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Facebook annonce un concurrent de ChatGPT et une équipe dédiée à l’IA générative

Nous vous proposons cette excellente contribution de Tech&Co

Face à l’engouement autour des intelligences artificielles génératives, le groupe Meta ouvre l’accès de son modèle de langage LLaMA pour faciliter les recherches dans le domaine.

Meta a dévoilé vendredi sa propre version d’intelligence artificielle (IA) pouvant générer du texte, comme ChatGPT, l’ouvrant pour l’instant aux chercheurs afin qu’ils puissent répondre aux risques posés par ces nouvelles technologies.

L’objectif de ce nouveau modèle de langage baptisé LLaMA est « d’aider les chercheurs à progresser dans leurs travaux » sur ce sujet, notamment car il ne requiert pas des infrastructures très importantes pour être étudié, précise l’entreprise dans un texte de présentation.

« Nous sommes en train de créer un nouveau groupe de produits de haut niveau chez Meta, axé sur l’IA générative, afin de dynamiser notre travail dans ce domaine », a confirmé Mark Zuckerberg, dans une publication sur Facebook lundi.

Des usages dans WhatApps ou Instagram

Le patron du groupe Meta indique notamment se focaliser sur des outils créatifs et expressifs à court terme. Mais à l’avenir, Mark Zuckerberg reconnait vouloir développement des « personnalités » d’intelligence artificielle pour venir en aide à des personnes de manière diverse.

L’objectif sera également de travailler sur des expériences autour du texte et des images. Ces projets pourraient mener à de nouvelles fonctions au sein des applications de messagerie WhatsApp et Messenger, mais aussi à la création de filtres ou de formats publicitaires sur Instagram.

Le lancement en novembre du robot conversationnel ChatGPT de la start-up OpenAI a bousculé le monde de l’IA en permettant au grand public de constater les capacités des nouveaux « modèles de langage » à générer, en quelques secondes, un texte sur un thème donné ou à fournir une explication sur un sujet complexe. Mais elles présentent aussi des risques, qu’il s’agisse d’erreurs factuelles, de parti pris ou de la protection des données.

Une version test du moteur de recherche Bing de Microsoft, développée en partenariat avec OpenAI, a ainsi rapidement émis des réponses incohérentes, le programme informatique exprimant notamment des menaces ou son désir de voler les codes nucléaires.

Comprendre les modèles de langage

« Des travaux de recherche supplémentaires sont nécessaires pour traiter les risques de partialité, de commentaires toxiques et d’hallucinations », affirme Meta, la maison mère de Facebook et Instagram.

Mais il faut des ressources importantes, notamment en termes de puissance de calcul, pour entraîner et faire fonctionner ces modèles de langage.

Cela « limite la capacité des chercheurs à comprendre comment et pourquoi ces grands modèles de langage fonctionnent, ce qui entrave les efforts visant à améliorer leur robustesse et à atténuer les problèmes connus, tels que les biais, la toxicité et la possibilité de générer des informations erronées », remarque l’entreprise. C’est pourquoi Meta a développé plusieurs versions de LLaMA, nécessitant plus ou moins de ressources.

Alors qu’OpenAI et Microsoft limitent l’accès aux technologies faisant fonctionner leur IA, l’entreprise de Mark Zuckerberg a décidé de partager la façon dont il a élaboré LLaMA afin que les chercheurs puissent « plus facilement tester de nouvelles approches pour limiter ou éliminer » les problèmes.

Pierre Monnier avec AFP

Community Managers : que devriez-vous demander à ChatGPT pour (vraiment) gagner du temps ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital

Vous êtes community manager et vous trouvez que ChatGPT n’est pas adapté à votre secteur d’activité ? C’est parce que vous ne l’utilisez pas de la bonne manière ! Découvrez dans cet article comment vous devriez l’exploiter pour qu’il vous aide à gagner en productivité. Vous trouverez aussi l’avis du modèle de langage lui-même sur le sujet !

Comment les community managers peuvent-ils tirer parti de l’utilisation de ChatGPT ?

ChatGPT est un outil très complet, mais son utilisation varie d’un domaine à un autre si l’on veut en tirer le maximum de bénéfices. Pour les community managers, certaines interrogations sont plus pertinentes que d’autres afin de gagner en efficacité.

Voici 4 moyens efficaces d’optimiser votre utilisation de ChatGPT si vous êtes CM :

  1. Obtenir rapidement des réponses aux questions de votre communauté : utiliser ChatGPT pour répondre rapidement aux questions fréquemment posées par la communauté afin de réduire le temps de réponse et améliorer l’expérience utilisateur.
  2. Créer du contenu pertinent et intéressant : utiliser ChatGPT pour trouver des idées de contenus intéressants et pertinents pour leur public. En posant des questions à ChatGPT sur les tendances et les sujets populaires, les community managers peuvent obtenir des suggestions pour créer du contenu attrayant et pertinent pour leur public.
  3. Générer des idées de campagnes marketing : utiliser ChatGPT pour générer des idées de campagnes marketing innovantes, puisqu’en lui posant des questions sur les tendances du marché et les préférences des consommateurs, les community managers peuvent obtenir des idées pour des campagnes marketing efficaces et originales.
  4. Améliorer la compréhension de la communauté : utiliser ChatGPT pour mieux comprendre leur communauté en posant des questions sur leurs préférences, leurs besoins et leurs attentes. Cela peut aider à améliorer la stratégie de communication et à mieux répondre aux besoins de la communauté.

Qu’en pense ChatGPT ?

Nous avons interrogé directement ChatGPT sur les questions qu’il considère comme intéressantes pour les community managers. Voici les réponses qu’il nous a données :

  1. Comment puis-je augmenter l’engagement de ma communauté sur les réseaux sociaux ?
  2. Quels types de contenus devrais-je publier pour attirer l’attention de ma communauté ?
  3. Comment puis-je mesurer l’impact de mes actions sur les réseaux sociaux ?
  4. Quelles sont les meilleures pratiques pour répondre aux commentaires et messages de ma communauté ?
  5. Comment puis-je utiliser les outils de veille pour surveiller les conversations autour de ma marque ?
  6. Comment puis-je gérer les crises sur les réseaux sociaux de manière efficace ?
  7. Comment puis-je collaborer avec des influenceurs pour renforcer la visibilité de ma marque ?
  8. Comment puis-je adapter ma stratégie de community management en fonction des changements d’algorithmes sur les réseaux sociaux ?

Ces questions peuvent aider les community managers à mieux comprendre leur public et à développer des stratégies plus efficaces pour engager leur communauté sur les réseaux sociaux.

ChatGPT

Attention : n’oubliez pas de prendre en compte que ChatGPT est une IA en plein développement et qu’elle présente encore certains inconvénients. Vous pouvez consulter notre article sur les inconvénients de ChatGPT pour en prendre connaissance et ne pas vous faire avoir.

Etat des Contenus SEO 2023 : 5 Enseignements à Retenir de l’Étude Semji

Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital

Semji a récemment mené une étude visant à évaluer la performance SEO des contenus sur Google. Plus de 20 000 pages de clients, 500 000 pages de concurrents et 50 000 SERP ont été examinés pour mener à bien cette analyse.

L’objectif principal de cette étude : comprendre le comportement de Google vis-à-vis des contenus, et fournir des conseils pour vous aider à orienter votre stratégie SEO en 2023.

rapport SEO contenus Semji

 

Voici cinq enseignements à retenir de cette étude :

1.   L’importance du mot-clé dans la balise title

Résultats étude mots-clés Semji

Semji a observé que sur les 520 000 contenus analysés figurant sur la première page de Google, 75% d’entre eux utilisent le mot-clé principal dans leur balise title.

Pour affiner l’analyse, les SERP ont été segmentés par volume de recherche, ce qui a permis de constater que les mots-clés les plus recherchés étaient utilisés dans 87% des balises title. En revanche, les mots-clés moins recherchés avaient tendance à être moins présents dans les balises title.

Cette différence peut s’expliquer par le niveau de difficulté des mots-clés. Plus le mot-clé est concurrentiel, plus l’optimisation SEO de la page est essentielle, dont la balise title qui joue un rôle important dans cet effort.

2.   Certaines typologies de titres ont de meilleures performances SEO

Performance SEO Semji

Semji a identifié trois grandes catégories de titres d’articles pour évaluer leur performance : les titres sous forme de question, les listicles et les titres incluant une année.

On remarque des différences de performance entre ces catégories, notamment avec les titres sous forme de question ou contenant une année qui génèrent davantage de clics. Les listicles ont également attiré un trafic important par rapport aux autres types de titres.

Toutefois, les résultats peuvent varier en fonction des données analysées et du secteur d’activité. Il faut donc varier les types de titres et comparer leurs performances pour trouver ceux qui fonctionnent le mieux dans votre secteur.

3.   Un comportement utilisateur différent sur une SERP avec ou sans P0

comportement utilisateur serp position 0

Bien que la position 0 soit celle qui attire le plus de clics (17%) parmi les autres contenus positionnés, il convient de noter que la réponse à la requête est presque entièrement visible sur la SERP, ce qui se traduit par un taux de clic plus faible que pour une première position classique sans P0 (25%).

En fin de compte, la première position sur une SERP sans position 0 reste plus avantageuse en termes de performance.

Par ailleurs, la présence d’une position 0 dans les SERP a également un impact sur le comportement des utilisateurs.

On constate que pour les pages positionnées en tant que position 0, le taux de rebond est plus élevé et la durée de session est plus courte que pour les pages positionnées en première position sur une SERP sans position 0.

Cette différence peut s’expliquer par la nature des mots-clés qui déclenchent des réponses plus courtes et donc plus rapidement consultées par les utilisateurs.

4.   Les gains dépendent du niveau d’optimisation SEO du contenu

niveau optimisation seo article impact trafic

L’optimisation de contenu a-t-elle réellement un impact sur la performance des contenus ?

Pour répondre à cette question, Semji a analysé 20 000 contenus optimisés via leur plateforme, puis les a catégorisés en fonction de leur Content Score (une note globale aux contenus, allant de 0 à 100) pour évaluer l’impact de ces efforts d’optimisation sur le trafic. Pour définir les scores des contenus, la technologie Semji s’appuie sur différents éléments : balise title, longueur de l’article, réponses aux intentions de recherche et aux questions des internautes, maillage interne, le champ lexical utilisé et la comparaison avec les contenus concurrents en top position.

On constate alors des écarts de performance très importants entre les contenus ayant un score élevé et ceux ayant un score moyen ou bas. En effet, un article avec un score inférieur à 20 obtient 5 fois moins de trafic qu’un contenu ayant un score compris entre 70 à 100.

Il est donc évident que l’optimisation de contenu est l’une des clés pour maximiser le trafic et le retour sur investissement de vos contenus.

5.   Il faut environ 6 à 10 mois pour qu’un nouvel article atteigne ses performances optimales

délais avant performances optimales article

Lorsqu’un nouveau contenu est publié, il est important de prendre en compte qu’un phénomène d’inertie se produit de la part de Google. En effet, il faut en moyenne entre 2 à 6 mois pour que le positionnement d’un nouveau contenu sur son mot-clé principal se stabilise. Il est donc nécessaire d’attendre au moins 6 mois pour que le trafic SEO optimal soit atteint.

Il est important de noter que ces données peuvent varier en fonction de plusieurs facteurs tels que le mot-clé ciblé, le secteur d’activité, la saisonnalité, etc.

Il est conseillé de prendre en compte cette information dans votre stratégie SEO : l’importance de l’inertie de Google incite à ne pas se précipiter pour mesurer les performances de vos contenus.

Ces 5 éléments ne représentent qu’une partie des 18 points clés exposés dans l’étude menée par Semji. Pour obtenir l’ensemble de l’analyse ainsi que pour appliquer les conseils qui en découlent, vous pouvez télécharger l’étude complète en cliquant ici.

Pour ne plus être le SEO à la traine sur vos longues traines

Nous vous proposons cette excellente contribution de Korben

Connaissez-vous le concept de longue traine ?

C’est le passe-temps favori des experts en référencement (SEO) qui tentent d’en fourrer un maximum sur le site, en déterminant une grosse quantité de requêtes propres à leur domaine, y compris des requêtes peu fréquentes. Cela permet de capter du trafic sur plein d’expressions et de mots clés plus ou moins longs.

Sauf que voilà, faut un peu d’imagination pour les trouver toutes ces expressions. Heureusement, il y a un outil gratuit qui peut vous aider et qui s’appelle Suggest Machine.

Le concept est simple, vous entrez un mot clé, une langue (slurp), un pays et c’est parti mon kiki. Suggest Machine commencera à lister à la fois des requêtes suggérées, mais également des questions. Pour cela, il se base sur les suggestions renvoyées par Google.

Puis complétera votre demande initiale avec ses résultats pour générer encore plus de résultats et ainsi de suite.

 

Et ça peut durer comme ça, un bon moment. Donc après à vous d’exporter les listes en CSV pour commencer à bosser sur votre contenu SEO de longue traine.

Bon courage pour ce travail long et pénible !

A son tour, Facebook dévoile ses ambitions dans l’IA générative de type ChatGPT

Nous vous proposons cette excellente contribution de Les Échos

Meta ne veut pas être à la traîne dans la course à l’intelligence artificielle . Défié par Microsoft qui a investi lourdement dans ChatGPT , le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a dévoilé sa propre version d’IA générative. Mais cette dernière est, pour l’instant, ouverte uniquement aux scientifiques.

L’objectif de cet outil baptisé LLaMA est « d’aider les chercheurs à progresser dans leurs travaux » sur ce sujet, notamment car il ne requiert pas des infrastructures très importantes pour être étudié, précise Meta dans un texte de présentation.

En novembre, le lancement du robot conversationnel ChatGPT de la start-up OpenAI a bousculé le monde de l’IA, en permettant au grand public de générer, en quelques secondes, un texte sur un thème donné ou à fournir une explication sur un sujet complexe. Depuis, tous les géants de la Tech ont réagi dans le monde occidental et en Chine, craignant de rater un virage majeur.

Le risque de la précipitation

Mais, préviennent les experts, cet outil présente aussi des risques, qu’il s’agisse d’erreurs factuelles, de parti pris ou aussi en matière de protection des données. Une version test du moteur de recherche Bing de Microsoft, développée en partenariat avec OpenAI, a ainsi rapidement émis des réponses incohérentes, le programme informatique exprimant notamment des menaces ou son désir de voler les codes nucléaires…

« Des travaux de recherche supplémentaires sont nécessaires pour traiter les risques de partialité, de commentaires toxiques et d’hallucinations », affirme Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, qui a déjà été épinglée à plusieurs reprises dans son histoire en raison de la circulation de fake news sur ses plateformes. Aux yeux de Meta, il faut des ressources importantes, notamment en termes de puissance de calcul, pour entraîner et mieux faire fonctionner les nouveaux modèles de langage.

Plusieurs versions disponibles

A ce stade, le manque de ressource « limite la capacité des chercheurs à comprendre comment et pourquoi ces grands modèles de langage fonctionnent, ce qui entrave les efforts visant à améliorer leur robustesse et à atténuer les problèmes connus, tels que les biais, la toxicité et la possibilité de générer des informations erronées », précise l’entreprise californienne.

C’est pourquoi Meta a développé plusieurs versions de LLaMA, nécessitant plus ou moins de ressources. Alors qu’OpenAI et Microsoft limitent l’accès aux technologies faisant fonctionner leur IA, l’entreprise de Mark Zuckerberg a décidé de partager la façon dont il a élaboré LLaMA afin que les chercheurs puissent « plus facilement tester de nouvelles approches pour limiter ou éliminer » les problèmes. Un pari qui, espère Meta, sera gagnant en fin de course.

Nouvellement nommé à l’ARTP : le RESTIC liste les 5 défis majeurs pour le directeur général

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Nous vous proposons cette excellente contribution de DakarActu

Dans un communiqué lu à Dakaractu, le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (RESTIC) a tenu à lister les 5 défis urgents pour l’autorité de régulation.

Selon le RESTIC, « le Sénégal ne figure pas dans le classement des premiers pays d’Afrique en terme de connexion rapide à internet ». Et pourtant d’après ledit Rassemblement « Le Sénégal a souscrit à plus de trois câbles sous-marins, cependant notre pays reste à la traine en terme de vitesse de téléchargement et de qualité de services selon l’agence anglaise Cable.co.uk. Au classement mondial, le Rwanda occupe la 48ème place mondiale -le premier en Afrique- c’est aussi dire le retard du continent par rapport aux autres pays de la planète. La Réunion et l’Afrique du Sud viennent en seconde et troisième place au niveau africain avec respectivement (37,44 Mbps) et (28,62 Mbps). Madagascar est au pied du podium avec sa 4ème place et une vitesse de connexion moyenne de 19,29 Mbps devançant ainsi le Nigéria (15,37 Mbps), les Seychelles (14,89 Mbps) et le Burkina Faso (13,43 Mbps) le Maroc (13,03 Mbps) et le Kenya (12,42 Mbps). Même Madagascar dans la même configuration géographique que notre pays comme point de passage de câbles sous – marins fait mieux, beaucoup mieux que le Sénégal ».

Le RESTIC de rappeler le défi de la Convergence des télécoms et des médias. « Le sujet est sensible, car il pose clairement l’hypothèse de la fusion des deux autorités de régulation : celle des télécoms et celle de l’audiovisuel, dans les pays où ces régulations sont séparées comme au Senegal. L’importance de trouver du spectre pour les applications haut débit : le nombre d’abonnés mobiles en augmentation et les services offerts sur les réseaux télécoms exigent de plus en plus de bande passante sur les réseaux télécoms. À cet effet, l’UIT et les régulateurs doivent trouver des fréquences adéquates pour faire face à cette évolution. Il y a lieu d’instaurer le principe de la neutralité des fréquences mobiles, quelle que soit la technologie utilisée ».

Poursuivant, le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication d’ajouter : « Le respect de la neutralité du Net pour plus de diffusion de contenus locaux, la migration des interfaces est en cours, aujourd’hui le smartphone remplace le poste de téléviseur, l’autorité de régulation doit accompagner cette mue. Un accompagnement des start up avec une régulation qui leur permet de se développer pour être de vraies entreprises innovantes. la contribution du numérique au PIB atteint désormais 10 %, cependant l’écosystème pour les entreprises innovantes dans les SVA ou services à valeur ajoutée reste problématiques. Aussi il faut urgemment revoir la stratégie de déploiement et de développement des operateurs virtuels. L’écosystème doit être urgemment adressée par une régulation adéquate qui assure les investisseurs et les entreprenants du numérique et du digital. Enfin Le Sénégal présente un panorama numérique et digital a fort potentiel et l’ARTP doit veiller à un contrôle des prix et tarifs des operateurs. Le coût de la connectivité fixe et mobile peut beaucoup baisser au Sénégal ».
En définitive, le RESTIC de compter sur le nouveau DG pour une régulation proactive inclusive avec toutes les parties prenantes…

Évitez ces 5 pièges dans votre marketing digital

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Nous vous proposons cette excellente contribution de Entrepreneur

Les opinions exprimées par les collaborateurs d’Entrepreneur sont les leurs.

Le marketing digital est un excellent moyen pour les startups d’accroître leur visibilité et d’attirer de nouveaux publics et clients. Un tiers des clients découvrent de nouvelles marques via les médias sociaux – plus ils sont jeunes, plus cette part est élevée. Les données de Google montrent que 49 % des consommateurs utilisent le moteur de recherche pour rechercher de nouveaux produits.

Par conséquent, il n’est pas surprenant que les réseaux sociaux et les sites web des entreprises soient les deux canaux marketing les plus importants en 2023 – avec plus de 80 % des marketeurs exploitant ces voies pour atteindre des clients potentiels. Ils sont suivis de près par le marketing par courrier électronique – ce qui n’est pas surprenant, étant donné qu’en moyenne, le courrier électronique rapporte 36 dollars pour chaque dollar dépensé.

Conclusion ? Les startups doivent avoir une solide stratégie de marketing digital pour rester compétitives.

Cependant, de nombreux nouveaux concurrents commettent des erreurs de base lors de l’élaboration de leur stratégie. Voici les cinq pires écueils – et comment les éviter.

1. Ne pas identifier les publics cibles et leurs points sensibles

L’une des erreurs les plus courantes que commettent les startups dans leurs stratégies de marketing digital est de se lancer sans avoir une idée claire de leur public cible ou des points sensibles de ce public. Cela est particulièrement vrai pour les startups fraîchement lancées, car il est tentant de ratisser large pour cibler autant de clients potentiels que possible.

Cependant, les stratégies de marketing digital sont plus efficaces lorsqu’elles ont un objectif clair et un public restreint. L’une des meilleures façons de définir ce public est de créer des personas clients et une stratégie sur mesure pour chacun d’entre eux.

2. Négliger les éléments de base : sites web, blogs et SEO

En 2023, le marketing digital offre aux startups de nombreuses possibilités d’engager leur public, avec un accent de plus en plus marqué sur les médias sociaux.

Par conséquent, de nombreuses startups se concentrent exclusivement sur les canaux sociaux au détriment de composantes moins tape-à-l’œil mais tout aussi importantes du marketing digital : le site Web de leur entreprise, le contenu de leur blog et le référencement. Les sites web de nombreuses startups sont peu informatifs et très design. Ils sont tout sauf les centrales optimisées pour le référencement et riches en contenu qu’ils doivent être pour se classer dans Google et accroître leur visibilité.

Les blogs, en particulier, ont tendance à être mis de côté. Face à des tendances tape-à-l’œil comme le marketing d’influence, la rédaction d’articles peut sembler dépassée en 2023. Pourtant, les blogs restent une pierre angulaire du marketing de contenu et présentent un grand potentiel en termes de référencement.

3. Laisser le potentiel d’automatisation et de personnalisation inexploité

Une autre erreur commune à de nombreuses startups lors de l’élaboration de leur stratégie de marketing digital est de négliger l’automatisation et la personnalisation. Les plateformes de marketing modernes offrent ici un énorme potentiel. De nos jours, la technologie permet aux spécialistes du marketing d’adapter le contenu et la stratégie de messagerie aux préférences de chaque client. Une étude de McKinsey montre que 71 % des clients s’attendent désormais à recevoir des messages personnalisés de la part des entreprises.

Les outils d’automatisation peuvent aider les spécialistes du marketing à rationaliser leurs flux de travail et à obtenir des résultats plus efficacement. Toutefois, pour en tirer le maximum d’avantages, ils doivent être planifiés au départ, faute de quoi les données sont cloisonnées. En intégrant la personnalisation et l’automatisation dans leur stratégie de marketing digital dès le premier jour, les startups peuvent construire une base de données complète.

4. Ignorer la preuve sociale

Pourquoi les clients devraient-ils faire confiance à une startup ? Par définition, ces entreprises sont toutes nouvelles et n’ont donc pas d’antécédents fiables pour être jugées. C’est pourquoi les startups doivent intégrer la preuve sociale dans leur stratégie de marketing digital dès le début.

Lorsqu’ils achètent une marque inconnue en ligne, 95 % des gens lisent les avis des clients avant. C’est pourquoi le fait de montrer des témoignages, des évaluations et des liens vers des sites d’évaluation comme Trustpilot sur les sites Web des entreprises peut considérablement augmenter les conversions.

Une autre solution consiste à exploiter l’économie croissante des créateurs en travaillant avec des influenceurs qui peuvent accéder à un public qui leur fait confiance.

Une enquête du département Recherche de Statista a montré que 45 % des consommateurs âgés de 18 à 34 ans avaient essayé des produits recommandés par des micro-influenceurs. 27 % ont même déclaré avoir effectué des achats directement après avoir vu un post.

5. Ne pas revoir et améliorer sa stratégie de marketing digital

Une dernière erreur que trop de startups commettent dans leurs stratégies de marketing digital est de les rédiger une fois pour toutes. Au lieu de cela, chaque stratégie de marketing digital devrait inclure des dispositions pour effectuer des révisions et des améliorations. Régulièrement.

Quelle que soit la profondeur de la recherche initiale d’une startup sur ses clients cibles, même les meilleures stratégies doivent être ajustées lorsque de nouvelles informations sont disponibles. Des révisions périodiques devraient faire partie de la stratégie de marketing digital de chaque startup, tout comme les objectifs S.M.A.R.T.. En définissant des objectifs marketing spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporels, les startups peuvent définir des points concrets à revoir à chaque itération de leur stratégie de marketing digital.

Réflexions finales

Le développement d’une stratégie de marketing digital est une nécessité pour toute startup. Le faire correctement, cependant, est un défi.

En évitant les pièges courants décrits ci-dessus, les startups peuvent élaborer une stratégie sur mesure et efficace pour leurs efforts de marketing digital.

Avoid These 5 Pitfalls In Your Digital Marketing - Entrepreneur

TikTok : l’application soupçonnée d’espionnage par la Commission européenne

Nous vous proposons cette excellente contribution de franceinfo

L’application chinoise est soupçonnée d’être spécialisée dans l’espionnage à très grande échelle, à tel point que la Commission européenne vient de demander à ses employés de la supprimer de leurs téléphones.

L’application chinoise TikTok inquiète. Les 33 000 employés de la Commission européenne devront l’effacer d’ici le 15 mars. « Il est clair qu’il y a un problème de sécurité, nous savons que Bruxelles est une centrale d’espionnage au niveau international », estime Christiano Sebastiani, président du syndicat Renouveau et démocratie. L’application a en effet accès au micro, aux photos ou encore à la géolocalisation.

En 2022, les États-Unis ont interdit son usage au Sénat et à la Chambre des représentants, après un scandale impliquant deux reporters espionnés par ByteDance, la maison-mère de TikTok. Le Sénat français a lancé une enquête début février. « La loi chinoise oblige toute société à coopérer avec les services de renseignement chinois », affirme Claude Malhuret, sénateur et président du groupe Les Indépendants. L’application rejette les accusations d’espionnage. Les données des utilisateurs européens seront bientôt stockées en Irlande, mais l’entreprise ne précise pas si les autorités chinoises auront accès aux flux d’informations.

Qui sont ces “robots de tous les jours” que Google licencie ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Presse-citron

  • L’une des filiales d’Alphabet, Everyday Robots, a développé un robot capable d’effectuer des tâches comme nettoyer une table, ranger les chaises, ou trier des déchets
  • Une centaine de ces robots étaient déjà utilisés dans les locaux de la firme
  • Malheureusement, Everyday Robots en tant que filiale indépendante d’Alphabet cessera d’exister

Google met fin à l’aventure Everyday Robots, ou “robots de tous les jours”, une filiale d’Alphabet qui a développé des robots capables d’effectuer des tâches ménagères comme nettoyer les tables, trier des déchets, ou ranger les chaises. Ces robots sont déjà utilisés dans les locaux de Google (il y en a une centaine). Et sur le long terme, la technologie aurait peut-être été prometteuse.

Everyday Robots a été développé au sein du laboratoire “X” de Google, avant de devenir une filiale à part entière d’Alphabet. Mais malheureusement, cette filiale sera fermée. Plus exactement, voici ce qu’explique Denise Gamboa, directrice du marketing et des communications pour Everyday Robots, selon le magazine Wired : “Everyday Robots ne sera plus un projet distinct au sein d’Alphabet. Une partie de la technologie et une partie de l’équipe seront consolidées dans les efforts de robotique existants au sein de Google Research.”

En 2022, Alphabet (maison-mère de Google) semblait encore optimiste par rapport à ce projet. Dans une vidéo, Google Research et Everyday Robots annonçaient une collaboration pour “combiner le meilleur des modèles de langage d’apprentissage automatique avec des robots auxiliaires capables d’effectuer des tâches complexes et abstraites telles que “nettoyer une boisson renversée”. Cela aurait pu donner une IA capable de communiquer avec les humains, mais avec un corps.

Google réduit ses coûts, les robots licenciés ?

Ce n’est pas la première fois que la maison-mère de Google annonce la fermeture d’une filiale prometteuse. Parmi les projets qui ont fini par être abandonnés, on peut citer Loon, qui visait à connecter les zones blanches grâce à des ballons. Parmi ceux qui ont survécu, on peut citer Waymo (voitures autonomes) et Wing (livraison par drone).

Les projets futuristes de Google, bien qu’impressionnants, ne génèrent pas de revenus. Selon Wired, en 2022, ceux-ci auraient par exemple généré une perte de près de 6,1 milliards de dollars. Or, comme vous le savez peut-être déjà, Google n’a pas été épargné par la crise. Et celui-ci, comme d’autres géants de la tech, est obligé de réduire ses coûts et de se focaliser sur les projets les plus importants. En début d’année, la firme a d’ailleurs annoncé le licenciement de 12 000 employés.

Et d’autres mesures que Google prendrait pour réduire ses coûts fuitent sur la toile. Par exemple, selon un article de CNBC, la firme aurait récemment demandé aux employés de partager des bureaux. “La plupart des Googleurs partageront désormais un bureau avec un autre Googleur”, lirait-on sur une note interne, selon le média américain.

Bannière Publicitaire sur YouTube : Comment Bénéficier du Meilleur Créneau Horaire ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital

La bannière Masthead sur YouTube, ça vous parle ? Et si on vous disait qu’elle vous permettait de bénéficier d’un affichage publicitaire aux créneaux horaires les plus bénéfiques, pendant les grands évènements ou alors au moment idéal pour votre cible ? Allez, on vous explique tout dans cet article.

Qu’appelle-t-on une bannière Masthead sur YouTube ?

Une bannière Masthead est une forme de publicité sur YouTube qui est affichée en haut de la page d’accueil de YouTube pour une durée déterminée.

C’est un emplacement publicitaire très intéressant, puisqu’il est visible dès que l’utilisateur accède à la page d’accueil de YouTube.

La bannière Masthead est un format publicitaire premium qui est généralement réservé aux grandes marques ou aux campagnes publicitaires de grande envergure. Elle peut prendre différentes formes :

  • Une vidéo publicitaire
  • Une image statique
  • Un carrousel d’images

Les annonceurs peuvent aussi personnaliser leur bannière Masthead avec des images, des messages et des liens cliquables vers une page de destination bien spécifique, comme une page de produit ou un site Web.

La bannière Masthead offre une grande visibilité et une large portée, ce qui peut aider à augmenter la notoriété de la marque et les conversions de vente.

Aperçu d’une bannière Mastead postée par McDonald’s sur YouTube

Comment bénéficier des meilleurs créneaux pour l’affichage de vos publicités sur YouTube ?

YouTube propose depuis le 8 février 2023 une bannière Masthead au coût par heure. Les entreprises ont désormais la possibilité de payer pour pouvoir afficher leur publicitaire en tête de la page d’accueil de YouTube lors de moments importants.

Cette bannière « fournit 100 % de la part de voix (PDV) des impressions éligibles de la bannière Masthead YouTube lors des heures réservées que vous avez achetées. »

Cette nouvelle façon d’acheter l’emplacement le plus visible de YouTube vous donne la propriété exclusive de la bannière Masthead pendant les heures qui précèdent, pendant ou après les moments prioritaires.

Kristen O’Hara et Ellen Czaïka, respectivement Vice-président, Solutions d’agence et de marque et Chef de produit, publicités chez YouTube

Cette nouvelle possibilité d’affichage publicitaire permet aux marques de se démarquer dans des moments forts, qu’ils soient culturels, politiques, économiques, etc., puisqu’elles bénéficient alors du monopole sur l’affichage dans cette bannière.

C’est d’ailleurs ce qu’a choisi de faire McDonald’s Brésil lors de la récente coupe du monde de football. Comme vous pouvez le voir sur l’image un peu plus haut dans cet article, la marque a choisi d’afficher une publicité incitant les utilisateurs à acheter un repas chez McDonald’s, avant chaque match.

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