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Pourquoi les professionnels du SEO doivent maîtriser les prompts : La révolution ChatGPT

Nous vous proposons cette excellente contribution de Search Engine Journal

La génération de contenu a connu une croissance exponentielle ces dernières années, et les prompteurs sont devenus un outil indispensable pour les professionnels du référencement.

Grâce à ces instructions simples, il est possible de générer des articles, des images, des vidéos et bien plus encore.

Pour les marketeurs et les pros du référencement, en particulier, la maîtrise de l’utilisation des prompts est un véritable atout.

En effet, ils peuvent apprendre à l’IA comment respecter au mieux les recommandations de référencement tout en générant du contenu de qualité.

Les IA ont révolutionné la génération de contenu en permettant de personnaliser les articles en fonction du style d’écriture, du ton de voix et des préférences de chaque utilisateur, sur la base de modèles linguistiques étendus.

Aujourd’hui, les experts en référencement doivent maîtriser ces outils pour rester compétitifs dans leur domaine.

En bref, la maîtrise des prompts et des IA est cruciale pour les pros du référencement soucieux de générer du contenu de qualité et de se conformer aux recommandations de référencement.

Grâce à ces outils, ils peuvent fournir un contenu personnalisé et pertinent pour leur public cible.

La promptologie, ou l’art de créer de bons prompts

Note de l’éditeur :

Que sont les prompts ? Ce sont simplement des mots, des phrases, des questions, des mots-clés, etc., saisis dans des outils d’IA pour générer des résultats.

Qu’est-ce que la promptologie ? L’art de créer les prompts les plus efficaces pour obtenir le résultat souhaité.

Les prompts pour générer du texte

Après de très nombreuses tentatives infructueuses de génération de textes de qualité, nous pouvons affirmer que 2022 est l’année d’or de la génération de textes.

Bien que la génération de textes n’ait jamais été aussi facile, j’ai identifié les principaux obstacles que vous rencontrerez et leurs solutions.

 » Mon texte est trop court « 

Souvent, la solution consiste à apprendre à l’IA à créer une structure de document avec une introduction, des sous-titres, un ou plusieurs paragraphes par sous-titre et une conclusion.

La sortie de DaVinci-text-3 révolutionne la création de contenu long car l’IA sait désormais comment créer du contenu long avec des instructions simples.

Voici les prompts qui fonctionnent le mieux avec cette nouvelle IA :

  •  » Rédiger un guide complet sur [sujet] « .
  • « Créez une analyse approfondie de [sujet]. »
  • « Expliquez en détail les avantages de [sujet]. »
  • « Décrire l’histoire de [sujet] et son impact sur [domaine connexe]. »
  • « Le texte est long mais je n’aime pas le style d’écriture répétitif ».

Dans ce cas, vous devrez donner à l’IA des exemples de votre style d’écriture et utiliser les paramètres qui permettent de réduire les répétitions. Les dernières générations d’IA peuvent donner de très bons résultats.

« Le texte est-il unique ? »

C’est une très bonne question, surtout pour le référencement – et une fois que le texte est généré, vous devez utiliser des outils comme Google, où vous recherchez des phrases mises entre guillemets avec le moteur de recherche pour détecter si les phrases générées sont présentes.

Il n’est pas nécessaire de prendre toutes les phrases mais quelques unes au hasard, il existe aussi des services payants comme Copyscape pour le faire.

« Le texte est rempli de concepts inventés ».

Parfois, l’IA peut inventer des concepts, et la meilleure solution est de réduire le paramètre de créativité.

Après cela, vous pouvez également utiliser des règles de gestion pour vous assurer que les concepts mentionnés sont liés à votre domaine d’activité.

« Qui est propriétaire du texte généré ? »

Cette question revient très souvent, mais les outils de génération de texte sont très clairs sur le sujet : le texte vous appartient.

« Mon texte n’est pas optimisé pour le SEO »

En effet, l’IA n’a jamais appris à faire du référencement, il faut donc lui donner des exemples et lui apprendre les types d’optimisation à faire, comme par exemple :

  • Inclure H1, H2, H3.
  • Indiquer les liens pertinents.
  • Utiliser des entités nommées spécifiques telles que des lieux et des personnes.
  • Utiliser des mots-clés spécifiques.

Il est tout à fait possible de générer des textes uniques optimisés pour le référencement.

Les prompts pour générer des images

En ce qui concerne la génération d’images, j’ai écrit un article complet sur le SEJ sur la façon de générer des images, mais plongeons dans les problèmes que vous rencontrerez.

« La résolution est trop faible »

Pour des raisons de coût, les images générées sont de faible résolution.

De nombreux outils d’upscale vous aideront à augmenter la résolution d’une image générée avec AI ; je recommande cet outil gratuit.

« Les dimensions sont trop petites ou non adaptées »

Là encore, pour des raisons de coût, les images générées sont souvent de 512 x 512 px.

Il existe deux solutions principales :

Vous pouvez régénérer l’image en spécifiant vos dimensions – voici un exemple avec Dream studio.

Dream studio AI generated imageCapture d’écran de DreamStudioLite, Dzcembre 2022

Vous pouvez également utiliser la technique de l’outpainting, qui vous permet d’ajouter de nouvelles zones d’image à une image.

Darth vader image generatorCapture d’écran de Dall-E, Décembre 2022

« L’image est-elle unique ?

La meilleure façon de vérifier le caractère unique de votre image est d’utiliser Google Photos pour vérifier la similitude des images.

« Qui détient les droits sur l’image ?

Tous les outils de génération d’images mentionnent dans leurs CGU que vous devenez le propriétaire légitime de l’image.

Si vous demandez à copier le style d’un artiste, la création étant nouvelle, l’image vous appartient également.

 » J’ai utilisé mes propres photos pour générer des images « 

Dans ce cas, le résultat sera encore plus original et unique.

La tendance du moment est d’envoyer une dizaine de photos de soi en gros plan, de loin, etc. pour générer finalement une quantité infinie de variations.

Il existe des outils payants et gratuits, et je vous recommande d’utiliser myheritage.fr si vous voulez générer une image de vous à différentes époques – le résultat dépend principalement de la qualité et de la variété de vos photos téléchargées.

Maintenant qu’il est possible d’enseigner un style ou un concept unique à une IA pour permettre aux designers ou aux artistes de se démarquer, voici des exemples de styles qui ont été appris à partir de photos existantes :

  • Des photos d’intérieurs de maison.
  • Illustrations de mode.
  • Affiches de concert.
  • Couvertures de livres.

Comment maîtriser les prompts pour le SEO

Testez et apprenez

La technique la plus simple consiste à rédiger un prompt, à voir ce qui ne va pas et à la modifier en ajoutant ou en supprimant des instructions jusqu’à obtenir le meilleur résultat possible.

Cette technique n’est pas du tout évolutive mais permet de se rapprocher du résultat idéal.

Souvent, il ne s’agit pas de réussir une seule génération mais, au fil du temps, de s’assurer que les résultats sont toujours de qualité constante.

Vous voudrez également disposer de différents outils qui vérifieront :

  • Les fautes d’orthographe et de grammaire.
  • Les répétitions.
  • Les mots interdits.
  • Les générations trop courtes.
  • La conformité avec vos directives de référencement.

Dans certains cas, plus de 20 vérifications seront nécessaires. Notez que cette étape peut prendre beaucoup de temps. Cependant, une fois que vous l’aurez peaufinée, vous disposerez d’un modèle que vous pourrez réutiliser à l’infini.

Maintenant, je vais vous présenter quelques méthodes qui évitent l’approche par essais et erreurs.

Utiliser un moteur de recherche de prompts

La méthode la plus simple, et notamment gratuite, consiste à utiliser un moteur de recherche rapide. Il en existe pour tous les types de contenus.

Le moteur de prompts le plus connu à l’heure actuelle est Lexica.art, qui vous permet d’effectuer une recherche à partir de mots-clés et d’identifier et d’extraire le prompt d’une image que vous aimez.

Il vous suffit de cliquer sur l’image pour obtenir le prompt qui a été utilisée pour la générer. C’est un véritable gain de temps.

Voici un exemple pour réaliser cette image avec LexicaArt. Tapez : “https://lexica.art/?q=typewriter.”

typewriter promt exampleImage de LexicaArt, Décembre 2022

Pour les prompts textuelles, il existe plusieurs initiatives, mais les bases de données sont plutôt vides.

Pour l’instant, les prompts les plus intéressantes sont souvent partagées sur Twitter.

Le prompt et Le prompt négative

Prenons le cas de la génération d’images.

L’image peut contenir beaucoup de biais, ou de choses indésirables, alors autant les éliminer avec une prompt négative qui précise tout ce que vous ne voulez pas.

Attention, l’IA doit comprendre le concept pour pouvoir l’éliminer, il faudra donc lui apprendre si nécessaire.

Le prompt négative consiste à spécifier tout ce que vous ne voulez pas voir apparaître dans votre texte et votre image.

Il faut savoir que lorsqu’un étudiant rédige une dissertation, il sait de quoi il doit parler, mais il sait aussi qu’il ne doit pas inclure certaines choses, car elles pourraient avoir un impact négatif sur sa note. La liste peut inclure des insultes, des blagues, des éléments inventés, etc.

Pour les humains, cela fait partie de la mémoire de l’expérience, mais pour une IA, il est nécessaire de fournir des instructions dans ce sens.

OpenAi a corrigé certains biais, par exemple, que tous les PDG étaient des hommes et toutes les infirmières des femmes.

Les prompts permettent d’écrire, et les prompts négatives sont utilisées pour éviter les préjugés et les contenus offensants.

La dernière version de GPT-3 permet de donner un prompt qui indique tout ce que vous voulez générer et une prompt négative qui indique tout ce que vous voulez éviter – par exemple, les répétitions, les paragraphes courts et les mots-clés concurrents.

Demandez à une IA de rédiger vos prompts et de faire du référencement

ChatGPT est un chatbot basé sur l’intelligence artificielle d’OpenAI.

Il est conçu pour fournir une conversation fluide et naturelle en répondant de manière autonome aux questions posées par les utilisateurs.

Ce chatbot peut être très utile dans la génération de contenu car il peut aider à créer du contenu en répondant automatiquement aux questions, en générant des idées de sujets de blog ou en suggérant des titres d’articles.

Il peut également être utile pour générer du contenu pour les réseaux sociaux ou pour les campagnes de marketing en ligne.

Grâce à l’intelligence artificielle d’OpenAI, ce chatbot peut fournir des réponses précises et pertinentes, ce qui peut être très utile pour les rédacteurs et les spécialistes du marketing qui cherchent à créer du contenu de qualité.

Ce ChatGPT peut donc être utilisé pour vous aider à trouver vos prompts.

ChatGPT writing prompt exampleCapture d’écran de ChatGPT, Décembre 2022

La dernière question est maintenant de savoir si cette IA peut faire du référencement.

Je l’avais déjà testé dans cet article du SEJ en lui faisant remplir un quiz SEO, et il fait maintenant un travail parfait ! Elle peut même créer un tel quiz en quelques secondes.

SEO quiz created by chatbotCapture d’écran de ChatGPT, Décembre 2022

ChatGPT peut maintenant optimiser le contenu suivant pour qu’il soit classé dans Google pour « chauffe-bougie électrique » et vous expliquer tout ce dont vous avez besoin, étape par étape.

Les recommandations de référencement qui en résultent sont meilleures que la dernière fois, mais restent inférieures au niveau d’un expert. En tout cas, les progrès réalisés en quelques mois sont impressionnants.

SEO quiz made by a botCapture d’écran de ChatGPT, Décembre 2022
content by ChatGPTCapture d’écran de ChatGPT, Décembre 2022

Conclusion

Vous avez maintenant toutes les clés pour rédiger des prompts de qualité pour générer du contenu image et texte.

Vous devrez vous demander si vous voulez construire ou acheter un des nombreux outils disponibles sur le marché et une des nombreuses formations.

Je vous invite à découvrir les workflows les plus avancés qui permettent de générer du contenu de qualité à l’échelle.

Plus de ressources: 


Image en vedette: Besjunior/Shutterstock

Rédaction et IA : ce que l’on sait

Nous vous proposons cette excellente contribution de DigiTechnologie

La rédaction web est un métier qui fait vivre beaucoup de personnes dans le monde. L’Intelligence Artificielle (IA) est venue révolutionner la production des contenus en ligne. Mais quels sont les avantages de l’IA ? Comment peut-on l’utiliser ? Nous faisons le point.

La rédaction web à l’ère de l’IA

Aujourd’hui, de nombreux robots basés sur l’IA voient le jour pour permettre aux entreprises de rédiger leur contenu SEO en quelques minutes. Le nombre d’outils ne cesse d’augmenter, ce qui fait peur aux rédacteurs web.

Pour générer des textes cohérents grâce à l’IA, l’utilisateur doit tout simplement ajouter le titre de l’article ou une petite introduction. Ainsi, le robot rédige le contenu, avec une plume semblable à celle de l’humain. Et la cerise sur le gâteau, cette technologie respecte les bases du référencement naturel (SEO). En d’autres termes, le contenu rédigé aura toutes les chances d’occuper les premières positions sur Google, Bing, Yahoo, Qwant, etc.

Pourquoi l’IA pour rédiger un contenu en ligne

Les robots basés sur l’IA deviennent de plus en plus intelligents et sophistiqués, ce qui permet à l’utilisateur de rédiger un contenu de très bonne qualité et optimisé SEO, dans un temps record.

Au lieu de passer par un rédacteur web pour rédiger le contenu de son site web ou boutique en ligne, la marque peut payer un abonnement premium sur un outil de rédaction IA. Ainsi, Elle fera des économies considérables et gagnera du temps.

Les limites de la rédaction grâce à l’IA

Aujourd’hui, les marques peuvent toujours faire appel à des rédacteurs pour rédiger leur contenu en ligne. Certes, les robots deviennent de plus en plus sophistiqués, mais rien ne peut remplacer la plume humaine.

D’ailleurs, les outils IA peuvent rédiger des textes polémiques ou des stéréotypes, ce qui peut nuire à l’image de la marque.

Par ailleurs, les experts doivent débourser énormément d’argent pour rendre cette technologie de plus en plus puissante et accessible, ce qui représente un frein pour beaucoup de personnes.

 

TikTok dévoile une infime partie de son algorithme de recommandations

Nous vous proposons cette excellente contribution de Les Numériques

TikTok commencerait-il à faire preuve de bonne volonté ? Le réseau social plébiscité par la nouvelle génération dévoilera une partie des critères de recommandation des vidéos exposées dans le fil d’actualité “pour toi”. Dans une note de blog intitulée Découvrez pourquoi une vidéo est recommandée pour vous, la plateforme explique la procédure pour accéder aux informations de son algorithme de recommandations.

Arrivée de la fonction prochainement

La nouvelle fonction permet de comprendre les choix qui ont conduit l’algorithme à recommander le visionnage d’une vidéo, se matérialisant sous la forme d’une fenêtre d’information. Pour accéder à l’outil, l’utilisateur qui visionne une vidéo devra se rendre dans l’onglet Partage, puis appuyer sur l’icône en forme de point d’interrogation, baptisé Pourquoi cette vidéo. Une fenêtre affichera des informations sur les raisons de la diffusion du clip actuellement en lecture. L’outil sera déployé au cours des prochaines semaines, affirme le réseau social.

En théorie, l’algorithme de recommandations de TikTok permet une expérience personnalisée pour chaque utilisateur de l’app. Les critères de sélection d’une vidéo par le programme interne sont nombreux. Pour “rendre les détails techniques plus facilement compréhensibles”, la plateforme de ByteDance décomposera les facteurs influents selon plusieurs catégories. Seront ainsi recensés “les interactions de l’utilisateur, comme le contenu regardé, aimé ou partagé, les commentaires publiés ou les recherches […] les comptes suivis ou les comptes suggérés […] le contenu publié récemment dans votre région [ou celui] populaire dans votre région”.

Transparence exigée

“Cette fonctionnalité est l’une des nombreuses façons dont nous travaillons pour apporter une transparence significative aux personnes qui utilisent notre plateforme, et s’appuie sur un certain nombre de mesures que nous avons prises dans ce sens”, assure TikTok dans son communiqué. À l’avenir, le réseau social chinois promet de continuer à proposer une transparence toujours plus importante envers ses utilisateurs.

Cette nouvelle fonction arrive après plusieurs mois de controverse aux États-Unis et en Europe. L’application, dont la maison mère ByteDance est basée à Pékin, est accusée de manquer de transparence à propos du transfert de certaines données en Chine. Dans le même temps, plusieurs voix se sont levées outre-Atlantique pour dénoncer les ratés de l’algorithme auprès des adolescents. Des contenus violents et inadaptés ont pu être diffusés au jeune public.

Halte au tout digital, à la suprématie d’Internet –

Nous vous proposons cette excellente contribution de Cadre dirigeant magazine

On ne compte plus le nombre d’entreprises qui se lancent, tête baissée, dans un projet de digitalisation. Certaines dans l’optique de faire comme le concurrent, d’autres pour répondre aux injonctions de notre société qui ne jure désormais que par le virtuel, ou encore par simple vanité personnelle. Parce qu’il est toujours valorisant de pouvoir afficher une jolie vitrine qui chante les louanges de son activité. Quand bien même serait-elle dématérialisée. Bien sûr, une présence en ligne s’avère utile pour développer une activité commerciale (prestations de service, hôtellerie et restauration, vente de produits…), mais elle n’est pas toujours nécessaire et peut même se révéler dangereuse. A défaut d’accompagnement stratégique sur la question, certaines entreprises s’enlisent dans un projet de digitalisation mal ficelé, mal pensé, mal piloté. La perte de temps – et d’argent – qui s’ensuit n’est bien souvent pas négligeable. Surtout pour les petites entreprises.

Les ayatollahs du digital oublient souvent la vraie vie et le bon sens

Les ayatollahs du digital oublient bien souvent un élément. Un détail qui a toutefois son importance, le réel, la vraie vie…. et le bon sens ! Non, le digital n’est pas toujours la meilleure solution pour faire connaître son activité et se développer. En e-commerce, les places sont chères. Seule une poignée d’établissements “remontent” en première page Google. Comment peut-on espérer être visible, avoir des “e-clients”, lorsque l’entreprise n’apparaît qu’en troisième ou quatrième page du moteur de recherche ?
Prenons l’exemple d’un producteur de vin qui souhaite développer son activité. Sur la Toile, il sera confronté à des géants du secteur. Des mastodontes comme Nicolas, Cash Vin, Dock du Vin… etc. Difficile, voire impossible, pour ce producteur de tirer son épingle du jeu en ligne. S’il souhaite faire connaître sa marque et son produit, mieux vaut établir avec lui et pour lui une stratégie à son échelle. Pourquoi pas autour de petits événements physiques et de proximité (stand sur des marchés, présence dans des salons…). Et, s’il parvient à développer son chiffre d’affaires et à fidéliser sa clientèle, alors il pourra envisager sereinement une stratégie de e-commerce, une stratégie adaptée à son activité et à sa cible
En effet, les clients fidélisés sur les marchés seront les premiers à naviguer sur le site du producteur et donc, les premiers à acheter en ligne.

La logique est la même pour les petits commerçants

Notamment dans l’univers du prêt-à porter, comment des boutiques de quartier peuvent-elles se démarquer sur Internet face à des marques comme H&M, Promod, Ba&Sh, mais aussi des plateformes comme Amazon, Shein, Veepee…? Chercher une très grande visibilité en ligne a dans ce cas peu d’intérêt. Le principal client de ce type de commerce est un consommateur local. C’est d’ailleurs parce qu’il est ultra-local que celui-ci est bien souvent très fidèle. Pour un tel commerce de proximité, la clientèle ne se fait pas en ligne mais dans la rue. Avant de chercher une présence en ligne, il est ainsi indispensable de penser à la visibilité de la boutique. Est-elle suffisamment éclairée ? Est-elle située dans une zone
passante ? Ses horaires sont-ils clairement affichés ? Des questions qui peuvent paraître anodines mais qui bien souvent passent à la trappe. Elles sont pourtant indispensables avant d’envisager tout chantier digital.

Se reposer sur la puissance de célèbres plateformes

Qu’en est-il pour les professions libérales, les auto-entrepreneurs et autres acteurs qui n’ont ni pignon sur rue ni objet matérialisable à vendre ? Ces acteurs doivent effectivement, d’une manière ou d’une autre, déployer leur visibilité en ligne (sauf s’ils disposent d’une solide réputation et qu’ils ont la possibilité de se développer uniquement grâce au “bouche à oreille”. C’est rare, mais ça existe). Ces professions n’ont pas nécessairement besoin d’avoir leur
propre site et ont la possibilité de se reposer sur la puissance de célèbres plateformes. Les kinésithérapeutes, ostéopathes, podologues… peuvent ainsi compter sur le rayonnement de Doctolib. Ils ont la possibilité de se présenter, d’indiquer leur activité, leur mode d’exercice, leurs tarifs… et même de diffuser des photos d’eux et de leur cabinet. Il en va de même pour les restaurants, les hôtels ou les gîtes, qui peuvent très largement se présenter via des sites spécialisés comme Booking ou TheFork. Nombreux sont les établissements qui font le choix de ne pas avoir de site propre et d’être seulement visibles que sur ces plateformes. D’autres entreprises optent pour une solution encore plus simple et se limitent à une page Facebook ou une référence Google via une fiche d’établissement (anciennement connue sous le nom “Google my business”). Une présence a minima sur la Toile qui dans certains cas suffit à atteindre son but final : augmenter son chiffre d’affaires.

Digitalisation et damnation

Mieux vaut ainsi, pour un grand nombre d’acteurs, une présence simple et efficace sur la Toile, qu’une stratégie complexe, chronophage et coûteuse. Car oui, digitaliser son activité n’est pas une mince affaire. Elle suppose à la fois d’avoir un regard global sur le secteur, sur l’activité, sur la zone géographique, sur les objectifs commerciaux… Elle suppose ensuite de déterminer la meilleure stratégie possible. Cette stratégie prend en compte la création d’un site, mais aussi son référencement sur les moteurs de recherche. Un projet complet et à certains égards complexe qui suppose à la fois d’en avoir les moyens financiers et de s’entourer des bonnes personnes. Des prestataires aguerris et éclairés qui sont capables d’avoir non seulement un regard technique mais également une vision stratégique et globale. Sans quoi digitalisation pourrait bien rimer avec damnation.


Alerte rouge : Google a peur de ChatGPT et met les bouchées doubles sur l’intelligence artificielle

Nous vous proposons cette excellente contribution de Frandroid

Alors que le géant prépare sa conférence Google I/O en mai prochain, il redouble d’efforts sur les outils d’intelligence artificielle. Divers départements sont réorganisés pour créer et avancer sur les projets d’IA de Google, face à la concurrence que représente OpenAI et ChatGPT, qui rencontre un succès certain.

L’outil ChatGPT rencontre un fort succès sur Internet grâce à ses prouesses technologiques et OpenAI est en train de révolutionner les usages de l’intelligence artificielle. Hier, nous vous présentions Point-E, un modèle permettant de générer des objets en 3D à partir de texte, à l’instar de ce que fait Dall-E avec les images. De son côté, Meta travaille sur la création de vidéos à partir de texte avec déjà de premiers résultats. Avec ces grands changements, Google veut rester à la pointe en termes d’IA et semble modifier son organisation pour atteindre ses objectifs plus rapidement que prévu, selon les informations du New York Times.

« Alerte rouge » chez Google, face à la concurrence de ChatGPT

Le journal américain écrit que Google a déclaré une « alerte rouge » dans ses équipes et que « certains craignent que l’entreprise n’approche d’un moment que les grandes entreprises de la Silicon Valley redoutent : l’arrivée d’un énorme changement technologique qui pourrait bouleverser l’activité ». Les journalistes Nico Grand et Cade Metz vont même plus loin en disant que « Google pourrait être confronté à la première menace sérieuse pour son activité principale de recherche ».

Par ailleurs, Google a contribué à la recherche scientifique qui a permis à ChatGPT d’exister en soutenant OpenAI, au moins à ses débuts. Des chercheurs d’Alphabet (la maison mère de Google) ont effectivement travaillé sur les chatbots développés par la start-up. Mais, jusqu’à maintenant, ces derniers ne rivalisaient qu’avec les autres chatbots développés par d’autres start-ups qui n’avaient pas de quoi concurrencer le géant du web.

La plateforme de discussion LaMDA de Google
La plateforme de discussion LaMDA de Google // Source : Google

C’est pourquoi Sundar Pichai, le directeur général de Google, « a participé à une série de réunions pour définir la stratégie de Google en matière d’intelligence artificielle et il a bouleversé le travail de nombreux groupes au sein de l’entreprise », révèle le New York Times. Google travaillerait donc à développer des outils permettant de générer des images artistiques notamment, comme Dall-E. L’entreprise travaille sur sa conférence Google I/O qui devrait avoir lieu en mai 2023, pour présenter de nouveaux prototypes et produits à base d’intelligence artificielle. Les équipes de « Recherche, Confiance et Sécurité » se concentrent dorénavant là-dessus.

LaMDA : l’arme principale de Google dans le domaine de l’IA

Le chatbot de Google qui existe aujourd’hui s’appelle LaMDA, dont l’un de ses ingénieurs avait déclaré en juin dernier que cette IA était douée de sensibilité et réellement intelligente. Une déclaration vivement décriée par Google, mais qui avait au moins montré l’évolution technologique des chatbots.

Une représentation de LaMDA // Source : Google

Bien que cette intelligence artificielle pourrait remplacer à terme la recherche en ligne telle qu’on la connaît aujourd’hui, restent des difficultés économiques. C’est la publicité sur son moteur de recherche qui a engendré la puissance financière de Google et le New York Times rappelle que les publicités « ont représenté plus de 80 % des revenus de l’entreprise l’année dernière ».

Si le moteur de recherche devient un chatbot trop efficace, ses utilisateurs seraient moins enclins à cliquer sur les liens publicitaires. En février dernier, on apprenait que le chiffre d’affaires d’Alphabet avait augmenté de 41 % sur l’ensemble de l’année 2021. Changer un système qui fonctionne bien est risqué et Google hésite à vraiment se lancer dans la recherche en ligne par intelligence artificielle.

Google frileux sur l’IA pour préserver sa réputation

Une intelligence artificielle apprend avec des données qu’on lui donne. Lorsque la source de données est le web entier, les informations qu’elle transmet peuvent être biaisées à cause du mélange entre fiction et réalité (sites parodiques, fictions, articles de manipulation, etc.).

Google a les compétences de créer un chatbot efficace, mais pour en créer un qui soit sans biais, c’est plus compliqué. En 2018, l’entreprise s’était fixé 7 lois à respecter pour développer son intelligence artificielle, afin de conserver une image « positive ». C’est pour cela qu’à l’heure actuelle, LaMDA n’est pas accessible à tous, seulement pour des expérimentations et à un nombre limité de personnes. Selon un mémo consulté par le média anglophone, « Google considère qu’il s’agit d’une lutte pour déployer son IA avancée sans nuire aux utilisateurs ou à la société ». Un risque que peuvent habituellement prendre beaucoup d’entreprises plus petites, les répercussions possibles étant d’un bien moindre niveau.

Source : Solen Feyissa via Unsplash

Google aurait plutôt l’intention de créer un outil informatique pour les entreprises qui servirait au support client, en conservant des normes de confiance et de sécurité. D’un autre côté, elle ne s’interdit pas de publier de nouveaux prototypes, mais dont les usages seraient limités à 500 000 utilisateurs. Le tout en se dédouanant en indiquant que « la technologie pourrait produire des déclarations fausses ou offensantes ».

Google Retire 2 De Ses Outils : Lesquels Et Pour Quelles Raisons ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital

Régulièrement, Google propose de nouveaux outils à ses utilisateurs, dans un but de renouvellement constant et d’innovation. Mais certains n’ont pas le succès attendu et leur exploitation n’est finalement pas rentable pour le moteur de recherche. En cette fin d’année, Google a annoncé la fin de 2 outils. Dans cet article, nous vous présentons les 2 outils que Google a décidé de supprimer et les raisons de ces arrêts.

Web Light : permettre un affichage rapide en cas de connexion défaillante

Web Light est un outil déployé par Google en 2015 dans le but de pouvoir fournir un affichage simplifié des pages internet aux utilisateurs qui disposaient d’une connexion internet lente. Web Light était principalement destiné aux pays ne disposant pas d’une connexion internet de qualité sur tout leur territoire.

Comment cet affichage light était-il possible ? Grâce à la suppression d’un certain nombre d’éléments de la page web comme des informations de la charte graphique et le contenu de certaines publicités.

La quantité de données nécessaires au chargement de la page était alors réduite de 80% et le trafic vers les pages web augmenté de 50%, ce qui n’est pas négligeable.

Depuis quelques jours, cette fonctionnalité a donc été retirée du moteur de recherche. Quelles en sont les raisons ?

En réalité, une seule raison explique la suppression de Web Light : l’augmentation de l’accessibilité des smartphones de haute qualité. En effet, désormais, les smartphones sont de plus en plus accessibles à tous les publics et leur qualité de connexion est ultra-développé.

S’il y a quelques années, tout le monde ne pouvait pas se permettre l’acquisition d’un smartphone, doublée à celle d’un forfait donnant accès à une connexion internet, ce n’est plus le cas aujourd’hui. En effet, une étude Statista révèle que la quantité d’appareils mobiles supportant la 4G est passé de 47 millions en 2015 à 650 millions en 2021.

La fonctionnalité Web Light a ainsi été un succès et ne s’arrête pas à cause d’un manque d’efficacité, mais d’une évolution de la société et des modes de consommation.

Question Hub : fournir des informations sur les questions sans réponse des internautes

Question Hub est le deuxième outil supprimé par Google en cette fin d’année.

Cet outil destiné aux créateurs de contenu sur le web permettait un échange d’informations entre les utilisateurs et les créateurs. En se basant sur les questions restées sans réponse des internautes, Question Hub pouvait ainsi transmettre aux créateurs de contenu des informations sur les attentes des utilisateurs.

L’outil interrogeait donc directement les internautes sur ce qu’ils cherchaient en vain sur Internet, puis faisait remonter les informations aux sites web concernés.

Cela permettait une adaptation du contenu à la demande, et ainsi une augmentation de la satisfaction client et du trafic vers les sites internet.

Cet outil, disponible uniquement dans certains pays (États-Unis, Indonésie, Inde et Nigéria) en version Bêta, prendra ainsi fin au début de l’année à venir.

Ces outils seront-ils remplacés ?

L’outil Web Light n’a pour le moment pas été remplacé, mais Google ne souhaite pas en rester là dans le développement de l’accessibilité et de la recherche, et a déclaré :

Nous restons déterminés à faire évoluer et à affiner l’expérience de recherche pour répondre aux besoins changeants de nos utilisateurs

Google

De son côté, l’outil Question Hub pourrait se voir être remplacé par un outil déjà existant : la Search Console. En effet, à travers la fonctionnalité « Aperçu », des informations similaires pourraient être transmises.

Affaires à suivre…

Source

 

Pourquoi ChatGPT provoque la panique chez Google

Nous vous proposons cette excellente contribution de 01net

« Code Rouge ». Google suit évidemment de près le succès récent des nouveaux outils de génération d’images et de texte, et s’inquiète beaucoup. Le carton de ChatGPT, mais aussi de ceux de création d’images comme Dall-E ou Stable Diffusion provoque, d’après le New York Times, un sacré remue-ménage en interne.

Le quotidien américain a eu accès à des documents et enregistrements qui témoignent même d’un vrai chamboulement. Sundar Pichai, le grand patron, a ainsi pris part à de nombreuses réunions pour secouer la stratégie IA du mastodonte de la recherche. Et a imposé d’importants changements sur ses projets d’intelligence artificielle afin de tenter de répondre à la « menace » ChatGPT. Il a également demandé à ses troupes de mettre au point des outils capables de rivaliser avec les générateurs d’images populaires.

Objectif : présenter de nouveaux produits et services à l’occasion de la prochaine conférence développeurs Google I/O, qui aura lieu au mois de mai.

Il suffit de jouer quelques minutes avec ChatGPT pour comprendre l’inquiétude et l’empressement de Google. Certes, le chatbot d’OpenAI est encore loin d’être parfait. Il rapporte encore de nombreuses fausses informations, par exemple. Mais il est clair qu’il pourrait bien devenir un concurrent extrêmement sérieux au bon vieux champ de recherche Google. Et porter un sérieux coup au business model de l’entreprise de Mountain View, qui repose principalement sur l’affichage de liens publicitaires aux côtés des résultats de recherche.

Cela fait longtemps que Google travaille pourtant sur des robots conversationnels. L’année dernière, il avait d’ailleurs, à l’occasion de la Google I/O, présenté LaMDA, une IA bluffante, capable d’avoir une conversation naturelle avec un humain. Mais LaMDA n’a pour l’instant pas fait son apparition dans les produits grand public de la firme. On a juste pu récemment apprendre que Google comptait l’utiliser dans un outil d’aide à l’écriture, pour l’instant à l’état de prototype, baptisé Wordcraft.

Pourquoi Google avance à petits pas

Cette lenteur à transformer des technologies innovantes en produits s’explique aisément. D’abord, il y a la taille et l’image de marque de l’entreprise. Google craint en effet de lâcher sur le web un monstre qui dispenserait de fausses informations ou du discours haineux. Microsoft comme Meta ont déjà fait les frais d’un trop grand empressement à lancer des IA conversationnelles. De son côté, Google avait prévenu, au lancement de LaMDA que la route vers des technologies commerciales serait encore longue :

« Les modèles formés au langage peuvent être mal utilisés, par exemple en intériorisant les préjugés, en reflétant les discours haineux ou en reproduisant des informations trompeuses. Et même lorsque le langage sur lequel il est formé est soigneusement vérifié, le modèle lui-même peut toujours être utilisé à mauvais escient. Notre priorité absolue, lors de la création de technologies comme LaMDA, est de minimiser ces risques. »

L’autre raison est bien plus terre à terre : l’argent. Comment monétiser ces robots conversationnels, qui pourraient ringardiser les liens publicitaires ? Cité par le New-York Times, Amr Awadallah (un ancien de Google qui a fondé son propre moteur de recherche) fait un constat sans appel : « Si Google vous donne la réponse parfaite à chaque requête, vous ne cliquerez sur aucune publicité. » La Google I/O 2023 s’annonce passionnante : comment l’entreprise va-t-elle répondre à cette nouvelle menace ? Nous le saurons sans doute en mai prochain.

En attendant, nous avons tout de même demandé à ChatGPT s’il était possible qu’il remplace un jour Google. Voici sa réponse :

« Il est difficile de prédire l’avenir avec certitude, mais il est peu probable que je puisse remplacer Google en tant que moteur de recherche. Google est une entreprise très établie qui a construit un puissant moteur de recherche et une large gamme de services et de produits qui sont utilisés par des milliards de personnes dans le monde entier. Je suis un programme informatique conçu pour aider les gens à obtenir des réponses à leurs questions et à résoudre des problèmes, mais je ne suis pas conçu pour remplacer un moteur de recherche comme Google. Mon but est d’aider les gens à obtenir des informations et à comprendre les sujets qui les intéressent, pas de remplacer des services existants. »

Pas sûr que ça suffise à rassurer Google !

Source : The New York Times

Comment créer une stratégie éditoriale efficace ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de Journal du CM

Vous voulez améliorer votre taux de conversion sur Internet, augmenter votre visibilité ainsi que le trafic de votre site web ?

Pour atteindre ces objectifs, il vous faut une bonne stratégie édito. Voici tout ce que vous devez savoir sur le sujet ainsi que les étapes à ne pas négliger pour y parvenir.

Qu’est-ce qu’une stratégie éditoriale ?

Une stratégie éditoriale, également connue sous le nom de stratégie de contenu, est l’élément le plus important de votre content marketing. Elle guide vos actions sur le court, moyen et long terme.

Une stratégie éditoriale permet également de répondre à un concept primordial de la rédaction web : les 5 W !

 

  • Why : pourquoi écrivez-vous ?
  • Who : à qui vous adressez-vous ?
  • When : quand vous exprimez-vous ?
  • Where : où publiez-vous ?
  • What : de quoi parlez-vous ?

Comment établir une stratégie éditoriale en 6 étapes ?

Voyons les 6 étapes à suivre pour établir votre stratégie :

1ère étape : Identifier votre public cible

En effet, pour que votre stratégie éditoriale soit efficace, il faut éviter de rester généraliste et préférer communiquer de manière personnalisée avec un auditoire précis.

Vous devez faire preuve d’empathie et démontrer que vous comprenez les difficultés, les objectifs et les défis de votre client cible. Vous lui donnez ainsi toutes les informations qui répondent avec précision à ses questions.

Identifier son public cible

Pour définir votre auditeur type, vous pouvez réaliser des enquêtes auprès de votre clientèle actuelle, analyser l’utilisation de vos produits et essayer de comprendre les besoins spécifiques liés à chacun de vos services. Voici quelques questions pour vous guider dans votre démarche :

  • Pourquoi votre solution leur correspond-elle ?
  • Quels sont les besoins de votre prospect ?
  • Quels sont les résultats attendus ?
  • Qui sont vos meilleurs clients ?

2ème étape : La mise en place de directives éditoriales

Le contenu que vous proposez à vos internautes doit être de haute qualité et publié de manière régulière. Ce point est également essentiel pour votre référencement naturel. C’est la raison pour laquelle vous mettez en place des directives éditoriales détaillées.

Dans ce document, vous allez regrouper tous les principes essentiels à la rédaction de contenu qualitatif et détailler les résultats de l’analyse de votre public cible, notamment leurs besoins, leurs désirs et leur profil type.

La mise en place de directives éditoriales

Pour créer du contenu de qualité, voici certains éléments que vous devriez absolument inclure dans vos directives éditoriales :

  • Les sujets pertinents à explorer, ceux qui répondent à la fois aux besoins de votre public et aux objectifs de l’entreprise ;
  • Le thème abordé doit être traité dans sa totalité afin de conserver votre trafic ;
  • Pour démontrer votre domaine de compétence, travaillez sur des clusters thématiques.

3ème étape : Le rôle du guide de style

Le guide de style joue un rôle essentiel dans votre stratégie de contenu. En effet, il vous permet de garder une constance et une homogénéité de votre message. Voici les éléments à détailler dans ce document. N’oubliez pas de donner un exemple concret pour chacun d’entre eux.

Le rôle du guide style permet de simplifier la transmission de l’information à votre équipe de communication.

  • La voix : de manière générale, la voix active est à privilégier par rapport la voix passive ;
  • Le point de vue : souhaitez-vous communiquer à la première, à la deuxième ou à la troisième personne ?
  • Le vocabulaire : est-ce que vous souhaitez transmettre vos messages en utilisant un jargon technique ou préférez-vous vulgariser l’information ? Ce choix doit principalement se faire en fonction de votre public cible ;
  • L’image de marque : essentiel pour transmettre les valeurs et la personnalité de votre entreprise. Listez tout ce que vous êtes et tout ce que vous n’êtes pas. Pour cette étape, les exemples sont primordiaux pour que chacun puisse comprendre exactement l’image que vous souhaitez donner ;
  • Les liens : quels sont les minimums et maximums de liens internes à ajouter par rédaction ? Autorisez-vous les liens externes et, si oui, lesquels ? Faut-il les insérer en nofollow et favoriser une ouverture sur un même onglet ou sur une nouvelle page ? Voilà autant de précisions à donner dans votre guide de style !
  • Les images : l’insertion d’images doit respecter une charte graphique et des normes techniques et visuelles. Détaillez donc précisément les formats, tailles et poids des images. En outre, vous devriez préciser leur emplacement dans le texte et leur fréquence ;
  • La mise en forme : renseignez vos envies en matière d’aspect visuel. Voulez-vous des mots en gras ou en italique ? Souhaitez-vous des camel cases dans les titres et sous-titres ? Est-ce que les paragraphes doivent respecter une certaine longueur ?

4ème étape : Choisir les canaux de diffusion

La prochaine étape consiste à définir les canaux que vous voulez utiliser pour publier vos contenus.

En marketing de contenu, on considère que certaines plateformes sont primordiales pour que votre stratégie éditoriale génère un bon retour sur investissement.

Pour commencer : votre site internet. Il s’agit de la seule plateforme en ligne qui vous appartient entièrement et que vous pouvez contrôler. Le site web peut être mis en page afin de correspondre totalement à votre image de marque et fournir le contenu que vous souhaitez rendre visible sur un temps que vous choisissez. Pensez aussi à ajouter un blog afin d’augmenter votre trafic organique.

Choisir les canaux de diffusion

Envoyer un bulletin d’information périodique (newsletter), ainsi que les funnels de vente par email, sont les canaux de communication les plus performants en matière de ROI (Retour sur Investissement). Ce sont donc des outils immanquables pour vendre vos produits et services ou fidéliser votre clientèle.

Pour finir, votre stratégie éditoriale sur les réseaux sociaux ne peut pas être mise de côté. Prenez donc le temps de bien choisir les plateformes qui correspondent à votre marque et sur lesquelles vous pourrez atteindre votre public cible.

5ème étape : Définir une cadence de publication

De manière générale, sachez que la consistance de votre fréquence est très importante. D’une part, votre régularité donne un message clair à Google pour qu’il envoie ponctuellement ses robots d’indexation parcourir votre site. D’autre part, votre public s’habitue à votre routine et s’accoutume à lire vos contenus de manière régulière.

En effet, si vous publiez 20 articles de blog d’un coup puis plus rien pendant plusieurs mois, votre site n’est pas dynamique, ce qui est un mauvais indicateur pour vos clients et votre référencement naturel.

Si, au contraire, vous publiez un article de blog par semaine, votre blog se positionne mieux sur les moteurs de recherche et votre clientèle vient régulièrement le visiter.

Dernière étape : Développer un calendrier éditorial

Pour organiser et visualiser les tâches futures, vous pouvez tout regrouper dans un planning des publications. Cela vous confère une vision globale de toutes les créations de contenu à venir. Avec un calendrier éditorial vous aurez une visibilité immédiate de tous les temps forts de l’année.

Définir un calendrier éditorial

Voici les plus grands avantages d’un tel document :

  • Toutes les informations essentielles pour votre marketing digital sont centralisées. Ainsi, vous ne risquez pas d’oublier la promotion d’un lancement de produit, d’une action ponctuelle ou de la rédaction régulière de contenu ;
  • En sachant qui est responsable des différentes tâches planifiées, vous ne risquez pas de surcharger l’un des membres de votre équipe. Au besoin, vous pouvez en tout temps réaffecter une activité afin d’équilibrer la masse de travail.
  • Chaque membre de votre équipe pouvant visualiser ce document interactif, vous êtes constamment tenu informé de l’évolution de la création de contenu.

Nos conseils pour rendre votre stratégie éditoriale efficace

Quelques conseils pour parfaire votre stratégie éditoriale afin qu’elle soit le plus efficace possible :

Créer votre équipe éditoriale

Voici les membres qui peuvent composer une équipe éditoriale :

  • Le content marketing manager : c’est le chef d’orchestre de votre stratégie éditoriale et, de manière plus globale, de votre marketing de contenu. Il connaît parfaitement l’ensemble des canaux de diffusion et de tous les supports numériques. De ce fait, il coordonne tous les acteurs de votre communication digitale et s’assure du bon respect de chaque aspect stratégique ;
  • Le consultant en référencement naturel (SEO) : il s’occupe de la visibilité de votre site web sur Google et autres moteurs de recherche. Il coordonne les 3 piliers du référencement que sont la technique, l’optimisation de contenu et la popularité ;
  • Un expert SEA : cet expert se charge de la promotion ponctuelle de vos services via des publications payantes sur les réseaux sociaux ainsi que sur les moteurs de recherche ;
  • Un ou plusieurs rédacteur(s) web SEO
  • Un community manager : spécialisé dans la création et la publication de contenu sur les médias sociaux, le community manager entretient une relation proche avec votre clientèle, tout en faisant la promotion de votre image de marque ;
  • Le graphiste web : c’est l’artiste qui se charge de la communication visuelle de votre entreprise. Que ce soit pour votre site internet, vos images sur les réseaux sociaux ou la création d’infographies, son travail est très important pour votre stratégie de contenu visuel ;
  • Un monteur vidéo : les vidéos font désormais partie intégrante d’une stratégie de contenu efficace. Le monteur vidéo est en mesure d’adapter votre contenu aux différentes plateformes de diffusion. Même si la création de vidéo peut paraître simple au premier abord, sa qualité est essentielle pour une promotion idéale de votre marque.

Analyser votre contenu existant

Si vous avez déjà publié du contenu sur votre site web ou sur vos réseaux sociaux, il est crucial de l’analyser pour savoir quelles sont les actions qui fonctionnent dans votre domaine (ou non). Cette démarche vous aidera ainsi à affiner votre stratégie éditoriale.

Pour vos réseaux sociaux, vous pouvez consulter les statistiques mises à votre disposition sur les différentes plateformes, pour repérer les publications qui ont le mieux fonctionné et vous en inspirer pour vos futures communications.

Analyser votre contenu existant

En ce qui concerne les contenus publiés sur votre site internet, vous pouvez également contrôler leur visibilité et leur efficacité en utilisant des outils comme Google Search Console Insights.

Contrôler l’efficacité de votre stratégie éditoriale

Une fois mise en place, vous devez continuellement vérifier l’efficacité de votre stratégie éditoriale, sur les différentes plateformes que vous utilisez.

Pour commencer, vous pouvez analyser les indicateurs clés de performance (KPI) les plus intéressants, à savoir les indices :

  • De notoriété ;
  • D’engagement.
  • Générateur de leads ;
  • De vente.
  • De fidélisation.

Pour contrôler votre référencement naturel, tournez-vous vers les outils de Google à disposition :

  • Google Analytics.
  • Google Search Console.
  • Google Search Console Insights.

Pour vérifier la rentabilité de votre SEA, vous avez accès à des données détaillées sur les différents médias sociaux ou moteurs de recherche que vous avez privilégiés.

En résumé, quel que soit le dispositif de communication que vous avez choisi, il est nécessaire que vous vous intéressiez à toutes les statistiques disponibles.

Posez-vous les questions suivantes :

  • Quelle a été la réussite de votre dernière campagne d’e-mail ?
  • Comment fonctionne votre funnel de vente ?
  • Combien de vues a obtenu votre dernière vidéo sur YouTube ?
  • Quelle a été l’audience de votre dernier podcast ?

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Qu’est-ce que la notion de « fraicheur » pour Google ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de JDN

Pourquoi certaines requêtes proposent presque uniquement des liens récents dans les premières places de ses résultats organiques ? Eléments de réponse.

Parmi les billions (mille milliards) de pages actuellement indexées par Google, on trouve des contenus froids, c’est-à-dire qui ne varient pas ou peu dans le temps, et des contenus chauds, liés à l’actualité. Afin de traiter certains de ces cas particuliers, Google adapte son algorithme. L’objectif affiché est de proposer des résultats « plus frais » aux internautes. « Pour Google, cela signifie donner la priorité au contenu récemment publié, mis à jour ou réécrit, lorsque la fraîcheur est considérée comme importante pour une requête de recherche », résume Johannes Rastas, partner marketing manager chez Supermetrics. Des études récentes notamment montrent l’intérêt de prendre en compte ce facteur.

Différents types de requêtes touchées

La mise en place du facteur fraicheur s’élabore en plusieurs étapes pour Google. Depuis 2011, la Freshness Update de Google s’adresse à trois types de requêtes : les événements récents et les sujets d’actualité chaude, comme « manifestation motards »,  les événements récurrents, comme « Roland Garros »,  et les requêtes nécessitant des actualisations fréquentes, comme « meilleur ordinateur portable ». Cette mise à jour s’appuie par exemple sur l’algorithme Query Deserves Freshness (QDF). Avec celui-ci, un modèle mathématique tente de déterminer quand les utilisateurs veulent de nouvelles informations. Sur la requête « meilleur matelas », on retrouve par exemple deux résultats très récents sur les quatre premières places des résultats organiques.

Notons que la firme de Mountain View reste relativement floue pour expliquer la durée du temps d’affichage de la date à côté du contenu dans la SERP. Elle apparait « lorsque ses systèmes automatisés déterminent que cette information est utile, comme lorsque son contenu a un caractère ponctuel », écrit le géant américain. Plus récemment, la section « À la Une«  apparaît en haut de la Serp sur les requêtes liées à une actualité récente. Les résultats peuvent aussi s’afficher en direct. Une façon peut être pour le moteur de recherche de rattraper Twitter sur le terrain de la réactivité.

Plusieurs critères pris en compte

Afin de placer des résultats sur ces requêtes, Google estime la fraîcheur d’un contenu en lien avec la thématique abordée. D’après Moz, y figurent différents facteurs : la date d’indexation de la page, l’importance des mises à jour apportées à la page, la fréquence des mises à jour, ou encore la fraicheur des backlinks vers la page.

« D’autres critères sont observés par GoogleBot afin de découvrir très rapidement de nouveaux contenus », renchérit Aurélien Bardon, fondateur de l’agence SEO Aseox. « Par exemple, comme la prise en compte de la popularité de la page (Pagerank). Des indicateurs externes peuvent également l’aider, comme les flux de données (RSS/XML) ou même un trafic important de visiteurs. »

Une des façons d’indiquer au moteur de recherche la présence d’un contenu frais est d’indiquer clairement la date sur la page et d’utiliser des données structurées. Google préconise d’utiliser le schéma datePublished et dateModified et le fuseau horaire approprié.  L’utilisation de ces données structurées « est recommandée si vous voulez performer dans Google News ou Discover »,  lance Aurélien Bardon. « Cela va considérablement faciliter la tache de Google en lui indiquant la date de publication« . Johannes Rastas prévient cependant : « Certains éditeurs peuvent utiliser une fausse date, ce qui entraîne la disparition de la date dans les résultats de recherche. »

Tester, toujours

Les mises à jour et les nouveaux contenus peuvent faire l’objet d’expérimentations pour connaître la pertinence de leur prise en compte par Google.  Pour David Eichholtzer, fondateur de l’agence WAM, « le test devient le meilleur allié pour s’adapter dans le temps ».

Cette recherche peut montrer l’intérêt de créer régulièrement de nouveaux contenus ou de les mettre régulièrement à jour. Par exemple, une récente enquête de Kyle Blanchette, ancien architect solutions chez Botify, a montré que le média américain CNN créait chaque jour une URL spécifique sur la guerre en Ukraine, afin de figurer dans les Top stories de Google. Ce procédé, pourtant généralement déconseillé par Google afin d’éviter la  cannibalisation des mots clés, correspond cependant à une meilleure inclusion dans Top stories, selon Moz.

Christopher Long, vice-président marketing chez Go Fish Digital, a quant à lui réussi à faire monter son contenu de la trentième place environ au top 10 de Google,  sur la requête « référencement automobile ». Comment ? Simplement en changeant moins de 5% du texte, en ajoutant « 2022 » à la balise de titre et en mettant à jour l’horodatage. Un autre test, réalisé uniquement avec le changement d’horodatage et de la balise de titre, a montré une amélioration du trafic de la page. Mais cela reste des cas particuliers, pour Johannes Rastas : « En général, de telles modifications superficielles peuvent apporter une amélioration à court terme, mais celle-ci s’estompe rapidement car ces mises à jour ne servent pas les utilisateurs. »

Le rôle et le fonctionnement d’un backlink

Nous vous proposons cette excellente contribution de Reflexiondz

L’acquisition de trafic est très importante sur Internet. Cela dépend de la visibilité du site Web. C’est la raison pour laquelle l’agence de référencement naturel utilise des techniques de référencement comme les backlinks. Nous allons découvrir dans cet article en détail le rôle d’un backlink.

Le rôle des backlinks en SEO

Le backlink est un terme utilisé dans le domaine du référencement naturel ou SEO. Il s’agit d’un lien hypertexte dans un contenu redirigeant vers un autre site ou domaine. Il est possible que le lien interne prenne la même forme, mais ce dernier redirige vers un contenu du même site. Le lien interne simplifie l’indexation des pages et la navigation de l’internaute tandis que le backlink permet de trouver l’emplacement externe d’un produit ou d’une information. Il offre également la possibilité de transférer un bon contenu d’un site Web vers un autre. En effet, le backlink est utilisé pour recommander un autre contenu. Google utilise cette recommandation appelée Trust dans son algorithme dans le but de définir le classement des résultats de son moteur de recherche. C’est la raison pour laquelle les sites Web ayant plusieurs backlinks sont populaires sur Google. En général, le backlink est employé pour une stratégie SEO et une stratégie de netlinking. Le consultant SEO cherche à optimiser sa quantité et sa qualité, mais le backlink se complique dans sa théorie et cela porte un jugement de valeur par Google. Vous pouvez acheter des bons backlinks avec boosterlink.fr pour booster le référencement de votre site Internet.

Les facteurs qui forgent la qualité d’un backlink

Un bon backlink doit être naturel aux yeux du moteur de recherche.

Les 3 critères principaux

Les critères suivants contribuent à sa qualité :

  • la pertinence : un backlink apporte plus d’importance et est plus pertinent lorsqu’il provient d’un site Web ayant la même thématique que vous ;
  • la confiance : les sites Web qui gagnent la confiance de Google ont un bon positionnement sur le moteur de recherche comme les sites gouvernementaux. L’autorité du domaine ou Domain Authority permet d’évaluer la confiance accordée à un site Web. Un backlink d’un site de confiance engendre un bon impact et une importance sur votre SEO ;
  • la diversité : les backlinks doivent être différents. Ils ne peuvent pas être présents dans le même emplacement ou provenir du même site.

L’attribut nofollow d’un backlink

Le spam est une technique frauduleuse permettant de récupérer des informations comme des données personnelles. Vous recevrez ainsi un message indésirable qui vous invite souvent à accéder sur un lien. On appelle donc spammy les contenus laissés sur des forums ou des blogs dans le but de récolter des bénéfices pour l’auteur. Les commentaires spammy sont souvent accompagnés de liens vous redirigeant vers des sites douteux. Cela leur permet de récupérer la popularité SEO du site. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’affecter aux backlinks un attribut nofollow. Ce dernier peut protéger la fuite de popularité. En effet, il permet d’informer les moteurs de recherche que le site émetteur n’assume pas le lien en place lorsqu’ils localisent le lien frauduleux dans la page. Afin de bien protéger sa popularité, un blog a la possibilité d’affecter par défaut un attribut nofollow à tous les liens publiés dans ses commentaires. Normalement, le backlink ne doit pas comporter l’attribut nofollow pour assurer l’amélioration du référencement d’un site Web. En revanche, cela lui permet de protéger la popularité SEO du site.

L’emplacement d’un backlink

L’emplacement d’un backlnk dans la page source est également très important. Pour une bonne qualité, il est recommandé de placer le backlink dans un paragraphe de texte. Un backlink bien positionné en haut dans le texte a plus de chances d’être reconnu comme un backlink de qualité par l’algorithme de Google. Il est donc déconseillé de faire un abus. Cela engendre moins de crédit dans le calcul de la popularité.

L’importance de faire varier les ancres

L’ancre du lien est une expression dans le texte permettant à l’internaute d’être transféré sur le site recommandé en cliquant dessus. Pour un backilnk de qualité, l’ancre doit être pertinente et avoir un rapport avec le contenu de la page cible. Des ancres optimisées avec des mots-clés stratégiques permettent d’améliorer le positionnement du contenu. Ne vous limitez pas, utilisez des ancres élargies, des ancres neutres ou brandées ou même des synonymes. Elles vous donneront le côté naturel.

Les plateformes de netlinking pour faire des achats

Il existe des plateformes de netlinking simples et efficaces pour faire des achats de backlinks comme BoosterLink. Ces plateformes proposent des liens thématisés pour optimiser le référencement de votre site Web. L’outil de netlinking met à votre disposition des indicateurs fiables et puissants pour vous permettre de bénéficier des backlinks selon vos besoins. Grâce à cette plateforme, vous aurez également la possibilité d’acheter des liens SEO provenant des sites populaires pour booster votre trafic. Vous allez bénéficier d’un accompagnement lors de vos achats de liens sur la plateforme de netlinking.

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