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L’importance d’une stratégie digitale efficace pour une entreprise

Nous vous proposons cette excellente contribution de Wazatech

L’élaboration d’une stratégie digitale est devenue un déterminant essentiel de la croissance des entreprises.

Si l’opportunité d’un tel projet n’est plus à démontrer, il importe de capitaliser sur son efficacité et sa pertinence. Autrement, l’entreprise ne pourra atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.

Comment mettre en place une approche digitale efficace qui génère les résultats escomptés ?

Définir les cibles pour une stratégie digitale efficace

Une stratégie numérique qui se veut pertinente est orientée « user centric ». Concrètement, pour qu’une politique digitale ait du sens, il faut identifier clairement les personnes auxquelles elle est destinée.

Pour l’entreprise, cela revient à déterminer de façon précise ses internautes, ses prospects, ses clients, etc. L’idée est que sa cible soit au cœur de sa stratégie digitale.

Pour définir ces cibles, il faut établir des profils de buyer personas. La meilleure manière d’y parvenir est d’être pragmatique en évitant au maximum les spéculations.

Cela suppose d’interagir avec les cibles, de comprendre leurs attentes, leurs besoins, leurs objectifs, leurs motivations, leur rapport à internet, leurs frustrations, etc.

Les tests utilisateurs, les interviews, les sondages sont des exemples d’actions à entreprendre pour parvenir à un ciblage impeccable.

Le référencement naturel, la base de toute stratégie numérique

En pratique, une stratégie digitale intègre plusieurs aspects. Le référencement naturel (SEO) est cependant l’un des plus importants, si ce n’est le plus important.

Pour en revenir au référencement naturel, il s’agit du moyen le plus efficace pour gagner en visibilité. À la faveur du SEO, les marques évoluent au rythme et selon les tendances de leur marché.

Une stratégie SEO bien menée assure un bon positionnement sur les moteurs de recherche, et par conséquent un trafic qualifié sur le site web de l’entreprise. Le SEO est donc un pan sur lequel il faut capitaliser.

stratégie digitale entreprise web marketing
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De fait, malgré les nombreux investissements consentis par les marques en référencement payant, le trafic naturel représente 85 % du trafic de recherche sur internet.

Pour aller plus loin, 75 % des internautes qui effectuent une recherche se contentent des résultats de la première page Google.

Les trois premières propositions de réponses du moteur concentrent à elles seules 60 % des clics.

Eu égard à ces chiffres, impossible de se passer du SEO dans sa stratégie numérique.

Le contenu, un point important à ne pas négliger

Dans la veine du référencement naturel, le contenu est aussi une variable importante dans une stratégie numérique. Il est d’ailleurs une composante essentielle du référencement naturel. Pour produire du contenu qualitatif, il faut élaborer une stratégie en bonne et due forme à cet effet. L’inbound marketing, qui implique la rédaction de contenus comme les articles de blog, les infographies ou encore les livres blancs, est une option intéressante en ce sens.

Il s’agit d’une approche économique, qui se déploie sur le moyen et le long terme. Même s’il demande de la patience (comme le SEO), l’inbound marketing vous assure cependant des résultats pertinents, très efficaces et sur la durée. En adoptant cette technique, vous pouvez promouvoir vos contenus au moyen de divers outils comme le marketing automation ou lead nurturing. Sans être intrusive, la création de contenus via l’inbound marketing améliore l’image de marque des entreprises.

Stratégie digitale : comment se rendre visible sur les réseaux sociaux ?

Les réseaux sociaux sont des canaux importants sur lesquels il importe aussi de miser pour une stratégie numérique complète et efficace. Avoir de la visibilité sur ces médias permet aux marques de toucher une audience particulièrement large, qui pourra être orientée vers leur site web. Pour une présence significative sur les réseaux sociaux, il est important de commencer à identifier les médias les plus utiles pour une stratégie digitale.

Ce choix se fera en fonction du domaine d’activité de la marque, de son public cible, du format de contenu que privilégie cette cible, des mots-clés liés à son activité et populaires sur Google, du support de connexion des internautes. Il est tout de même nécessaire de ne pas disperser ses actions sur tous les médias sociaux, au risque de gaspiller des ressources et de perdre du temps.

Une fois les réseaux les plus utiles identifiés, il faudra publier régulièrement des contenus pour créer et entretenir les liens avec sa communauté. Le défi ici est de s’assurer de la qualité de ces contenus et de leur adaptation aux utilisateurs de chaque réseau social. La publication fréquente de contenus rime avec la création d’interactions régulières avec les abonnés. Cela permet aux réseaux sociaux d’identifier les marques et contenus qui génèrent le plus d’engagement et de les rendre plus visibles.

10 tendances SEO sûres en 2023

Nous vous proposons cette excellente contribution de Fredzone

Avec la constante évolution du référencement naturel, les entreprises se doivent de s’adapter aux nouvelles exigences au travers des stratégies réfléchies afin de profiter au mieux des moteurs de recherche. En tant qu’acteur du marketing, vous avez tout intérêt à vous informer et à anticiper l’avenir du SEO en 2023. Zoom sur les nouvelles tendances !

1. Les effets de l’Intelligence Artificielle dans le référencement naturel

L’arrivée de l’IA, un véritable symbole de l’évolution du monde numérique et des technologies, impacte notamment deux aspects dans le milieu du SEO.

Les algorithmes de Google ont premièrement été en effet touchés par cette invention et près de 15 % des requêtes émises se révèlent nouvelles comparativement aux anciennes. Avec cette situation, le moteur de recherche ne dispose pas toujours de données suffisantes pour répondre convenablement aux internautes. Dans l’optique de combler ce manque, Google a donc recours à l’intelligence artificielle afin de maintenir son honorable position dans l’univers des moteurs de recherche.

Le second volet bouleversé par l’IA est le domaine de la rédaction de contenus qui sollicite de plus en plus ce robot ultra-intelligent. Bien évidemment, le contenu demeure l’élément le plus précieux d’une stratégie SEO, mais rédiger des textes aussi qualitatifs que quantitatifs sous une fréquence optimale n’est toujours évident. L’avènement de l’IA facilite désormais cette série d’objectifs et simplifie la vie aux artistes rédactionnels. Toutefois, les résultats restent discutables jusque-là même s’ils s’avèrent bien prometteurs.

2. Le SEM, la solution par excellence pour une visibilité optimale

Le SEM (Search Engine Marketing) se décline en deux branches : le référencement payant (SEA) et le référencement naturel (SEO).

Pour attirer efficacement du trafic, la synergie de ces stratégies est fortement recommandée. En réalité, les insuffisances de l’une se voient compenser par l’autre pour un résultat plus concret. Par exemple, si le SEO nécessite du temps, le SEA quant à lui permet à l’utilisateur d’apparaitre plus rapidement dans le moteur de recherche. De même, le SEA ne prend en compte que le temps d’une campagne alors que le SEO reste bien durable dans le temps.

Ainsi, si votre objectif est de constituer un patrimoine digital pour un avenir sûr, le SEO sera votre meilleur compagnon. À l’inverse, les professionnels qui souhaitent exploser leurs chiffres sur une période bien définie pourront compter sur le SEA.

3. Google Opossum pour un améliorer son référencement local

Une myriade d’utilisateurs optent pour des recherches locales au sein d’une région précise et la tendance ne cesse de grimper. Face à cette réalité évolutive du marché, Google a pensé à un petit opossum, d’où l’avènement de Google Opossum. Il s’agit d’un algorithme bien pensé pour proposer des résultats aux internautes au sein d’une région géographique et qui interagit parfaitement avec Google Maps.

À noter que cette nouveauté dans le fonctionnement du moteur de recherches est censée connaitre une grande évolution dans les prochaines années.

4. L’E-E-A-T au centre de la stratégie SEO

Google ajoute désormais le degré d’Expérience à l’E-A-T (Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness) et l’on parlera désormais de l’E-E-A-T (Expérience, Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness), l’idée étant de s’assurer de l’existence d’une expérience derrière le sujet abordé dans chaque contenu.

Par exemple, avec un article qui aborde le test d’un produit, Google essayera de comprendre si l’auteur du contenu a réellement testé l’article concerné. L’objectif étant de toujours proposer du contenu authentique aux internautes. Il s’agit d’une politique de référencement dirigée par l’expérience utilisateur et le moteur de recherche s’assure que vous maitrisez réellement les sujets développés sur vos sites Internet.

5. Core Web vitaux : l’importance de l’expérience utilisateur

Depuis 2021, Google mise sur les Signaux Web essentiels (Core Web vitals) dont la politique vise à améliorer l’UX de même que les performances des sites web.

En pratique, le moteur de recherche mesure les performances de chargement (Largest Contentful Paint), l’interactivité (First Input Delay) ainsi que la stabilité visuelle (Cumulative Layout Shift) des pages de site.

Optimiser les performances d’un site peut vous faire gagner, sur la SERP, environ 20 % de trafic et de visibilité supplémentaire. Pour consulter l’état de performance des pages de votre site Internet, rendez-vous dans la Search Console de Google.

6. Le contenu de plus en plus au cœur des stratégies SEO 

Incontournable dans une stratégie SEO, le contenu demande plus que jamais de la qualité en 2023. Vous devrez en effet bâtir votre stratégie de référencement naturel autour d’un content marketing solide et efficace.

Pour précision, le marketing de contenu repose sur la diffusion de différents contenus afin de booster sa visibilité sur les moteurs de recherche. La technique mise également sur diverses solutions visant à assurer son attractivité auprès de sa cible.

Par ailleurs, pour un contenu qualitatif, vous devrez préalablement prendre en compte les intentions de recherche des internautes afin de leur proposer des textes pertinents et adaptés à leurs besoins. Il est également préconisé de miser sur des mots-clés choisis intelligemment en misant sur un champ sémantique plus riche et la longue traine.

7. Optimisation à la recherche vocale

En France, les internautes ont de plus en plus recours à la recherche vocale. Cette fonctionnalité doit son essor à sa praticité et à sa rapidité à répondre.

Pour une recherche vocale, l’internaute aura tendance à se focaliser plus sur les phrases et non sur les mots-clés (« quelle est la meilleure marque française de PC ? » par exemple). Par contre, sur un moteur de recherche, il privilégiera plutôt les mots-clés (« meilleure marque française PC »).

Les contenus doivent donc comporter des mots-clés longue traine qui tendent vers le langage conventionnel.

8. Recourir aux données structurées pour booster sa visibilité

La recherche d’économie de temps a fait naitre un phénomène davantage apprécié sur Internet : il s’agit du 0 clic. Cette pratique consiste à faire sa recherche sur la base des résultats enrichis, à l’instar de la position 0 ainsi que sur les données structurées. Au cas où l’internaute réussirait à obtenir sans aucun clic sur le moindre résultat disponible dans les SERP, les meilleures positions proposent alors les méta-descriptions et des titres optimaux.

Il faudra donc prendre en compte l’expérience utilisateur tout en brisant les limites du site. Vous devez également vous assurer de la bonne compréhension de même que de la réponse immédiate des données structurées par les moteurs de recherche.

9. Intégration de visuels et d’interactivité dans les SERP

Pour la jeune génération, les visuels restent une pièce indispensable dans les résultats proposés par les moteurs de recherches. L’interactivité des SERP s’est d’ailleurs vue renforcée par l’intégration de fonctionnalités 3D très impressionnantes.

À la faveur de Google Lens, il est possible de lancer une requête à partie d’une image, et ce sans la verbaliser.

Il ainsi crucial de bien optimiser les visuels en utilisant des images de qualité avec un format adapté aux mobiles puis en les nommant avec les mots-clés principaux. Google a bien pour objectif de faire de sa base de recherche un écosystème ludique, pédagogique et sécurisé pour une meilleure satisfaction des internautes.

10. La réduction de l’empreinte carbone par l’implémentation dIndexNow

Déjà adopté par les moteurs de recherches Yandex et Bing, IndexNow est encore en phase expérimentale chez Google.

Dans la pratique, il notifie aux moteurs de recherche qu’un nouveau contenu a été mis à jour, ajouté ou supprimé à travers l’envoi d’un ping. Cette innovation permet ainsi d’optimiser la rapidité d’indexation des URL et bien loin des surcharges d’énergie au niveau des serveurs. En réalité, ces dernières sont favorisées par les crawls qui parcourent maintes pages au quotidien.

SEO : Google précise ses règles sur le contenu généré par de l’intelligence artificielle

Nous vous proposons cette excellente contribution de BDM

La popularité soudaine des outils pour générer des textes à l’aide d’une IA, comme ChatGPT, pousse Google à réagir. Après l’annonce de Bard, son propre service conversationnel, le moteur de recherche précise enfin ses règles SEO. Si vous souhaitez intégrer des contenus générés par une intelligence artificielle sur votre site web et référencer vos pages sur Google, voici ce que vous devez savoir.

La vision inchangée de Google sur la qualité des contenus

Google indique que son interprétation des contenus reste inchangée ; mais les mots utilisés sont très intéressants. Objectif affiché par le moteur de recherche :

Récompenser un contenu de haute qualité, quelle que soit la manière dont il est produit.

Google répond ainsi clairement à la question : non, il n’est pas interdit d’intégrer du contenu généré par de l’intelligence artificielle et les pages web qui en contiennent peuvent légitimement être référencée. Google conseille de se référer à ses communications sur la qualité des contenus, notamment sur son concept EEAT : expertise, expérience, autorité, fiabilité. Ces quatre mots résument assez bien les critères à respecter pour créer des contenus appréciés par Google.

Les contenus générés automatiquement autorisés par Google

Google évoque certains cas d’usage de l’intelligence artificielle pour générer du contenu considéré comme utile pour les utilisateurs :

  • Les résultats sportifs : on voit d’ailleurs de nombreux services se développer autour de cette thématique, par exemple pour permettre aux fans de suivre des rencontres en lisant des commentaires générés par de l’intelligence artificielle grâce aux très nombreuses données disponibles sur le web.
  • Les prévisions météorologiques : dans le même esprit, Google cite un autre cas intéressant de contenu pouvant être généré par de l’IA, grâce aux données actuelles et historiques, afin de réaliser des projections automatiques.
  • Les transcriptions : vous pouvez visiblement utiliser sans crainte les services de speech-to-text pour obtenir la retranscription d’un audio ou d’une vidéo.

Google fait ensuite l’éloge de l’intelligence artificielle et précise que cette technologie s’inscrit parfaitement dans sa vision : « l’IA a la capacité […] de servir d’outil essentiel pour aider les gens à créer du contenu de qualité pour le web […]. Nous continuerons d’adopter [une] approche responsable, tout en maintenant un haut niveau d’exigence sur la qualité des informations et l’utilité des contenus ».

Les algorithmes de Google pour sanctionner le SPAM

Google juge ainsi les contenus sur pièce, quelle que soit la nature de leurs auteurs. En revanche, le moteur de recherche rappelle un point clé :

Utiliser des mécanismes d’automatisation- dont l’IA – pour générer des contenus, avec comme objectif premier celui de manipuler le classement dans les résultats de recherche, constitue une violation de nos politiques anti-spam.

Google se réfère ainsi à ses règles anti-spam et prévient ceux qui utilisent l’IA pour obtenir les premières positions dans les SERP : « Google a de nombreuses années d’expérience dans le domaine de l’automatisation utilisée pour tenter de déjouer les résultats de recherche. Nos efforts de lutte contre le spam, y compris le développement de notre système SpamBrain, se poursuivront – quelle que soit la manière dont le spam est produit ». La mise à jour Helpful Content Update, déployée pour les pages françaises fin 2022, s’inscrit parfaitement dans ce cadre, puisqu’elle vise à « prioriser les contenus utiles, fiables et axés sur l’humain ».

Google répond à 10 questions SEO sur la génération de contenus

Concrètement donc, la vision de Google n’a pas été bouleversée par la popularité soudaine de ChatGPT. En revanche, sachez que le moteur de recherche a récemment mis à jour sa page d’aide à la conception de contenu de qualité, mais seulement en anglais. Un paragraphe Who, How and Why a été ajouté pour conseiller les créateurs. Si la page est en français, changez la langue avec le bouton dédié – en haut à droite sur desktop, en bas de la page sur mobile.

Les questions des référenceurs restent nombreuses sur ce sujet. Google termine son propos en répondant à 10 questions SEO. On résume ce qu’il faut savoir :

  1. Un usage approprié de l’IA n’est pas contraire aux recommandations de Google.
  2. Google n’interdit pas globalement le contenu généré par l’intelligence artificielle car ce procédé peut permettre de créer du contenu intéressant.
  3. Le moteur de recherche est en mesure de repérer les contenus de mauvaise qualité, qu’ils soient ou non générés automatiquement.
  4. Pour éviter la propagation de fausses informations, Google applique les mêmes principes – mais le moteur est encore plus regardant sur la qualité lorsqu’il s’agit d’informations sanitaires, politiques ou financières.
  5. Pour analyser les signaux et repérer les contenus créés pour manipuler les classements, Google utilise de nombreux systèmes dont SpamBrain.
  6. Le processus de création du contenu n’est pas central pour Google. Le moteur de recherche analyse la qualité pour déterminer un positionnement adapté.
  7. Vous pouvez utiliser l’IA pour créer du contenu utile et original. Vous ne devez pas voir l’IA comme un moyen simple et peu coûteux de bien se référencer.
  8. Vous devez préciser l’auteur d’un contenu dès lors que les utilisateurs peuvent se demander qui a écrit le contenu. Le moteur rappelle que les articles référencés sur Google Actualités doivent être signés. Entre les lignes, on comprend la position prudente de Google sur le rôle de l’IA dans la presse.
  9. Le moteur conseille d’indiquer qu’un contenu a été créé automatiquement lorsque les utilisateurs peuvent raisonnablement se demander qui l’a écrit.
  10. Enfin, Google précise que « donner une signature d’auteur à une IA n’est probablement pas la meilleur façon de suivre [ses] recommandations ».

PME : comment utiliser le SEO pour rivaliser avec les grandes entreprises ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Futura

Le monde des affaires est de plus en plus compétitif et il peut être difficile pour les petites entreprises de rivaliser avec les plus grandes. C’est ici que le référencement naturel (SEO) intervient. Mais savez-vous de quoi il s’agit et comment il peut être employé par une PME ?

Le référencement naturel représente l’ensemble des techniques qui peuvent être utilisées pour optimiser une page web ou l’ensemble d’un site pour le faire figurer en haut des résultats de recherche, sur Google par exemple ! Voici de quelles manières le SEO peut être utilisé par les PME pour accroître leur visibilité et accélérer, par la même occasion, leur développement.

Il est possible d’améliorer significativement la visibilité d’une PME grâce au référencement naturel… Mais comment faire, concrètement, pour obtenir des résultats ? Le référencement naturel d’un site Internet d’entreprise est régi par des algorithmes complexes qui évaluent sa pertinence en fonction de différents critères :

  • qualité et longueur du contenu ;
  • sélection des mots-clés ;
  • hiérarchisation de l’information ;
  • mise en page ;
  • couverture d’un champ lexical, etc.

Pour obtenir des résultats, une petite entreprise doit ainsi prendre tous ces critères en compte et cibler, par la suite, ce que l’on appelle des « requêtes utilisateurs » ou « mots-clés ». Ces requêtes utilisateurs doivent être sélectionnées en fonction de leur thématique, de leur popularité et de leur concurrentialité.

La mission qui en découle : se classer dans les premiers résultats de recherche sur lesdites requêtes, afin d’attirer un trafic massif et qualifié.

Un accompagnement professionnel personnalisé est souvent nécessaire à la réussite d’une stratégie de référencement naturel pour petite entreprise (PME).

Qu’il s’agisse de référencer un site web, un site e-commerce ou encore une marketplace à l’aide du référencement naturel…, les préconisations, voire les actions, d’une agence de référencement sont souvent indispensables. Elles le sont d’autant plus lorsque l’entreprise qui souhaite améliorer son référencement n’a que peu de connaissances dans ce domaine.

Si vous souhaitez améliorer le référencement naturel d’une PME, vous pouvez également utiliser des outils professionnels d’analyse SEO. Leur prix dépend, le plus souvent, des différentes fonctionnalités qu’ils proposent.

Trois stratégies SEO à mettre en place en tant que PME

Voici trois exemples de stratégies de référencement naturel (SEO) qui peuvent être employées par des PME pour rivaliser avec de grandes entreprises.

Les optimisations techniques couplées à la création de pages thématiques

Métadonnées, alternatives textuelles, hiérarchisation des titres… Lorsque toutes les bases techniques d’un site sont optimisées pour le SEO, le moment est venu de créer ce que l’on nomme des « pages thématiques » pour positionner le site sur des requêtes utilisateurs populaires et ciblées.

Le référencement local

Les petites entreprises locales peuvent obtenir de très bons résultats en essayant d’être référencées sur des requêtes qui contiennent une localisation : région, département, commune…

La création de contenus récurrents

La régularité et la création de contenu sont deux éléments clés du SEO pour les petites entreprises. Une PME peut ainsi parvenir à être bien référencée sur de nombreuses requêtes en publiant, par exemple, des articles de Blog stratégiques chaque mois.

Le SEO peut sembler intimidant. Mais il est, en réalité, un outil très puissant pour les PME de tous les secteurs.

De nouvelles fonctions basées sur l’IA arrivent sur Google, une conférence annoncée le 8 février

Nous vous proposons cette excellente contribution de Les Numériques

Les projets d’IA semblent avancer à grands pas chez Google. Le géant du Web va prochainement intégrer des fonctions d’intelligence artificielle au cœur de son moteur de recherche. Le PDG du groupe Sundar Pichai a évoqué jeudi 2 février, lors de la présentation des résultats financiers, l’arrivée de l’IA dans ses produits au cours des « semaines et les mois à venir« , selon un compte-rendu de CNBC.

Le modèle linguistique de Google sortira « très bientôt »

L’implantation prochaine de l’IA au sein de plusieurs produits Google pourrait confirmer les fuites des derniers jours et la mise à jour de Google Search dans une version plus intelligente. « Très bientôt, les gens pourront interagir directement avec notre modèle linguistique le plus récent et le plus puissant en tant que compagnon de la recherche, de manière expérimentale et innovante« , affirme Sundar Pichai, évoquant la technologie de conversation de Google LaMDA.

Les nouvelles fonctionnalités pourraient cependant prendre encore un peu de temps avant d’être mises en ligne publiquement, afin de prendre en compte les retours des employés.

« L’IA est la technologie la plus profonde sur laquelle nous travaillons aujourd’hui », assure le PDG de Google, qui annonce une modification de la structure de reporting financier. Le secteur DeepMind en charge de l’IA quittera le segment Other Bets, des projets à long terme, pour dépendre directement de Google.
Un changement qui témoigne d’une volonté de faire reposer la plus grande partie possible des services Google sur l’IA. « Pour être très clair, nous consolidons un projet Other Bets dans Google uniquement lorsqu’il soutient les produits et services au sein de Google ou d’Alphabet au sens large« , confirme la responsable des finances d’Alphabet, Ruth Porat.

Une conférence le 8 février

Parallèlement à ces annonces, Google a invité plusieurs médias — dont The Verge — à assister à une présentation de ses travaux en matière d’intelligence artificielle. La conférence intitulée « Live from Paris », se tiendra en direct sur YouTube mercredi 8 février. La firme de Mountain View devrait y montrer la manière dont il « utilise la puissance de l’IA pour réimaginer la façon dont les gens recherchent, explorent et interagissent avec l’information, rendant plus naturel et plus intuitif que jamais de trouver ce dont vous avez besoin. »

L’invitation contient des références à Google Lens, Traduction, Shopping et Maps. Les premières améliorations basées sur l’intelligence artificielle devraient donc, pour l’heure, améliorer le fonctionnement de ces outils, sans les révolutionner complètement. Il est peu probable que Google annonce à cette occasion un remaniement complet de son moteur de recherche ou la sortie publique d’un concurrent potentiel à ChatGPT.

Google confronté au recul de ses recettes publicitaires

Nous vous proposons cette excellente contribution de Les Numériques

Les difficultés rencontrées par Snap sur le marché publicitaire n’auguraient rien de bon pour les poids lourds du secteur comme Google. Confirmation à l’issue du quatrième trimestre, durant lequel la firme de Mountain View a vu ses revenus publicitaires décliner de 3,6 %, à 59 milliards de dollars sur les trois derniers mois de l’année 2022. Pour YouTube, la baisse est encore plus prononcée avec moins de 8 milliards de dollars de chiffre d’affaires (-7,8 %) au dernier trimestre 2022, contre 8,6 milliards sur la même période un an plus tôt.

Face à ces déconvenues publicitaires, les revenus de Google sont ressortis en très légère hausse entre octobre et décembre, à 76 milliards de dollars. Les profits, eux, se sont effondrés, passant de 20,6 à 13,6 milliards de dollars. Le constat n’est guère plus flamboyant au niveau du bénéfice opérationnel, baromètre de la rentabilité de l’entreprise, qui s’est élevé à 18,2 milliards de dollars contre 21,9 milliards au quatrième trimestre 2021. Pour ne rien arranger, la branche cloud n’a pas répondu aux attentes du marché avec un chiffre d’affaires de 7,3 milliards de dollars.

Licenciements et croisade du gouvernement américain

Dominé par Amazon Web Services (AWS) dans le cloud, bousculé par TikTok et Netflix sur YouTube, Google est à la croisée des chemins et devra vite trouver de nouvelles lignes de revenus pour profiter d’un souffle de croissance. Pour rogner ses marges, la filiale d’Alphabet, comme la plupart des autres Gafam, débranche ses projets jugés trop peu lucratifs, à l’instar d’Area 120, l’incubateur interne pourtant contributeur à l’envol de Gmail et Google News. Et après avoir demandé l’an passé à ses employés d’augmenter leur productivité, l’entreprise dirigée par Sundar Pichai a décidé de licencier 12 000 employés, soit 6 % de ses effectifs mondiaux.

Outre le ralentissement de sa croissance, Google aperçoit d’autres nuages menaçants, venant notamment des autorités américaines. Alors que les plaintes s’accumulent contre la maison mère Alphabet depuis plusieurs années, le gouvernement américain a encore haussé le ton en ce début d’année en attaquant le groupe, aux côtés de huit États, dont la Californie et New York, pour mettre fin à sa domination anticoncurrentielle sur le marché de la publicité en ligne. La menace qui plane au-dessus de Google n’est pas anodine, puisque les plaignants veulent contraindre la firme à démanteler, purement et simplement, son activité publicitaire, qui représente encore aujourd’hui près de 80 % de ses revenus.

Google Chrome : vers un changement très pratique sur les pages web

Nous vous proposons cette excellente contribution de Univers Freebox

Le géant américain entend trouver une solution pour traduire l’intégralité des pages web, y compris des contenus affichés sur les images.

L’information est globalisée mais la maîtrise de toutes les langues reste un but inatteignable. Pour lire des contenus venant d’à travers le monde, des modules existent sur différents navigateurs dont Chrome mais certains contenus restent encore intraduisible de part leur nature.

Sur le navigateur de la firme de Mountain View, cela pourrait changer. En effet, un spécialiste des fuites d’information a découvert un projet de Google pour concevoir une solution visant à traduire également les images présentes sur les pages web. Et ce de  manière plutôt automatique, alors qu’encore aujourd’hui, la manipulation à réaliser est plutôt inconnue et fastidieuse : rechercher l’image dans Google, utiliser Google Lens puis traduire.

Il s’agit encore d’une fonctionnalité en développement très précoce, au point qu’elle n’est pas disponible dans la version bêta ou dans celle dédiée aux développeurs. Mais la promesse est assez grande pour permettre une navigation sur le web plus aisée et comprendre au mieux ce qui s’affiche sur votre écran au fur et à mesure de vos pérégrinations numériques.

Source : 01net

Les objectifs en community management : comment les définir ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Journal du CM

Le community management consiste certes à gérer et animer des communautés au travers des réseaux sociaux, mais à la base, il s’agit surtout de promouvoir des produits ou des services sur ces canaux. Ce qui repose sur un ensemble d’objectifs sur lesquels le community manager doit travailler, pour mieux définir les formes et les types de contenu à produire ainsi que les actions à déployer.

Voyons ainsi comment définir vos objectifs en community management et surtout quels sont les majeurs à considérer.

Quels sont les principaux objectifs en community management ?

Parmi les objectifs principaux qui sont quasiment la base commune à toutes les missions du community manager, on retrouve le trafic et la visibilité, ainsi que l’image et la notoriété. Si les ventes ne sont pas soulevées, c’est qu’il s’agit plutôt d’une finalité pour une marque comme pour une entreprise.

Les objectifs en community management

Le community manager n’est pas directement impliqué dans les ventes, sinon il serait un profil à la performance. Il peut y être impliqué dans les rôles en B2B, mais ce n’est pas une généralité et elle ne se travaille pas en frontal.

Certains objectifs en dehors des 4 principaux énumérés, peuvent être majeurs pour certaines structures. C’est là qu’il est question de définir des priorités, selon les attentes des clients, et selon la structure au sein de laquelle, ou pour laquelle évoluera le community manager. Quand on démarre sur Internet et plus particulièrement sur les réseaux sociaux, on recherche avant tout de la visibilité, et de générer du trafic sur son site web.

N’oubliez jamais que le site Internet d’une entreprise ou d’une marque est sa vitrine, et qu’ici se trouve son offre produits/services. Les clients achètent sur site et non sur les réseaux sociaux, ou ils se déplacent sur un point de vente selon les objectifs visés.

Comment booster trafic et visibilité en community management ?

Optimiser le trafic vers un site web et la visibilité des posts sur les réseaux sociaux est l’objectif de base en community management. Une structure qui propose des services ou des produits sur son site web a besoin nécessairement que les internautes visitent sa plateforme. Ceci est essentiel pour espérer convertir les prospects en clients et améliorer par conséquent les ventes.

Les objectifs de visibilité

Le community management permet de développer votre communauté sur les réseaux sociaux. À travers une stratégie de contenu bien élaborée, vous travaillerez pour augmenter le nombre de fans ou d’abonnés sur votre compte.

Ce qui nécessitera d’utiliser différents leviers et recourir à diverses actions, afin de créer de l’engagement avec votre communauté et donner de la visibilité à vos publications. L’idée étant d’amener les utilisateurs à partager  les contenus publiés et à interagir avec eux.

Les objectifs de visibilité en community management

En induisant de façon intelligente l’appel au clic sur les contenus publiés, le community manager favorisera ainsi la redirection vers le site web de la structure pour laquelle il travaille. Grâce aux divers liens insérés dans les posts, les internautes pourront se rendre sur le site web de la structure pour découvrir l’offre de produits ou de services mise en avant.

Ainsi la visibilité à gagner sera fonction des actions déployées et des contenus partagés sur les réseaux sociaux. Le contenu devra être régulier pour attirer de nouveaux abonnés, tout comme il sera nécessaire d’interagir et de solliciter sa communauté au travers de ses actions.

Les objectifs de trafic

Même si les réseaux sociaux n’ont pas d’incidence directe sur votre SEO, ils permettent malgré tout d’améliorer votre visibilité et d’augmenter vos ventes dans une certaine mesure. Les internautes qui visiteront votre site web seront en croissance au fil des actions déployées, ce qui permet de définir un indicateur à rattacher au trafic. Vous devez atteindre un certain nombre de visiteurs sur un temps donné, en fonction des contenus partagés.

C’est votre outil Google Analytics qui vous sera lors utile pour suivre vos progressions. Par ailleurs, les principaux indicateurs Google Analytics seront à connaitre et à identifier dans le cadre de vos actions. Ceci est un objectif principal pour toutes les structures qui hébergent sur une plateforme internet des produits ou des services.

Avec une bonne stratégie de conversion derrière, les performances pourront être améliorées. Le suivi du trafic généré via les réseaux sociaux, grâce aux clics, s’appelle le trafic social sur Google Analytics. C’est d’ailleurs l’une des sources de trafic web à connaitre avec l’organique, le référent et le direct.

Comment le community manager travaille-t-il l’image et la notoriété ?

L’image et la notoriété sont deux objectifs majeurs en community management. Ces notions sont essentielles dans le développement d’une entreprise ou d’une marque. L’image est la perception que les internautes, les consommateurs et vos clients ont de votre marque ou de votre structure.

Elle désigne ce que votre communauté pense de vous en fonction de ce que vous faites ou ne faites pas. L’image peut être positive ou négative.

Les objectifs d’image

Se fixer un objectif d’image revient à travailler pour influencer au travers d’actions positives ce que les internautes retiennent de vous. Il s’agit d’amener les gens à parler de vous en bien. Pour construire une image positive, il est indispensable de montrer l’attention que vous accordez à vos clients.

Cela passe par la e-reputation ; la réputation de votre entreprise en ligne au travers de toutes vos actions de communication et de promotion au travers des réseaux sociaux principalement et du web en général. Il faut soigner la relation client, la réactivité, les solutions apportées aux problématiques, les services à dispo, la qualité du contenu, son originalité, les avis clients en ligne etc.

Ceci passe par l’établissement d’une relation client fluide, basée sur la sincérité et le souci d’aider les autres. Vous devez faire preuve de réactivité pour séduire vos consommateurs et vous imposer dans leur esprit comme une marque bienveillante.

La construction de l’image nécessite aussi la publication de contenus dynamiques et originaux sur votre blog. Les articles, les tutoriels et les guides que vous publiez doivent permettre aux internautes d’accéder à des informations qui expliquent comment utiliser un produit ou une prestation que vous proposez.

Vous devez mettre des services à disposition des clients pour les accompagner efficacement. Montrez que vous êtes à l’écoute de leurs besoins et que vous travaillez à satisfaire leurs attentes. En retour, vos clients peuvent laisser des avis positifs et parler de vous en bien, ce qui contribue à créer une image positive locale, voire nationale.

Les objectifs de notoriété

En ce qui concerne la notoriété, elle s’acquiert au fil du temps. Elle nécessite un travail sur la durée. Les marques qui ont une forte réputation sont celles qui proposent des produits novateurs qui se sont imposés dans leur secteur comme une référence.

Pour gagner en notoriété, vous devez travailler sur plusieurs années votre image de marque pour obtenir l’estime de vos clients. Pour y parvenir, il est crucial d’introduire de nouvelles idées pour résoudre les problèmes de votre clientèle et d’avoir un bon ancrage. En parallèle, renforcez la relation client en community management est primordial.

Les objectifs secondaires en community management

Les objectifs secondaires en community management sont des actions qui s’inscrivent dans un cadre plus général. Ce sont des objectifs intermédiaires qui permettent d’atteindre ceux énumérés précédemment, c’est-à-dire les points majeurs. On peut voir ces objectifs secondaires comme des indicateurs de performance ou KPI pour certains d’entres eux.

Un objectif secondaire est souvent perçu comme le but recherché autour d’une action ponctuelle à l’inverse de l’objectif majeur, qui doit lui se maintenir dans le temps. Rechercher de la viralité sur un contenu spécifique sera secondaire, car temporaire et rattaché à un contenu en particulier. On peut ainsi en définir de très nombreux en community management.

Pour définir les objectifs secondaires en community management, il est essentiel de tenir compte de votre stratégie de marketing digital au sens large.

Actions en marketing digital

Voyons quelques exemples ci-dessous :

Si votre but est d’augmenter votre trafic et votre visibilité, l’une des actions à entreprendre est de rendre les contenus que vous publiez sur votre page plus viraux. Ceci permet de susciter l’engouement, de faire réagir vos fans et d’attirer l’attention d’autres utilisateurs.

Les interactions augmentent également la visibilité des posts, ce que vous pouvez exploiter pour rediriger les fans vers votre site web. L’infographie est une forme de contenu qui s’adapte parfaitement à ce type d’objectif.

Si votre but est de travailler votre image de marque, vous pouvez créer un compte Twitter dédié à la relation client. Ce canal vous permettra d’être au plus près de votre clientèle pour mieux l’écouter et satisfaire ses besoins. Vous devez être réactif, bienveillant et apporter des réponses utiles aux préoccupations des personnes qui s’intéressent à vos produits.

Les objectifs secondaires convergent vers un but global et ne doivent pas être considérés comme des actions isolées. Le community manager établit l’objectif spécifique et trouve le type ainsi que la forme de contenu qui permettent de l’atteindre efficacement. Il définit un plan qu’il décline en plusieurs objectifs secondaires associés à des actions précises.

Email Marketing : Un guide approfondi

Nous vous proposons cette excellente contribution de Search Engine Journal

L’email a révolutionné la façon dont les gens communiquent. De la facilitation du travail à distance au suivi des soldes bancaires, il fait désormais partie intégrante de la vie quotidienne.

Il est également devenu un outil puissant pour les spécialistes du marketing. Il a changé la façon dont les marques et les clients interagissent, offrant des possibilités incroyables de cibler les publics à chaque étape du parcours de l’acheteur.

En d’autres termes, lorsqu’il s’agit de tirer le meilleur parti de votre budget marketing, rien n’égale la puissance de l’email.

Avec un retour sur investissement moyen de 36 dollars pour chaque dollar dépensé, l’email marketing est l’un des moyens les plus rentables et les plus efficaces d’atteindre vos cibles.

Utilisé par plus de 4 milliards de personnes dans le monde, il a une portée inégalée et convient parfaitement à chaque étape du parcours de l’acheteur, de la sensibilisation à la fidélisation à la marque.

Si vous n’utilisez pas actuellement l’email marketing pour promouvoir votre entreprise, vous devriez le faire.

Mais pour en tirer le maximum de bénéfices, vous ne devez pas vous contenter de rédiger un message et de l’envoyer à vos contacts. Vous avez besoin d’une stratégie qui vous aidera à entretenir les relations et à initier des conversations.

Dans cet article, nous allons examiner en profondeur le monde du marketing par e-mail et vous donner un guide étape par étape que vous pourrez utiliser pour lancer vos propres campagnes.

Qu’est-ce que l’email marketing ?

Si vous disposez d’une adresse électronique – et l’on peut supposer que c’est le cas – vous êtes probablement déjà au moins un peu familiarisé avec le concept de marketing par email.

Mais pour éviter toute confusion potentielle, commençons par une définition : L’email marketing est un type de marketing direct qui utilise des emails personnalisés pour informer les clients et les clients potentiels de vos produits ou services.

Pourquoi utiliser l’email marketing ?

Si la statistique du retour sur investissement de 36$ pour 1 n’a pas suffi à vous convaincre de franchir le pas, voici d’autres raisons majeures d’utiliser l’email marketing pour promouvoir votre entreprise :

  • L’email marketing génère du trafic vers votre site Web, votre blog, votre compte de médias sociaux ou tout autre endroit où vous le dirigez.
  • Il vous permet d’établir une relation plus forte avec vos cibles grâce à la personnalisation et aux campagnes à déclenchement automatique.
  • Vous pouvez segmenter votre public pour cibler des données démographiques très spécifiques, afin d’envoyer des messages aux personnes avec lesquelles ils auront le plus d’écho.
  • L’e-mail marketing est l’une des plateformes les plus faciles à tester, ce qui vous permet de déterminer exactement les lignes d’objet et les appels à l’action (CTA) qui fonctionnent le mieux.

Mieux encore, vous êtes entièrement propriétaire de vos campagnes d’e-mailing.

Avec l’e-mail, vous êtes propriétaire de votre liste de marketing et vous pouvez cibler vos prospects comme vous le souhaitez (tant que vous restez en conformité avec les lois CAN-SPAM).

Il ne fait aucun doute que vous devez utiliser l’email marketing dans le cadre de votre stratégie globale de marketing de proximité.

Voyons maintenant les différentes façons de le faire.

Quels sont les types d’email marketing ?

À chaque étape de l’entonnoir de vente correspond un type d’email marketing. Voici quelques-uns des différents types que vous pouvez utiliser pour engager votre public et générer des résultats.

Emails promotionnels

Lorsque vous pensez à l’email marketing, c’est probablement à ce type de messages que vous pensez.

Utilisés pour promouvoir des ventes, des offres spéciales, des lancements de produits, des événements, etc., ces messages sont généralement parmi les moins personnalisés et ont tendance à être envoyés à un grand nombre de destinataires.

En général, les campagnes promotionnelles consistent en 3 à 10 e-mails envoyés sur une période donnée. Elles comportent un CTA clair qui encourage le destinataire à passer à l’étape suivante, à savoir visiter votre site, prendre un rendez-vous ou effectuer un achat.

Emails d’informations

Ce type d’e-mail comprend les annonces de l’entreprise ainsi que les newsletters hebdomadaires, mensuels ou trimestriels.

Ils peuvent contenir des informations sur les nouveaux produits, les réalisations de l’entreprise, les avis des clients ou les articles de blog.

Le CTA consiste généralement à visiter votre site Web ou votre blog pour en savoir plus sur ce qui se passe.

Emails de bienvenue

Envoyés aux nouveaux clients ou aux personnes qui ont rempli un formulaire sur votre site Web, les e-mails de bienvenue encouragent les destinataires à en savoir plus sur votre entreprise ou votre offre.

Ils comprennent généralement des offres d’essai, des demandes de réservation d’une démonstration ou d’autres offres qu’un nouveau client trouvera intéressantes.

Emails Nurturing

Tout vendeur vous dira qu’il est important de créer plusieurs points de contact avec les clients potentiels.

Les e-mails nurturing des prospects visent à susciter l’intérêt des personnes attirées par une offre particulière.

L’objectif de ces messages est de les faire passer à l’étape de considération du parcours d’achat.

Emails de réengagement

Frère un peu plus agressif des e-mails nurturing, les e-mails de réengagement sont utilisés pour réchauffer les clients qui n’ont pas été actifs dernièrement.

Ils ont tendance à être plus personnalisés, car vous souhaitez montrer à l’abonné que vous connaissez et comprenez les défis auxquels il est confronté.

Emails d’enquête ou d’évaluation

Le contenu généré par les utilisateurs (CGU) confère à votre marque une authenticité que vous ne pouvez tout simplement pas obtenir par vous-même.

L’une des meilleures façons de générer ce contenu est d’envoyer des e-mails sollicitant les commentaires de vos clients.

Ce type d’e-mail vous donne également des indications sur les forces et les faiblesses relatives de votre marque, ce qui vous permet d’améliorer vos offres.

Il existe un certain nombre d’autres types d’e-mails que vous pouvez utiliser dans le cadre de vos efforts de marketing, notamment les e-mails saisonniers conçus pour tirer parti des fêtes ou des événements, les e-mails de confirmation pour rassurer les destinataires sur la finalisation de leur achat ou la réception de leurs informations, et les e-mails de co-marketing envoyés avec une entreprise partenaire.

En fait, c’est la polyvalence même de l’email marketing qui en fait la pierre angulaire de toute stratégie marketing réussie. Il vous suffit de décider ce que vous souhaitez accomplir, puis de créer votre campagne autour de cet objectif.

Voyons maintenant de plus près comment créer et gérer votre propre marketing par e-mail.

Comment réaliser un marketing par e-mail ?

Étape 1 : Définissez vos objectifs

La section ci-dessus devrait vous avoir fait comprendre que le type de campagne d’e-mailing que vous allez mener dépend de ce que vous espérez accomplir. Si vous essayez de tout faire avec un seul e-mail, les destinataires seront désorientés et le CTA sera édulcoré.

Fixez un objectif pour votre campagne et veillez à ce que chaque e-mail de la série tende vers cet objectif.

Étape 2 : Créez votre liste

Il est maintenant temps de déterminer qui sera le destinataire de votre campagne. Pour ce faire, vous devez constituer votre liste d’adresses électroniques, un processus que vous pouvez aborder de plusieurs manières.

La méthode la plus simple consiste à importer une liste de vos contacts dans la plate-forme d’email marketing de votre choix (nous y reviendrons plus tard).

Une mise en garde : avant d’ajouter quelqu’un à votre liste, assurez-vous qu’il a accepté de recevoir des e-mails de votre part, sinon vous ne respecterez pas les directives de la loi CAN-SPAM mentionnées ci-dessus.

D’autres options pour créer une liste à partir de rien via une campagne de génération de prospects : offrez à vos clients potentiels des remises, un contenu attrayant ou tout autre élément de valeur et faites en sorte qu’ils s’inscrivent facilement, et vous obtiendrez des prospects de qualité.

Certains spécialistes du marketing achètent ou louent des listes d’adresses électroniques, mais en général, ce n’est pas une façon efficace de faire de l’email marketing.

La principale raison pour laquelle vous ne voulez pas procéder ainsi est la qualité des prospects. Vous ne vous adressez pas à des personnes intéressées par votre marque, mais vous ciblez aveuglément des prospects de qualité douteuse avec des e-mails auxquels ils n’ont pas donné leur accord.

En plus de violer les lois sur le consentement, ce qui pourrait potentiellement nuire à votre réputation IP et à la délivrabilité de vos e-mails, vous risquez d’ennuyer vos cibles au lieu de les encourager à essayer votre offre.

Étape 3 : Créez votre campagne d’e-mailing

Maintenant que vous savez qui vous ciblez et ce que vous espérez obtenir, il est temps de créer votre campagne.

Les outils de marketing par e-mail tels que HubSpot, Constant Contact et Mailchimp comprennent des modèles à glisser-déposer que vous pouvez utiliser pour créer des campagnes d’e-mailing efficaces et bien conçues.

Nous nous pencherons plus en détail sur ces plateformes un peu plus tard, mais parlons maintenant de certains principes fondamentaux et des meilleures pratiques pour vous aider à obtenir les meilleurs résultats :

  • Rendez vos e-mails faciles à lire – Personne n’a envie de lire un long mur de texte. Structurez vos e-mails en utilisant des en-têtes stratégiquement placés et des listes à puces pour faciliter la lecture.
  • Utilisez des images – Idéalement, vous voulez que vos mails attirent l’œil et l’attention du lecteur. Les images sont un excellent moyen d’y parvenir.
  • Rédigez un objet convaincant – Le mail le mieux écrit du monde est inutile si personne ne l’ouvre. Il est donc primordial de rédiger un objet convaincant et intriguant. N’hésitez pas à essayer différentes itérations, mais veillez à ce que l’objet soit court.
  • Ajoutez de la personnalisation – Les e-mails qui s’adressent à une personne spécifique, notamment en l’appelant par son nom, sont plus susceptibles de susciter des réponses. Votre plateforme d’email marketing doit vous permettre de le faire assez facilement.
  • Facilitez la conversion – Si vous souhaitez obtenir des clics, vous devez faciliter la tâche des lecteurs. Assurez-vous que votre CTA est bien visible et clair.
  • Pensez à votre timing – Comme pour la plupart des types de marketing, les campagnes d’e-mailing ont tendance à être plus performantes lorsqu’elles sont bien programmées. Il peut s’agir d’une heure spécifique de la journée qui génère plus d’ouvertures, d’un moment de la semaine où les achats sont plus probables, ou même d’une période de l’année où votre contenu est le plus pertinent. Cela nécessitera probablement une certaine expérimentation.

Étape 4 : Mesurez vos résultats

Vous ne réussirez pas vos campagnes d’e-mailing du premier coup. Ni la deuxième. Ou la cinquième. En fait, il n’y a pas vraiment de point final ; même les meilleures campagnes peuvent être optimisées pour générer de meilleurs résultats.

Pour suivre les performances des vôtres, vous pouvez utiliser la section des rapports de votre plateforme d’email marketing. Cela vous aidera à comprendre comment les gens interagissent avec vos campagnes.

Utilisez les tests A/B pour déterminer ce qui fonctionne le mieux.

En règle générale, il convient d’examiner des indicateurs clés tels que

  • Le taux d’ouverture et les ouvertures uniques.
  • Le taux de clics.
  • Les actions.
  • Taux de désabonnement.
  • Plaintes pour spam.
  • Rebonds (le nombre d’adresses auxquelles votre e-mail n’a pas pu être remis).

Choisir une plateforme d’email marketing

L’envoi manuel d’e-mails convient si vous ne ciblez que trois ou quatre personnes. Mais si vous essayez de communiquer avec des dizaines, des centaines, voire des milliers de personnes, vous aurez besoin d’aide.

Mais il existe actuellement des centaines de plateformes d’email marketing sur le marché. Comment choisir celle qui convient le mieux à vos besoins uniques ?

Devriez-vous opter pour l’un des grands noms comme HubSpot, Klaviyo ou Mailjet ? Comment savoir laquelle est la bonne pour vous ?

Si, au départ, vous vous sentez dépassé par les événements, vous pouvez réduire considérablement vos options en répondant à quelques questions.

La toute première chose que vous devez déterminer est votre budget. Si vous êtes à la tête d’une petite entreprise, le montant que vous êtes prêt à dépenser pour une plate-forme de service de messagerie est probablement bien inférieur à celui d’une entreprise.

Si vous êtes un entrepreneur, vous trouverez probablement qu’une version bon marché d’une plateforme comme Sendinblue ou Constant Contact vous offre toutes les fonctionnalités dont vous avez besoin.

Les grandes entreprises disposant d’un budget marketing plus important souhaiteront peut-être opter pour une plateforme d’email marketing offrant des niveaux d’automatisation plus élevés, une analyse des données plus approfondie et une plus grande facilité d’utilisation. Dans ce cas, vous préférerez peut-être opter pour une plateforme comme Mailchimp ou Pardot de Salesforce.

La bonne nouvelle, c’est que la plupart de ces fournisseurs de services de messagerie électronique proposent une tarification échelonnée, de sorte que les petites entreprises peuvent opter pour des versions plus économiques (voire gratuites) qui offrent moins de fonctionnalités à un prix inférieur.

L’élément suivant à prendre en compte est le type d’e-mail que vous souhaitez envoyer.

Si vous envoyez principalement des newsletters, une plateforme comme SubStack est un excellent choix. Si vous prévoyez d’envoyer des e-mails transactionnels, vous pouvez vous tourner vers Netcore Email API ou GetResponse.

Pour ceux d’entre vous qui prévoient d’envoyer une variété d’e-mails marketing, votre meilleur choix peut être une option qui couvre plusieurs types d’e-mails comme ConvertKit ou un outil de marketing omnicanal comme Iterable.

Vous pouvez réduire le nombre de vos options en déterminant vos fonctions indispensables et vos capacités internes.

Voici quelques éléments à prendre en compte :

  • La taille de vos listes.
  • Votre niveau de compétence technique.
  • Vos besoins en matière d’édition HTML.
  • La variété des modèles.
  • Vos besoins en matière de réponses/flux de travail.
  • Vos besoins en matière de tests A/B.
  • Fonctions spécifiques au secteur.

Bien qu’il existe un chevauchement important des fonctionnalités entre les plates-formes d’email marketing, chacune d’entre elles possède des capacités différentes.

Idéalement, vous recherchez une solution qui s’intégrera à vos autres outils de marketing afin d’éliminer les incertitudes de l’équation.

Vous devriez demander des démonstrations et des essais de vos finalistes pour trouver celle qui répond le mieux à vos besoins. Si vous travaillez avec une équipe, assurez-vous de les impliquer et de recueillir leurs commentaires.

Conseils pour maximiser vos résultats

Le marketing par e-mail est un outil puissant pour toute entreprise. Mais il s’agit à la fois d’une science et d’un art.

Voici quelques conseils supplémentaires pour vous aider à tirer le meilleur parti de vos campagnes :

  • Évitez d’être marqué comme spam – Selon HubSpot, il y a 394 mots et phrases qui peuvent identifier votre email comme du email indésirable. Il s’agit notamment de « gratuit », « prix le plus bas », « pas de piège » et « tout nouveau ». Vous devez les éviter dans la mesure du possible. Pour être doublement sûr, demandez à vos destinataires de vous ajouter à leur liste d’expéditeurs sûrs.
  • Menez des campagnes intégrées – L’email marketing sert à amplifier la puissance des autres canaux de marketing. Si vous organisez des ventes ou des promotions, vous devez inclure un volet consacré à l’e-mail.
  • Nettoyez régulièrement votre liste – Maintenez votre base de données d’e-mails à jour pour garantir la délivrabilité et un meilleur engagement. Si un abonné n’a pas répondu à vos efforts de réengagement au bout de six mois, il est probablement temps de le rayer de votre liste.
  • Exploitez le pouvoir de l’automatisation – Les répondeurs automatiques sont un excellent moyen de suivre les clients et les abonnés, ou de cibler stratégiquement une personne après un certain événement ou une certaine action. Apprenez à les configurer sur votre plateforme d’email marketing et vous gagnerez beaucoup de temps tout en augmentant vos retours.

L’email marketing est un outil puissant

Il y a une raison pour laquelle l’email marketing est très répandu dans le monde moderne – il fonctionne.

Et cela signifie que vous devriez l’utiliser pour promouvoir votre marque et stimuler les ventes.

Nous espérons qu’à ce stade, vous avez une bonne idée non seulement de ce que l’email marketing peut faire pour vous, mais aussi de son fonctionnement et de la manière de créer et d’optimiser vos propres campagnes.

Il n’y a vraiment pas de meilleur moyen de se connecter avec son public et de transmettre la valeur de sa marque.

Maintenant, mettez-vous au travail – vous avez des clients à attirer.

Le marché de la publicité digitale ralentit

Nous vous proposons cette excellente contribution de E-marketing.fr

Malgré une hausse de 10% du secteur en 2022, certains leviers font nettement moins recettes. Face à la récession et aux différentes crises, les prévisions tournent autour de 6% de hausse pour 2023.

L’évolution du marché de la publicité digitale marque le pas. Dévoilés ce jeudi 2 février, les résultats de la 29ème édition de l’Observatoire de l’E-Pub du Syndicat des Régies Internet portant sur l’année 2022 « peuvent surprendre », selon Sylvia Tassan Toffola, présidente du SRI. Équivalente à 25% en 2021, la progression affiche 10% en 2022. Les recettes enregistrées s’élèvent à 8,492 milliards d’euros, contre 7,7 milliards, un an auparavant. La crise économique et le contexte géopolitique n’auront pas épargné la pub online, qui affichent pourtant des scores historiques depuis 2019 (+42%). Plusieurs secteurs sont touchés comme l’automobile, l’énergie, l’alimentaire quand d’autres comme le tourisme ou le luxe repartent à la hausse.

Google-Meta-Amazon, en léger repli

Dans ce baromètre 2022, le search et le social s’imposent comme les leviers les plus performants. Ils représentent d’ailleurs 80% de la croissance du digital. Le search représente 44% dans le mix avec 3,7 milliards d’euros, en hausse de 13%. Le social (+ 10%), représente 2,2 milliards d’euros de recettes. « Le marché se fragmente, Meta rencontre des difficultés et donc ce levier croît moins que les autres années », indique Emmanuel Amiot, représentant le cabinet Oliver Wyman, auteur de l’étude. A noter, les deux tiers du marché reviennent aux trois géants que sont Google, Meta et Amazon, soit 5,6 milliards d’euros à comparer aux 2,8 milliards d’une centaine d’acteurs. Mais pour la première fois, ces trois acteurs enregistrent un point de moins sur le marché digital, en raison en particulier du ralentissement de Meta.

Net ralentissement du display

Si l’affiliation maintient son niveau à 905 millions d’euros (+2%), le display est à la peine avec 9% de hausse (VS +38% en 2021) à 1,6 milliard d’euros et un net ralentissement sur le second semestre de l’année. Dans cet écosystème, le retail media (Fnac-Darty, Infinity, Le Bon coin, Carrefour Media…) est en progression de 18,1%, pour atteindre 328 millions d’euros, alors que le streaming vidéo et musical (Youtube, Spotify, Deezer, Dailymotion…) est à +9,5% (et +0,8% au deuxième semestre), à 489 millions d’euros. Également en forme, l’univers TV-radio, qui grâce à la TV segmentée ou la catchup, continue de croître de 18% (+9,6% au second semestre), à 260 millions d’euros. Enfin, l’édition et l’information (presse) pèsent les plus lourds avec 584 millions d’euros. Toujours au sein du display, le format vidéo croît de 11% alors que le format classique (bannières, habillages…) reste stable, tout comme les OPS. L’audio digital (+53%) affiche des résultats remarquables grâce notamment aux podcasts de marque, à son intégration dans le programmatique et de meilleures capacités de ciblage (notamment auprès des jeunes). Autre élément distinctif de l’étude, le net ralentissement du programmatique (+4%) au profit du gré à gré (21%). Aussi, il ne représente plus que 59% du marché contre 63% en 2021. A noter, cette année, la progression de 30% du retail media (display et search) qui atteint 887 millions d’euros au total (VS 681 millions en 2021).

Les attentes des annonceurs

Dans ce contexte économique tendu et incertain, les annonceurs interrogés dans l’étude ont déclaré être « de plus en plus exigeants, notamment sur la sophistication de la mesure et la qualité des inventaires publicitaires ». Les attentes citées concernent des outils fiables autour de la mesure de l’attention, des formats de qualité avec une couverture maximale et des prises de paroles différenciantes et des stratégies média 360. Concernant les prévisions, selon Emmanuel Amiot, « 2023 ne va pas commencer de façon flamboyante, mais on peut penser que ce marché continuera à croître en 2024 et 2025 ». Ainsi, prudent, le cabinet table sur 6% de croissance.

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