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Le trafic Google pour compenser la baisse du reach sur Facebook

Les données de Chartbeat et Parse.ly montrent une hausse du trafic envoyé par Google aux médias.

Google est-il en train de sauver les médias en ligne ? En début d’année, Facebook annonçait une mise à jour destinée à réduire les portées des pages et à augmenter celles des profils sur son réseau social.

Mark Zuckerberg veut que le temps passé sur Facebook ait plus d’importance en encourageant les interactions entre amis. Malheureusement, cela se fait au détriment de nombreux médias, qui ont eu l’habitude d’attirer des visiteurs via leurs pages Facebook.

La bonne nouvelle, c’est qu’il semblerait que Google soit en train de compenser cette perte de trafic

C’est du moins ce que suggèrent les statistiques mises en lignes par Chartbeat. Les services de cette société sont utilisés par plus de 50 000 sites web et chaque mois, elle analyse 50 milliards vues. Chartbeat a donc suffisamment de données pour observer les nouvelles tendances.

Et si Google a toujours été la première source de trafic chez ses clients, depuis le mois d’août, la société a observé une hausse significative du trafic renvoyé par le moteur de recherche, pendant que celui de Facebook baissait.

« Depuis janvier 2017, nous observons avec intérêt le trafic généré par la recherche Google vers les sites d’éditeurs à l’échelle mondiale qui a augmenté de plus de 25%, dépassant de loin la baisse très médiatisée des références Facebook sur la même période », lit-on dans un billet.

Des recherches approfondies ont permis à la société de tirer d’autres conclusions. La hausse du trafic renvoyé par Google provient du mobile, et non des ordinateurs. Et plus exactement, ce sont les pages AMP ou Accelerated Mobile Pages qui permettent cette montée du trafic provenant de Google.

Ces données sont publiées alors que récemment, Google a de son côté annoncé qu’AMP est désormais utilisé par 31 millions de sites web.

En décembre, des tendances similaires ont été observées par Parse.ly, dont les services sont utilisés par 2 500 sites, et parmi lesquels figurent quelques grands médias. La part de Facebook sur le trafic de ces sites est passée de 40 % à 26 % durant l’année 2017 tandis que celle de Google est passée de 34 % à 44 %.

Source 

[FW 500] Qui sont les champions du e-commerce français?

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Rythmé par de nombreux rachats, le secteur du e-commerce en France a fait parler de lui ces derniers mois. Une consolidation donc, mais aussi une tendance à la hausse. En 2015, pas moins de 25 000 nouveaux sites de e-commerce ont vu le jour en France (contre 20 000 en 2014), selon des chiffres de la FEVAD. Au total, ce sont 182 000 e-commerçants qui ont été recensés par l’association professionnelle, et ce chiffre devrait encore croître en 2016 (+10%).

Le marché du e-commerce est lui aussi toujours en pleine croissance. Les Français ont en effet dépensé 69,4 milliards d’euros sur Internet en 2015, soit 14% de plus qu’en 2014 (toujours selon des chiffres de la FEVAD).

Reste que les acteurs français doivent cohabiter avec des géants tels qu’Amazon ou encore eBay. Certains e-commerçants français résistent à la superpuissance: lesquels présentent le plus fort potentiel de croissance? Au-delà des marketplaces, qui sont les autres acteurs de cet écosystème?

Le Frenchweb 500 a pour objectif de mettre en lumière ces potentiels de l’e-commerce français, en se focalisant sur les pure-players du secteur. Ce focus «spécial e-commerce» reprend les éléments du classement annuel publié en avril qui liste les 500 premières entreprises de la Tech française.

Un chiffre d’affaires cumulé dépassant les 9 milliards d’euros… Amazon à 86 milliards

Sans surprise, 58% des entreprises identifiées par Frenchweb ont moins de 10 ans. En 2015, elles ont généré des revenus cumulés dépassant les 9,5 milliards d’euros.

On notera cependant que seuls deux e-commerçants réalisent un volume d’affaires dépassant le milliard d’euros (vente-privee et voyages-sncf), alors que Amazon affiche des revenus dépassant les 86 milliards d’euros (97,9 milliards de dollars) sur la même période.

Enfin, il faut noter que les 58 entreprises e-commerçantes identifiées emploient près de 12 000 salariés en France.

Le Top 10 des e-commerçants du Frenchweb 500

  1. Vente-privee.com 
  2. voyages-sncf.com 
  3. Parrot 
  4. Showroom Privé 
  5. Photobox 
  6. Oscaro 
  7. Le Bon Coin 
  8. Voyage Privé 
  9. LDLC 
  10. Sarenza

Source : French Web 


Suggestions de mots-clés de Google Suggest

Cet outil vous permet d’obtenir une liste de mots ou expressions suggérés par Google sur la base d’un mot (ou expression) que vous fournissez. Pour plus d’explications, lire cette présentation de Google Suggest.

Autocomplete

Les débuts de Google Suggest

A son lancement et pendant plusieurs années, Google Suggest affichait à droite de chaque suggestion le nombre de résultats obtenus pour la requête concernée. Ceci fut supprimé, ce qui permit de clarifier les choses, car certains utilisateurs pensaient qu’il s’agissait du volume mensuel de recherches (comme l’indiquent d’autres outils comme AdWords Keyword Planner). Voici à quoi cela ressemblait :

Quand Google Suggest est sorti fin 2004, très peu d’outils similaires existaient. A l’époque, c’était considéré comme un outil hybride à mi-chemin entre les générateurs de mots ou expressions connexes du type AOL.fr (Exalead) ou Altavista (related searches) et les générateurs de mots clés proposés par Overture et Espotting (basés sur les statistiques des requêtes des utilisateurs).

Aujourd’hui, tous les utilisateurs de Google sont largement habitués à ce système de complétion automatique de la recherche. Au fur et à mesure où vous tapez des caractères, Google affiche une liste de suggestions automatiques. Il s’agit en général de recherches qui commencent par les caractères ou mots que vous avez déjà tapés.

Classement des suggestions semi-automatiques

Le classement des expressions n’est ni alphabétique, ni fonction du nombre de mots, mais simplement lié à la fréquence des requêtes sur Google. En d’autres termes, Google vous suggère d’abord les requêtes les plus souvent faites par l’ensemble des utilisateurs.

Ces suggestions sont également choisies en fonction de votre historique de recherches. Celui-ci n’est pris en compte que si vous êtes connecté à votre compte Google et si l’option « Activité sur le Web et les applications » est activée.

Le moteur de recherche essaie aussi de montrer la diversité des recherches effectuées par ses utilisateurs. Dans ce cadre, les prédictions fournies par l’algorithme mettent parfois en avant des actualités populaires. Il s’agit d’intérêts populaires récents de la masse des internautes, parfois pour votre région. Dans ce cas, les suggestions peuvent varier au cours d’une même journée et ne sont pas liées à votre historique des recherches.

Enfin, les suggestions peuvent être influencées par votre position géographique, si la requête a une connotation locale. Dans ce cas, même en navigation privée, les suggestions dépendent de votre lieu (sauf si Google n’arrive pas à l’identifier et vous géolocaliser correctement).

Je continue la lecture par ici…

Google Chrome active son bloqueur de publicités intrusives

Google déploie ce jeudi son « filtre publicitaire » sur Chrome. Objectif : proposer aux utilisateurs du navigateur le plus populaire du marché une expérience plus fluide. Les publicités intrusives seront automatiquement bloquées, après un délai de 30 jours, sur les sites web des éditeurs qui ne se seront pas mis en conformité.

On récapitule les formats concernés, les raisons de cette nouveauté, l’incidence pour les éditeurs et ce qu’il faut faire si des publicités intrusives sont repérées sur son site.

Quelles sont les publicités concernées ?

Commençons par le plus important : les formats publicitaires concernés par le filtre des publicités de Google Chrome. Nous verrons ensuite comment ils ont été choisis. Google a décidé de sanctionner 4 formats desktop et 8 formats mobiles.

Les formats publicitaires bloqués sur desktop et sur mobile

Voici les publicités qui seront bloquées par Google Chrome, sur desktop et mobile :

  • Les pop-up
  • Les vidéos en autoplay avec du son
  • Les publicités « sticky », situées en bas de l’écran, si elles sont trop hautes
  • Les interstitiels avec un compte-à-rebours affichés avant le contenu (prestitial)

À noter que sur mobile, les interstitiels affichés avant le contenu seront bloqués dans tous les cas (qu’un compte-à-rebours avant fermeture soit imposé ou non). À noter également que la taille maximale des sticky ads devrait être équivalente à 30% de l’écran, selon les informations du site dédié, Coalition for Better Ads.

Les formats publicitaires bloqués uniquement sur mobile

Google bloque aussi les formats suivants, mais uniquement sur mobile :

  • Les publicités visibles sur plus de 30% de l’écran
  • Les publicités animées, « qui flashent »
  • Les interstitiels avec un compte-à-rebours affichés après le contenu (postitial)
  • Les publicités « plein écran » affichées lors du scroll

Tous ces formats publicitaires sont présentés dans cette infographie. Vous pouvez consulter cette page du site Coalition for Better Ads pour obtenir plus de détails sur les formats concernés par le blocage des publicités par Google Chrome.

Pourquoi Google bloque ces publicités sur Chrome ?

Google avance plusieurs faits pour justifier sa décision :

  • Les utilisateurs de Google Chrome peuvent faire des commentaires sur leur expérience de navigation : 20% concernent la publicité indésirable.
  • En 2017, la fonctionnalité « Mute This Ad » a été utilisée 5 milliards de fois
  • Les taux d’adblocking sont élevés, notamment en Europe

En France, 11% des internautes bloquent les publicités sur leur navigateur (très majoritairement sur desktop, contrairement aux internautes asiatiques qui bloquent surtout les publicités sur mobile). La carte ci-dessous permet de visualiser l’adblocking dans le monde (source : PageFair, février 2017).

 

MONNAIE ÉLECTRONIQUE : QU’EST-CE QUE LE BITCOIN ?

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Le bitcoin est un phénomène super geek. Même pour les plus geeks, le bitcoin est geek. C’est dire ! Et le monde se partage déjà entre deux camps : celui qui voit dans le bitcoin une nouvelle invention révolutionnaire, et celui qui n’y voit qu’une vaste blague. Café de la Bourse vous explique ce qu’est le bitcoin, les enjeux qui se rattachent à sa technologie, son rôle et sa place aujourd’hui.

Malgré son image très geek, en septembre 2015, l’autorité de régulation du marché des matières premières aux États-Unis, la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), a officiellement déclaré que le bitcoin entre dans la catégorie des matières premières. Il s’agit donc d’un premier pas vers une régulation des monnaies virtuelles. Les transactions financières en bitcoin et le trading sur les plateformes spécialisées devront désormais s’effectuer en respectant les règles encadrant les échanges de matières premières.

Aujourd’hui, les grandes banques cherchent aussi à exploiter au mieux le potentiel financier de la Blockchain, la technologie du Bitcoin, dans le but de réaliser des économies sur les transactions financières mais aussi d’établir des standards à travers l’industrie financière.

COMMENT FONCTIONNE BITCOIN ?

P2P + monnaie + cryptographie = bitcoin

Le bitcoin est une monnaie immatérielle, ou crypto-monnaie, qui permet à son détenteur d’acheter des biens et des services sur internet. À la différence des monnaies classiques, le bitcoin n’a pas de banque centrale ni aucun organisme central. Au lieu de cela, le bitcoin repose sur un vaste réseau de gré-à-gré sur internet.

Le bitcoin est en quelque sorte le fruit du mariage entre l’idée de réseau P2P (de gré-à-gré), les techniques de cryptographie et le concept de monnaie. Résultat : le bitcoin est peut-être en train de faire émerger un système financier d’un nouveau genre, complètement décentralisé, totalement libre.

Qui a créé cette crypto-monnaie appelée Bitcoin ?

Le Bitcoin est l’oeuvre d’un génie qui se fait appeler Satoshi Nakamoto. C’est tout ce que l’on sait. Ça pourrait être un homme ou une femme. Il pourrait même s’agir de plusieurs personnes, personne ne le sait.

À quoi ressemble le moyen de paiement Bitcoin ?

Un bitcoin se compose d’une clé privée et d’une clé publique. La clé publique est faite de 34 caractères alpha-numériques commençant par « 1 » ou « 3 », du style 15VjRaDX9zpbA8LVnbrCAFzrVzN7ixHNsC. La clé privée fait office de portefeuille électronique. Celui-ci est anonyme.

La clé privée est faite de 51 caractères alpha-numériques commençant par le chiffre 5. Elle est requise pour transférer des bitcoins à un autre utilisateur du réseau.

Combien de Bitcoins sont en circulation dans le monde ?

À l’heure où nous écrivons ces lignes, il circule environ 16 millions de bitcoins en 2016 (contre 10 millions de bitcoins en 2013), pour une masse monétaire d’environ 6 milliards de dollars en 2016 (contre 1 milliard de dollars en 2013).

La quantité de bitcoins en circulation est définie automatiquement par un réseau de serveurs informatiques, appelés mineurs, disséminés dans le monde entier. Ils se chargent de confirmer les transactions et les rajoutent à un journal de transactions décentralisé. Le volume de bitcoins en circulation atteindra précisément 21 millions d’unités en 2140. C’est ce que prévoit l’algorithme.

Victime de son succès, le réseau du Bitcoin, dans sa configuration actuelle, va bientôt saturer, ce qui risque de provoquer à la fois des embouteillages et une dégradation du service. Face à ce danger, une solution semble s’imposer : introduire des innovations techniques afin de permettre au réseau d’absorber plus de trafic.

Comment les Bitcoins sont-ils produits ?

C’est là que ça devient un peu technique – et un peu étrange.

Les bitcoins sont « excavés », suivant un algorithme prédéfini. Ils se trouvent par lot de 25 unités, et viennent récompenser les efforts de calcul visant à trouver la solution à ce qui s’apparente fort à un problème mathématique aléatoire.

Le rôle de l’algorithme est d’assurer que la progression du stock de bitcoins soit de plus en plus lente, en diminuant de moitié la récompense tous les quatre ans. Ainsi, début 2017, la récompense est tombée à 12,5 unités. Parallèlement, le niveau de difficulté des problèmes mathématiques à résoudre s’accroît au fil du temps, ce qui a pour effet d’espacer les récompenses.

L’algorithme a été conçu ainsi afin que le bitcoin se comporte exactement comme une denrée rare dont l’exploitation offre des rendements marginaux décroissants. Un peu comme l’or ou le pétrole, par exemple (facile et pas cher d’en trouver au début, puis de plus en plus difficile et coûteux).

Pour miner des bitcoins, il faut donc de plus en plus de temps et de ressources (puissance de calcul, matériel informatique, développeurs). Résultat : bien que virtuels, l’offre de bitcoins est contrainte. L’algorithme confère ainsi au bitcoin une immunité contre l’inflation.

En cela, le bitcoin est tout le contraire du Linden dollar, la monnaie d’échange du monde virtuel en ligne Second Life (vous vous souvenez ?). Ce dernier est produit par une autorité centrale, monopole de fait, à son bon vouloir, sans aucune limite.

La rareté du bitcoin est un des éléments lui conférant de la valeur. Un autre élément est son utilité comme moyen de paiement.

Qui accepte les paiements en Bitcoin ?

Peu de commerçants acceptent d’être payés en bitcoin. La plupart des commerces qui l’acceptent sont sur internet. Certains sites d’e-commerce, comme Bitcoinstore, ont même bâti leur modèle économique sur le bitcoin. La plateforme de blog WordPress accepte elle aussi les bitcoins. Vous pouvez aussi utiliser vos bitcoins pour vous offrir des paires de chaussettes en alpaga.

Plusieurs États ont reconnu officiellement le Bitcoin comme méthode de paiement comme le Japon en mars 2017.

Source: Café de la bourse

Comment la France se prépare-t-elle à une cyberattaque ?

Un rapport gouvernemental passe en revue la stratégie française de cyberdéfense, un domaine dans lequel la France accuse encore du retard.

La troisième guerre mondiale a commencé… sur Internet en 2004. Et elle est loin d’être terminée ! C’est ce qui ressort des échanges qui ont marqué la journée de présentation de la revue stratégique de cyberdéfense, le 12 février à Paris. Invité en juillet 2017 par le Premier ministre à produire un état des lieux de la cybermenace, le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) a rendu public lundi ce qui s’apparente à un « livre blanc ». Ce rapport, publié dans sa version définitive ce mercredi 14 février, trace les pistes à suivre pour améliorer le dispositif hexagonal de protection et de riposte face à une attaque informatique d’ampleur.

« Par rapport aux quatre autres pays qui partagent avec elle des responsabilités particulières (les États-Unis, la Russie, la Chine et le Royaume-Uni), la France accuse encore, en dépit d’un effort récemment accentué, un déficit en matière de sécurité numérique », affirme sans ambages ce document.

Des défenses à améliorer

« Dans un monde marqué par la multiplicité et l’imbrication des menaces – menaces de la force et de la faiblesse, expansion du terrorisme, risque de prolifération, attaques numériques –, la France doit constamment adapter et renforcer ses dispositifs de protection de façon systématique, hors de tout cloisonnement institutionnel et de toute approche sectorielle exclusive », explique Louis Gauthier, le patron du SGDSN.

Source

Google impose le HTTPS : bientôt 100% de requêtes (not provided)

Cette fois, c’est la bonne. Après avoir imposé la navigation sécurisée sur les dernières versions de son navigateur Google Chrome, le moteur de recherche de Mountain View vient de passer l’ensemble de ses requêtes en HTTPS. A priori, toutes les versions sont concernées : Google.com, Google.fr…

L’utilisateur n’y verra que du feu : seule le début de l’adresse affichée dans l’omnibox est différente, puisque le traditionnel HTTP devient HTTPS. Un petit cadenas est également visible à gauche de l’URL, selon le navigateur utilisé. Mais pour les administrateurs de sites web, l’incidence est réelle. Les mots clés des requêtes Google ne pourront bientôt plus être récupérés.

Lorsqu’un internaute utilise un moteur de recherche pour atteindre votre site, des outils comme Google Analytics permettent de connaître les mots clés utilisés. Mais depuis de nombreux mois, toutes les requêtes effectuées sur Google à travers une navigation sécurisée (HTTPS) cachent les mots clés utilisés. À la place, les termes (not provided)sont affichés, et leur proportion n’a cessé d’augmenter ces derniers temps. Cette progression est principalement due au passage de Mozilla Firefox et Google Chrome en navigation sécurisée. Ceux qui possèdent un compte Google effectuent également leurs recherches en HTTPS depuis plusieurs mois. Sur le Blog du Modérateur, l’augmentation de la part des Not Provided est exponentielle :

  • 59% : 12 août – 18 août
  • 64% : 19 août – 25 août
  • 70% : 26 août – 1er septembre
  • 76% : 2 septembre – 8 septembre
  • 79% : 9 septembre – 15 septembre
  • 86% : 16 septembre – 22 septembre

Ces proportions concernent l’ensemble des moteurs de recherche. Les requêtes passant par Google atteindront donc très bientôt les 100% de Not Provided. Sur le Blog du Modérateur, Google truste 95% des requêtes effectuées sur les moteurs. Certains vont finir par apprécier Delta Search

Google cherche peut-être a redorer son image, en montrant aux internautes qu’il respecte leur vie privée en cachant les requêtes effectuées. Mais ce n’est pas tout à fait vrai : sur Google AdWords, il est toujours possible d’afficher les mots clés utilisés par les internautes, même si ceux-ci passent par la navigation sécurisée. Google connaît donc l’ensemble des requêtes, et les fournit sans état d’âme aux administrateurs qui paient Google pour afficher de la publicité. Don’t be evil, qu’ils disaient ?

 
 
Google pénalise le HTTP

6 conseils pour présenter vos offres à vos prospects

La présentation d’une offre à un prospect est le point culminant d’un long processus de vente. Son importance est évidente et différentes méthodes permettent d’améliorer vos chances de conclure un contrat.

Comment présenter une offre à ses prospects ?

Afin de présenter clairement votre proposition de valeur à vos prospects et de créer un premier contact commercial efficace, suivez les 6 conseils suivants.

  1. Allez à l’essentiel 

    Lorsque vous présentez une offre, souvenez-vous que vos prospects sont très occupés : ils ont d’autres réunions, appels téléphoniques, e-mails et problèmes qui les attendent, leur temps est donc précieux.

    Préparez une présentation aussi courte que possible, d’une durée comprise entre 15 et 20 minutes environ, puisque plus vous donnez d’informations à votre client, moins il les retiendra. De plus, ne gaspillez pas ce temps précieux en arrivant en retard, en bataillant avec le projecteur ou en faisant des présentations trop longues.

    Entrez dans le vif du sujet, de préférence dès les premières minutes. Il est aussi fort probable que votre client vous interrompe pour vous poser de nombreuses questions, alors venez-en au fait avant de perdre le fil de votre argumentaire.

  2. Posez des questions

    Après avoir pris la parole pendant quelques minutes, prenez un instant pour poser une question au client. C’est un excellent moyen de garder le contrôle de la réunion tout en donnant l’occasion au client d’interagir avec la présentation commerciale.

    Voici quelques exemples :

    • Ceci correspond-il à votre définition du succès ?
    • Avez-vous utilisé cette approche par le passé ?
    • Ai-je bien défini les priorités de votre entreprise ?
    • S’agit-il d’un défi de taille pour votre entreprise ?
  3. Vendez une vision 

    N’entamez pas la réunion en parlant de vous, de votre entreprise ou de vos produits. Le cas échéant, le client se concentrera immédiatement sur les coûts et les fonctionnalités du produit, et mettra souvent un terme au rendez-vous avant la fin de la présentation.

    Tâchez plutôt de vendre une vision, car vos clients veulent savoir comment ils peuvent devancer leurs concurrents, attirer de nouveaux clients, fidéliser la clientèle existante et augmenter leurs marges de profit. Montrez-leur comment vous allez les aider à remplir ces objectifs.

  1. Privilégiez les témoignages Si les clients attachent de l’importance aux données, ils ont également des attentes réalistes quant à ce que ces dernières peuvent leur apprendre. Ils ont déjà vu de nombreux projets échouer malgré de brillants résultats de recherche, et des initiatives réussir sans aucune donnée à l’appui. Aussi, présentez d’abord des témoignages puis les données qui les étayent. Incluez dans votre présentation des expériences de clients et des initiatives de la concurrence. Vos clients sont bien plus intéressés par l’avis de leur clientèle et par la stratégie de leurs concurrents que par les dernières études de marché.
  2. Utilisez Powerpoint à bon escient Si vous comptez utiliser PowerPoint ou Keynote dans votre présentation, faites-le de manière judicieuse. Les présentations sont bien souvent trop complexes car elles contiennent trop de texte, d’animations distrayantes et d’images non pertinentes. Une ligne de texte et une image suffisent : une audience ne peut assimiler qu’une quantité limitée d’informations à la fois, si votre client est occupé à déchiffrer ce qui s’affiche à l’écran, il ne pourra pas être attentif à vos propos.
  3. Suivez un plan clair  Votre présentation doit suivre un plan clair et convaincant. Vous devez d’abord énoncer des arguments forts pour susciter l’intérêt, puis terminer votre argumentaire en demandant explicitement au client de vous confier le contrat.
    • Défi/opportunité : Commencez votre présentation en parlant du défi qui se dresse face au client ou de l’opportunité qui lui échappe pour capter l’attention de votre auditoire jusqu’à la fin de votre argumentaire.
    • Bénéfices : Évoquez les bénéfices apportés par la solution que vous offrez, étayez vos propos à l’aide d’une étude de cas ou d’un témoignage.
    • Plan d’action : Exposez votre plan d’action ou les options que vous proposez pour relever le défi auquel fait face le client ou pour lui présenter une nouvelle opportunité.
    • Entreprise : Dressez le profil de votre entreprise de manière succincte, en précisant à qui s’adressent vos services.
    • Recommandation : Avant la fin de la présentation, veillez à vous positionner sur le contrat. Vous pouvez conclure en demandant au client : « Pensez-vous que la solution que je vous propose vous aidera à surmonter les défis auxquels vous faites face et à atteindre vos objectifs ? Souhaiteriez-vous entamer une collaboration avec nous ? »

Savoir présenter votre offre de manière efficace est la clé du succès. Pour convaincre, allez à l’essentiel et concentrez-vous sur votre vision et sur vos réussites. Aidez-vous de PowerPoint et veillez à faire une présentation courte.

Enfin, produisez des arguments forts dès le début de votre discours commercial pour susciter l’intérêt et terminez votre argumentaire en demandant explicitement au client de vous confier le contrat.

7 ASTUCES POUR BIEN COMMUNIQUER SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX QUAND ON N’A PAS LE TEMPS

Le savez-vous? Communiquer sur les réseaux sociaux demande de la méthode, de la régularité et de la patience. Vous pensez ne pas avoir le temps pour communiquer efficacement sur les réseaux sociaux ? Fausse excuse ! Voici 7 astuces pour bien communiquer sur les réseaux sociaux quand on n’a pas le temps.

Communiquer sur les réseaux sociaux est désormais indispensable pour toute entreprise. Les réseaux sociaux permettent de gagner en visibilité, de développer votre image de marque et même d’attirer de nouveaux clients.

À l’heure de l’acheteur autonome, les réseaux sociaux sont aussi un excellent levier pour promouvoir les contenus que vous créez sur votre site internet dans le but de générer plus de prospects et les convertir en clients.

Cependant, pour atteindre ces objectifs, il est important de communiquer efficacement sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, vous devez publier régulièrement, généralement plusieurs posts par semaine, de répondre à vos fans/abonnés et d’analyser chacune de vos actions sur les réseaux sociaux.

D’accord, c’est très bien tout ça, mais moi, j’ai pas le temps de bien communiquer sur les réseaux sociaux !

Cette remarque, elle revient inévitablement à la fin de chaque formation et conférence que j’anime autour de la communication sur les réseaux sociaux. Elle traduit très clairement l’image qu’ont les TPE/PME, les associations et les start-ups de la communication sur les réseaux sociaux.

Malheureusement, elles n’ont bien souvent pas les moyens d’embaucher une personne à temps plein pour gérer leurs réseaux sociaux. Elle peuvent faire appel à un prestataire en community management mais là aussi, cela a un coût.

Vous vous reconnaissez dans ce portrait ? Et du coup, quelle est votre décision ? Vous laissez tomber les réseaux sociaux n’est-ce pas ? Mais ça, c’était avant !

 

Astuce #1 Définissez vos objectifs et une stratégie précise pour votre réseaux sociaux

C’est la première erreur que font les entreprises qui n’ont pas le temps de communiquer sur les réseaux sociaux : puisqu’elles n’ont pas le temps, ces entreprises estiment qu’il est préférable de passer directement à l’action plutôt que de passer plusieurs heures à travailler une stratégie dont elles ne perçoivent pas vraiment l’intérêt.

Quand aux objectifs, n’en parlons pas : l’objectif est clair, c’est de gagner de l’argent. OK mais voilà, cela n’est bien évidemment pas suffisamment précis pour vous permettre de communiquer efficacement sur les réseaux sociaux.

Avouez, vous vous reconnaissez là aussi ? Ne vous inquiétez pas, j’ai été à votre place !

En lançant le blog et les réseaux sociaux de l’agence en 2013, je me suis dit qu’il était préférable de trouver des clients plutôt que de bosser ma stratégie de communication. Vous n’imaginez pas le temps que j’ai pu perdre ensuite, le temps que j’ai passé à chercher la thématique de l’article que j’allais écrire dans la journée, à trouver les posts que j’allais publier sur les réseaux sociaux.

Pour ce qui est de la régularité, je n’y étais pas non plus. Comme vous, je publiais énormément quand j’avais du temps libre et il m’arrivait de ne rien publier sur le blog et les réseaux sociaux pendant plusieurs jours (qui a dit semaines ?).

Pour éviter de perdre du temps, croyez-moi, vous devez en prendre pour travailler votre stratégie et définir vos objectifs.

︎ Astuce #2 Limitez votre stratégie de communication sur les réseaux sociaux à l’essentiel

C’est une autre erreur que je rencontre fréquemment chez mes clients : ils estiment ne pas avoir le temps pour travailler leur stratégie de communication sur les réseaux sociaux mais créent des compte sur tous les réseaux sociaux qui existent ! Paradoxal non ?

N’ayez pas les yeux plus gros que le ventre et limitez-vous à l’essentiel.

D’où l’importance de bien connaître vos objectifs et d’avoir défini une stratégie précise recensant notamment vos ressources et le temps que vous pouvez allouer à votre communication sur les réseaux sociaux. Avec ces éléments, vous serez à même de déterminer combien de réseaux sociaux vous pouvez gérer efficacement.

À chaque fois que vous envisagez une action, demandez-vous si celle-ci va vous permettre d’atteindre vos objectifs : si oui, allez-y. Si non, aussi bonne l’idée soit-elle, jetez-la à la corbeille !

Pour vous accompagner dans cette démarche, j’ai réalisé une étude qui va vous permettre de choisir les bons réseaux sociaux pour votre communication.

︎ Astuce #3 Travaillez un calendrier éditorial pour vos réseaux sociaux

Pour éviter le syndrome de la page blanche et perdre du temps à chercher ce que vous allez bien pouvoir publier sur les réseaux sociaux, je vous recommande de travailler un calendrier éditorial dans les grandes lignes pour les 12 prochains mois et de manière détaillée pour les 30 prochains jours.

Rien de compliqué ici, il suffit simplement de définir les posts que vous allez publier et les moments auxquels vous allez les publier sur les réseaux sociaux.

Pour vous aider, je vous conseille ici de vous baser sur tous les évènements de l’année comme les fêtes de fin d’année, la Saint-Valentin ou encore la fête des pères. Le calendrier édité par MDirector dont vous trouverez un aperçu ci-dessous vous sera d’une aide précieuse.

Pourquoi vous faut-il une stratégie social média ?

Aujour’hui, toute entreprise a besoin des réseaux sociaux pour garder une relation avec ses clients. Cela vous aidera à mieux les comprendre et mieux répondre à leurs demandes tout en créant une relation durable avec sa clientèle. En effet, une réelle communauté sur ces réseaux sociaux donnera ainsi à l’entreprise la chance de gagner auprès de ses clients et de ses prospects une réelle valeur sociale.

Seulement, construire sa présence dans les réseaux sociaux n’est pas une mince affaire. D’où la raison d’adopter une stratégie sûre, une approche durable et bien pensée et surtout une charte éditoriale à fort impact. En réalité, une stratégie éditoriale à fort impact correspond à une réflexion cohérente qui vise à mettre en phase votre plan marketing global avec la ligne éditoriale à adopter dans le social média.

Screaming Frog SEO : analyse de site et prospection SEO

enu et AnalogX font partie des outils de crawling existant sur la toile mais de nombreux référenceurs regrettent leur aspect austère. Il est possible d’analyser avec précision les attributs d’un site avec un l’outil Screaming Frog SEO Spider.

Ce logiciel est proposé en version payante mais une version gratuite très utile est également en téléchargement et elle permet d’en apprendre beaucoup si on sait bien l’utiliser.

Screaming Frog SEO Spider offre la possibilité d’identifier toutes les caractéristiques importantes d’une page dans le domaine du référencement naturel. Il suffit de choisir dans le champ « enter url to spider » le site que l’on souhaite étudier, de sélectionner dans « Internal » le filtre HTML et l’outil nous présente les critères de toutes les pages crawlées.

Identifier les fondamentaux SEO de chaque page avec Screaming Frog SEO

Nous pouvons en un clin d’oeil connître la structure des URL, les différents titres de page, la présence ou non de balise H1, H2…

On a également la possibilité de découvrir les Méta-description et les méta keywords (même si cela ne sert plus pour le référencement, c’est toujours utile pour déterminer le champ sémantique d’une page si le webmaster a rempli la balise). Le nombre de liens internes et de liens sortants est également dévoilé pour chaque page grâce à l’analyse. A ce sujet, vous pouvez consulter notre article expliquant comment optimiser ses balises title avec Screaming Frog SEO.

Sachez en outre que vous pouvez passer par l’onglet configuration pour paramétrer l’étape du crawl, en choisissant notamment sa profondeur, en sélectionnant l’utilisation d’un proxy et bien d’autres choses. La version gratuite limite l’utilisation à seulement 500 URL mais une astuce existe pour réussir à faire un audit complet d’un site de taille importante.

Cette dernière consiste à sélectionner le mode « List » dans le menu « Mode » du logiciel afin d’importer une liste d’URLs depuis un fichier texte ou .csv. De cette manière, le logiciel crawl toute la liste d’urls sans prendre en compte la limitation initiale de 500 URLs.

On peut importer une longue liste d’URL présente sur un fichier CSV et réaliser le crawl sans limitation !

Screaming Frog SEO Spider peut vous aider à identifier les points bloquants en référencement naturel sur votre site (titre dupliqué, oubli de H1…), mais surtout il peut devenir votre partenaire privilégié pour la prospection. En effet, il vous présente quasi instantanément les fondamentaux SEO d’une page, vous saurez ainsi si une boutique en ligne ou un blog est bien optimisé, ou si un travail en référencement pourrait être utile pour faire progresser l’audience de manière pérenne.

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