, avec l’emballage consigné retourné par la poste. On reçoit son paquet, on conserve l’emballage, on le plie et on le renvoie par la boîte aux lettres. L’emballage peut ainsi être réutilisé des centaines de fois. Cette innovation a été lancée par deux start-up françaises. Plusieurs grands groupes ont décidé de proposer ce service à leurs clients. Idem pour la livraison chez ses voisins. Cette solution proposée par des start-up est également en train de se développer. Enfin, l’innovation peut aussi servir à accompagner les petits acteurs à l’international. C’est une dimension très importante d’Internet qui permet de se développer hors de ses frontières sans beaucoup investir. Internet offre aujourd’hui pas mal de solutions aux PME, par exemple avec la start-up Weglot, lauréate 2022 du concours Fevad/KPMG, qui permet de traduire instantanément et à moindre coût votre site dans toutes les langues. Une raison de plus pour se lancer à l’international.

Quels sont les avantages en matière de RSE ?

L’e-commerce présente un bilan carbone tout à fait intéressant. Dans une très large majorité des cas, les Français utilisent leur voiture pour faire les courses, sauf dans les centres des très grandes villes. Avec Internet, vous avez une camionnette qui fait sa tournée avec une centaine de produits pour plusieurs dizaines de personnes et elle va optimiser son parcours, ce qui fera économiser du carburant et du CO2 et optimisera le modèle économique de l’entreprise de transport. Or, selon nos études, on sait que 80 % des personnes livrées auraient pris leur voiture et parcouru plusieurs kilomètres pour se déplacer en magasin. L’e-commerce permet donc de mutualiser le transport. L’intelligence artificielle est également de plus en plus souvent utilisée pour livrer au bon moment et éviter de revenir une deuxième fois. L’e-commerce aide aussi à lutter contre la fracture territoriale, en permettant aux personnes résidant dans les zones rurales d’avoir accès à la même offre que celles habitant en plein centre de Paris. Cela représente un réel intérêt en matière de désenclavement et d’aménagement des territoires.

Et l’exploitation des data, n’est-ce pas un problème ?

C’est un vrai sujet. Les personnes demandent de la transparence vis-à-vis des données. Il faut être très vigilant. Les lois sont de plus en plus strictes à ce sujet, et les règles ont été renforcées. Les données, c’est le carburant de l’économie numérique. Le jour où les gens n’ont plus confiance, c’est la fin de l’économie numérique. Les entreprises doivent maintenir un lien de confiance avec leurs clients sur ce sujet. Il faudra continuer à essayer de réduire le besoin en données personnelles, y compris en anonymisant les données, lorsque cela est possible. Il existe une tendance à concevoir des algorithmes, qui limitent l’exploitation des données personnelles. C’est une piste intéressante sur laquelle les entreprises doivent continuer à travailler.

La Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) a réfléchi à de nouvelles mesures à prendre dans l’e-commerce. Pouvez-vous nous en parler ?

Oui, ces mesures s’articulent autour de trois grands enjeux : la compétitivité, l’écoresponsabilité et l’inclusivité. La compétitivité de nos entreprises, d’abord. Nous avons un vrai savoir-faire en France dans le domaine de l’e-commerce. Le marché français s’est créé autour de pure players,des entreprises créées sur Internet, qui ont été les pionnières. Puis, sont arrivées des entreprises de la distribution physique. La compétence des Français dans l’e-commerce est reconnue à l’international dans un secteur pourtant très concurrentiel. Nous sommes aujourd’hui le deuxième marché en Europe, ex aequo avec l’Allemagne, derrière le Royaume-Uni, mais très loin devant nos autres voisins européens. Nous devons nous assurer que nos entreprises puissent rester compétitives, créer de la valeur et créer des emplois. Ensuite, il y a aussi un vrai sujet autour de la protection de l’environnement. L’e-commerce, comme toute activité économique, a un impact environnemental. Il est de la responsabilité des entreprises du secteur de faire le maximum pour essayer de réduire cet impact. C’est une demande des clients, des collaborateurs et, plus généralement, de la société. Cet effort de la part des entreprises doit être encouragé et accompagné par des mesures de soutien de la part des pouvoirs publics, par exemple dans le verdissement des flottes, la qualité environnementale des entrepôts ou encore la baisse de la TVA dans la seconde main, etc. Enfin, la numérisation du petit commerce reste aussi un enjeu majeur. Les grands groupes ont beaucoup investi dans la numérisation de leur offre pour répondre aux nouvelles attentes de leurs clientèles. Les petits commerçants, producteurs et artisans ne doivent pas être les oubliés de la révolution numérique. Ils doivent au contraire utiliser ces nouveaux outils comme levier de croissance et d’expansion de leur zone de chalandise. Là aussi, des mesures de soutien et d’accompagnement sont nécessaires. Beaucoup de PME ont franchi le pas à l’occasion de la crise sanitaire. Il faut donc encourager celles qui sont déjà engagées dans cette voie et inciter les autres à le faire. Il faut que nous parvenions à faire rimer proximité et modernité dans le commerce. Cela fait aussi partie des propositions que la Fevad a souhaité adresser aux pouvoirs publics.

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