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Comment Instagram Évalue la Pertinence de Vos Publicités ? (4 Critères)

Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital

Que pense Instagram des publicités qui sont partagées sur sa plateforme ? Comment le réseau social en évalue-t-il la pertinence ? Voici 4 critères récemment dévoilés par Instagram lui-même.

Pourquoi faire de la publicité sur Instagram ?

Voici quelques (bonnes) raisons de se lancer dans les annonces publicitaires sur Instagram :

  1. Grande audience : Instagram est un des réseaux sociaux les plus populaires et les plus utilisés dans le monde, c’est donc une audience potentielle très large qui s’offre aux potentiels annonceurs.
  2. Ciblage précis : Instagram permet de cibler les utilisateurs en fonction de leur emplacement, de leur âge, de leur sexe, de leurs centres d’intérêt et de leur comportement en ligne. Il est donc possible de cibler très précisément les personnes qui vont voir votre annonce.
  3. Format visuel attrayant : les annonces peuvent être conçues de manière à être attrayantes et de ce fait plus engageantes.
  4. Engagement élevé : Les utilisateurs d’Instagram ont tendance à interagir plus avec les marques et les entreprises qu’ils suivent, ce qui peut se traduire par un engagement élevé avec les annonces publicitaires.
  5. Possibilité de conversion : Avec les fonctionnalités de liens et les boutons d’appel à l’action, les annonceurs peuvent diriger les utilisateurs vers leur site web ou leurs pages de vente, ce qui peut augmenter les chances de conversion.

Comment Instagram évalue la pertinence des annonces publicitaires ?

Voici les informations publiées le lundi 13 février 2023 sur le compte d’Instagram for Business. Si vous ne comprenez pas l’anglais, ne vous inquiétez pas, nous vous expliquons chaque point en détail juste après cette infographie.

Comment Instagram évalue la pertinence des annonces publicitaires sur sa plateforme ?
Comment Instagram évalue la pertinence des annonces publicitaires sur sa plateforme ?

Critère n°1 : Les objectifs SMART

Instagram conseille à ses utilisateurs de se fixer des objectifs SMART. Si vous ne vous souvenez plus exactement de ce que cela signifie, voici une rapide explication de chaque critère que votre objectif doit remplir :

  • Spécifique : L’objectif doit être clairement défini et précis.
  • Mesurable : L’objectif doit pouvoir être mesuré de manière concrète.
  • Atteignable : L’objectif doit être réaliste et réalisable avec les ressources dont vous disposez.
  • Pertinent : L’objectif doit être en lien avec la stratégie globale pour laquelle il est mis en place.
  • Temporellement défini : L’objectif doit être associé à une deadline précise.

Critère n°2 : La pertinence du message de votre annonce en fonction de votre objectif

Selon Instagram, pour que votre publicité soit pertinente, il faut que le message que vous véhiculez dans votre annonce soit en cohérence avec l’objectif que vous souhaitez atteindre.

Pour illustrer ce propos avec un exemple : vous n’allez pas écrire sur votre annonce « Obtenez 20% de réduction sur votre première réservation » si vous vous adressez à vos clients existants, puisqu’ils ne pourront pas en bénéficier. Logique non ?

Critère n°3 : L’identification de votre contenu

Un des objectifs principaux à atteindre pour que votre marque et votre contenu touchent efficacement les utilisateurs d’Instagram, c’est de pouvoir être reconnu de manière automatique.

L’objectif est donc de réussir à créer une identité visuelle et un type de contenu que les utilisateurs n’auront aucun mal à reconnaitre, et qui leur permettra d’identifier tout de suite à qui ils ont affaire.

Cela permettra de favoriser l’attachement à la marque et d’encourager les interactions avec votre annonce publicitaire.

Critère n°4 : La cohérence des annonces avec votre stratégie globale

Et enfin, le dernier conseil d’Instagram est le suivant :

Alignez les publicités Instagram sur votre stratégie marketing globale en promouvant le contenu organique, les lancements de produits, les blogs, etc. Instagram

▷ Top 5 des livres sur le SEO à lire absolument

Nous vous proposons cette excellente contribution de Webmarketing&co’m

À mesure que le paysage numérique évolue, les entreprises doivent se tenir au courant des dernières tendances SEO pour s’assurer que leur présence en ligne reste visible et compétitive. Les années à venir promettent d’apporter de nouveaux défis et opportunités aux entreprises en matière d’optimisation de de contenu pour les moteurs de recherche. Afin d’en savoir plus sur le SEO, ce module « Les fondamentaux du référencement naturel” du parcours certifiant “Développer son activité avec le webmarketing” vous apprendra à mettre en place une stratégie SEO pour votre site web et de maîtriser la première page de Google. Parallèlement, nous avons dressé, à travers cet article, une liste non exhaustive des meilleurs livres pour s’initier au référencement naturel…

Réussir son référencement web : Stratégies et techniques SEO de Olivier Andrieu (Edition EYROLLES, 2022)

Voilà un must-read en termes de SEO ! Écrit par Olivier Andrieu, ce livre est une référence sur ce sujet pour que vous puissiez avoir un site web avec le maximum de visibilité sur les moteurs de recherche. Peu importe si vous êtes un débutant ou un expert, il vous aide à comprendre comment fonctionne le SEO et vous donne les outils et techniques dont vous avez besoin afin d’optimiser votre site Web pour les moteurs de recherche.

Olivier Andrieu y dévoile des conseils pratiques sur la façon d’appliquer les techniques de rédaction SEO pour créer un contenu de qualité pour un site Web, des outils SEO à utiliser pour l’analyser et l’améliorer, ainsi que les meilleures pratiques pour éviter les pénalités de Google.

Autre point fort : vous y découvrirez diverses stratégies et techniques de référencement que vous pouvez utiliser pour améliorer votre visibilité en ligne comme le netlinking, les réseaux sociaux et la publicité en ligne.

Bien rédiger pour le web : Stratégie de contenu pour améliorer son référencement de Isabelle Canivet-Bourgaux (Edition EYROLLES, 2017)

Avoir des articles rédigés selon les normes du Web est une base que tout propriétaire de site Web digne de ce nom de connaître. Si vous n’êtes pas très calé sur le sujet, pas de panique, ce livre est fait pour vous. Isabelle Canivet-Bourgaux fournit, en effet, les meilleures pratiques en termes de rédaction web tout en tenant compte du référencement et de l’expérience utilisateur.

Bien que le contenu soit actuellement le pilier du SEO, c’est aussi le pilier du marketing. Donc, si vous souhaitez développer votre site Web à la fois d’un point de vue référencement et d’un point de vue client, lisez impérativement cet ouvrage.

Stratégie web : le rôle central des noms de domaine de David Chelly (Edition Gecop, 2020)

Améliorer constamment les pratiques en termes de marketing Web est un must pour une entreprise, surtout dans les domaines qui ont été négligés jusqu’à présent. Les noms de domaine sont l’un des actifs les moins connus d’Internet malgré son fort potentiel, notamment pour l’amélioration du référencement, l’amélioration de la communication et la gestion des risques juridiques.

Cet ouvrage, signé David Chelly, représente une mine d’informations et de conseils pour ceux qui utilisent les noms de domaine de manière professionnelle, à savoir les éditeurs de sites Web, référenceurs, avocats, agences Web, gestionnaires de noms de domaine, domaines. Il couvre les questions les plus pertinentes en rapport avec les noms de domaine.

Search Optimization de Lionel Miraton (2016)

À travers ce livre, Lionel Miraton affirme que le SEO doit d’abord être centré sur l’utilisateur. Pour lui, il faut arrêter de faire du référencement pour Google et de se concentrer en priorité sur la compréhension des besoins de l’internaute. Vous comprendrez ainsi mieux le rôle des moteurs de recherche, la nécessité d’étudier le comportement des utilisateurs et la façon d’implanter une stratégie SEO.

Lionel Miraton propose des conseils cruciaux et surtout intemporels concernant les meilleures pratiques SEO afin d’améliorer efficacement et durablement le positionnement de votre site Web.

Optimiser son référencement WordPress de Daniel Roch (Edition Eyrolles, 2017)

Daniel Roch révèle tous les secrets pour faire de WordPress un puissant outil SEO. Ce livre contient toutes les bases du référencement naturel, y compris la popularité, l’indexation et la structure du site Web. Il est également très technique avec les préférences WordPress, les extensions et les thèmes pour optimiser au maximum le référencement. De plus, cette deuxième édition offre trois nouveaux chapitres pour vous aider à apprendre comment sécuriser votre site WordPress, le rendre mobile friendly, et comment anticiper les erreurs des utilisateurs sur votre site.

ChatGPT et Google Bard : quelles différences ?

Nous vous proposons cette excellente contribution de BDM

ChatGPT, le chatbot d’OpenAI, est accessible au grand public depuis plusieurs mois déjà et connaît un succès fulgurant depuis sa sortie. Avec ChatGPT, OpenAI a bousculé les rangs des géants de la tech, à tel point que Google fut contraint de dévoiler Bard début février, un équivalent à ChatGPT mais qui se différencie à plusieurs niveaux. On fait le point !

1. La mise à jour des données

Bard dispose de données mises à jour en temps réel puisque le service conversationnel de Google est directement connecté au web pour fournir des réponses fraîches et de haute qualité. Là où ChatGPT est limité puisqu’il s’appuie sur une base de connaissances qui n’a pas été mise à jour depuis septembre 2021. Cela signifie que le chatbot d’OpenAI n’est pour le moment pas en capacité d’apporter des réponses sur des événements très récents.

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ChatGPT n’a pas connaissance de la dernière coupe du monde de 2022. © Capture BDM

2. Le modèle de langage

ChatGPT est basé sur les modèles d’OpenAI et la technologie GPT-3 qui signifie Generative Pre-trained Transformer 3 . Microsoft se base sur cette technologie pour son nouveau Bing, dévoilé un jour seulement après Bard.

En revanche, Bard est propulsé par un autre modèle de langage propre à Google : LaMDA qui signifie Language Model for Dialogue Applications. Lors de la présentation de Bard, Google a d’ailleurs rappelé sa position de précurseur dans le domaine de l’intelligence artificielle avec BERT, un de ses premiers modèles Transformer mais aussi ses technologies telles que PaLM, Imagen et MusicLM.

3. La disponibilité

Si ChatGPT est disponible gratuitement au grand public depuis décembre 2022, Bard n’est pas encore accessible à tous. Le service conversationnel de Google est ouvert seulement à des testeurs de confiance mais devrait être déployé plus largement dans les prochaines semaines selon le blog post officiel de la firme.

4. Le coût

En supplément de sa version gratuite, OpenAI a lancé une version payante : ChatGPT Plus à partir de 20 $. Cette offre premium permet d’accéder au chatbot même lorsque la demande est élevée (fin du ChatGPT is at capacity right now), d’obtenir des réponses plus rapidement, et d’avoir un accès prioritaire aux nouvelles fonctionnalités. Côté Google, Bard sera très certainement un service gratuit intégré à son moteur de recherche.

Plagiat, sécurité, prix: l’abonnement payant de Facebook et Instagram ne fait pas l’unanimité

Nous vous proposons cette excellente contribution de Tech&Co

Avec Meta Verified, Mark Zuckerberg propose de sécuriser les comptes Facebook et Instagram en les certifiant d’un badge bleu. Mais l’annonce n’a pas été bien accueillie dans le monde de la Tech.

Moqué, accusé de copier Twitter ou d’avoir été lancé à la va-vite: le nouveau service d’abonnement payant annoncé par Meta pour Facebook et Instagram suscite des réactions assez tièdes des experts et des internautes.

Baptisé Meta Verified, ce nouveau service propose aux abonnés de bénéficier d’un badge bleu de vérification, d’un accès direct au service client de l’entreprise, d’une plus grande visibilité et d’une protection supplémentaire contre l’usurpation d’identité.

Pour plusieurs analystes de Wall Street, cet abonnement ne sera pas en mesure de générer à court terme des revenus équivalents aux sommes colossales tirées des recettes publicitaires.

« Nous ne pensons pas que le nouveau service de vérification des comptes dépasse 1 à 2% du chiffre d’affaires total au cours des 18 prochains mois », prédit Angelo Zino de CFRA.

Des accusations de plagiat de Twitter Blue

Angelo Zino insiste toutefois sur la nécessité pour Meta de diversifier ses sources de revenus au moment où l’inflation pèse sur les dépenses des annonceurs et où le groupe de Mark Zuckerberg fait face à une concurrence féroce sur le marché de la publicité en ligne.

Avant Meta, Twitter a déjà lancé son offre de vérification payante, qui donne accès à sa fameuse coche bleue, mais aussi à une meilleure promotion des publications, moins de publicités et la possibilité de publier des tweets plus longs.

Ce service, qui a connu des débuts chaotiques, fait partie des grandes priorités stratégiques d’Elon Musk depuis son rachat pour 44 milliards de dollars du réseau des gazouillis.

Plusieurs internautes ont d’ailleurs soupçonné Mark Zuckerberg de plagier le patron multimilliardaire de Tesla en lançant à la hâte Meta Verified. « Inévitable », a répondu Musk à un tweet formulant cette accusation.

Un prix prohibitif pour certains

Pour Dan Ives de Wedbush Securities, le lancement d’un abonnement payant est un pari « risqué » pour Meta.

« Il pourrait y avoir un retour de bâton de la part des consommateurs qui ne voudront jamais payer un centime pour Facebook ou Instagram et cette initiative pourrait les pousser vers la sortie », a-t-il estimé.

D’autant que le prix pourrait être prohibitif pour certains: 11,99 dollars par mois pour l’offre web et 14,99 dollars via des appareils munis du système d’exploitation d’Apple ou de Google, qui prélèvent une commission sur les achats effectués dans leurs magasins d’applications.

« Pour la plupart des utilisateurs de Meta, que ce soit sur Facebook ou Instagram, cette nouvelle offre risque d’être accueillie avec un haussement d’épaules plein d’indifférence », anticipe Susannah Streeter de Hargreaves Lansdown.

L’analyste pense toutefois que les petites entreprises et les personnalités très en vue pourront être tentées de payer pour se protéger des piratages ou pour obtenir plus de visibilité.

Ne pas faire payer la sécurité

Le fait de rendre payante la protection accrue contre l’usurpation d’identité a également fait beaucoup réagir.

« Les dispositifs de sécurité ne doivent PAS être mis en vente », s’est indignée sur Twitter la spécialiste en cybersécurité Kavya Pearlman, jugeant que cela créerait une fracture numérique entre les plus riches et les moins fortunés.

Kavya Pearlman plaide pour que les patrons des géants de la tech luttent davantage contre les escrocs et passent moins de temps à faire payer leurs clients dont ils exploitent déjà les données personnelles.

Encore plus direct, le Real Facebook Oversight Board, un groupe militant anti-Meta, a affirmé sur son compte Twitter que « Facebook voulait désormais que [les utilisateurs financent] le modèle nuisible qui alimente toute son activité ».

P.M. avec AFP

Lancement de la marque Sénégal numérique

Nous vous proposons cette excellente contribution de AP Sénégalaise

Dakar, 20 fév (APS) – La société Sénégal numérique SA, héritière de l’ancienne Agence de l’informatique de l’Etat (ADIE), a procède ce lundi au lancement officiel de sa marque, un évènement destiné à présenter au public son catalogue de services et les domaines dans lesquels elle intervient.

La société anonyme Sénégal numérique (Senum.sa) a lancé son catalogue de services désormais ouvert aux entreprises publiques et celles privées en vue de renforcer la digitalisation, a annoncé son directeur général, Cheikh Bakhoum.

Le Senum.sa va désormais ‘’apporter un certain nombre de produits et de services pour les entreprises du service public mais également du secteur privé’’, a-t-il dit.

Le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique Moussa Bocar Thiam a présidé le lancement officiel de la marque.

Selon M. Bakhoum, cette cérémonie marque ‘’une étape importante dans la vie’’ de Sénégal numérique, ‘’une entité qui vient d’être mise en place par le gouvernement du Sénégal’’.

La mutation institutionnelle de la société va permettre de renforcer la ‘’digitalisation’’ tant voulue par le chef de l’Etat mais également de ‘’rentabiliser l’ensemble des investissements qui ont été consentis par l’État pour le compte de l’État du Sénégal’’, a-t-il avancé.

Cheikh Bakhoum est revenu sur les différents produits qui vont permettre aux sénégalais d’accéder à un service de qualité grâce au numérique.

‘’Ce sont des services liés à l’hébergement dans nos data center, à la connectivité notamment sur la fibre optique déployée sur tout le territoire national qui est désormais ouvert au secteur privé. C’est aussi les services du câble sous-marin qui va bientôt être lancés par le président de la République’’, a-t-il expliqué.

Le Senum.sa délivre des services ‘’dans le cadre de la formation avec Sénégal digital académie’’ mais également ‘’dans le cadre de l’innov’lab, une entité qui va accompagner les start-up à travailler sur des problématiques de l’État’’.

La nouvelle société anonyme a aussi une offre dédiée aux Petites et moyennes entreprises (PME) et aux petites et moyennes industries (PMI)dans le cadre de l’hébergement au Sénégal et également des différents start-up qui s’activent dans le pays. ‘’Tous ces efforts vont permettre de placer le Sénégal comme un hub digital de dernière génération », a fait valoir M. Bakhoum.

‘’Ce lancement aussi marque une étape importante dans le cadre de la souveraineté de notre pays parce que le président Macky Sall tient à ce que les données des Sénégalais restent au Sénégal et dans ce cadre nos infrastructures sont prêtes à accueillir le maximum de plateformes de données que ce soit pour les administrations mais également pour le secteur privé’’, a-t-il souligné.

FD/OID

Innovation dans le secteur des assurances : la Côte d’Ivoire opte pour « l’OPEN INNOVATION » (Libre opinion)

Nous vous proposons cette excellente contribution de Abidjan.net

A l’orée du nouveau tournant que prends le secteur des assurances en Côte d’Ivoire et dans toute la zone CIMA, Monsieur Coulibaly Niennenkariga Habib, fin connaisseur du milieu des assurances et du Digital, fait une rétrospection des différentes actions dans ce domaine et sa vision sur l’avenir.

M. Habib est par ailleurs Président la Société Ivoirienne d’Intelligence Numérique (SIIN), Fintech exerçant dans l’innovation des produits d’assurance et doctorant en Sciences Economiques et de Gestion.

Ci-dessous sa contribution.

Le 10 Avril 2020 sur cette même tribune, je faisais un papier intitulé « Crise du COVID 19 / Télétravail : Comment la Côte d’Ivoire réussit sa transition Numérique » dans lequel j’annonçais un certain nombre d’initiatives dans le domaine du numérique prise par l’Etat de Côte d’Ivoire (pour juguler la crise née de la pandémie de COVID 19) et dans celui du secteur des assurances pour la satisfaction client (accès aux produits d’assurances et réduction des délais de règlement des sinistres) via ce même canal.

Presque 03 ans après, il était important comme vous le dites de faire un bilan de toutes ces initiatives notamment sur celui du secteur des Assurances

En tout cas, au regard des signaux que nous laisse entrevoir ce secteur, nous pouvons affirmer que « l’essai a été transformé » à travers l’« OPEN INNOVATION ».

En effet, les entités qui adoptent ce type d’innovation mette en place des collaborations pour trouver des idées, identifier des nouvelles technologies et développer de nouveaux produits et services.

Il s’agit en fait dans le « jargon » de l’OPEN INNOVATION, d’une « Coopétion (mutualisation des ressources de tout ordre) » et de la « Cocréation (idées nouvelles) », concept clé de L’OPEN INNOVATION tiré de l’article « l’Open Innovation ouvre à de nouvelles pratiques », extraite de la Revue « L’Expansion Management Review » parue en 2012.

C’est donc pour ce type de recherche appliquée et de modèle d’innovation « technologique » et « managériale » tant souhaité et promu par la FANAF et le régulateur CIMA qu’a opté la « Côte d’Ivoire des Assurances ».

En effet les assureurs du marché Ivoirien ont mutualisé leurs énergies et leurs compétences pour la mise en œuvre d’une plateforme numérique sécurisée de gestion digitalisée des attestations automobile.

Ce tout premier projet structurant de ce type dans toute la zone CIMA sera certainement comme l’a précisé le Président de l’Association des Assureurs de Côte d’ivoire en octobre 2022 lors de la mise en production de la plateforme, le point de départ d’une transformation majeure dans le secteur des assurances, pour le bonheur des bénéficiaires des contrats qui n’auront désormais plus de mal à se faire indemniser de manière plus diligente.

L’adoption d’une innovation étant un processus j’essayerais au cours de cette contribution d’identifier (à mon sens) le point de départ de cette dynamique ainsi que les différentes étapes de celle-ci en mettant en exergue un certain nombre d’acteurs dans le processus de diffusion et d’adoption de l’OPEN INNOVATION dans le secteur des assurances en Côte d’Ivoire.

2014 A OUAGADOUGOU (BURKINA FASO), DEBUT DE LA DYNAMIQUE DE DIFFUSION DE L’OPEN INNOVATION AVEC L’ELECTION DU NOUVEAU BUREAU DE LA FANAF

Selon Rogers (*) : «la diffusion est un processus par lequel une innovation est communiquée à travers un certain nombre de canaux au fil du temps parmi les membres d’un système social ».

Pour contextualiser cette définition au monde des assurances de la zone CIMA, nous dirons que « l’OPEN INNOVATION est une forme d’innovation qui a été vulgarisée en très grande partie par la FANAF à travers ses assemblées annuelles et forums des marchés entre 2014 et 2020 parmi ses membres que sont les assureurs, les réassureurs et les différentes faitières des marchés de la zone CIMA »

Les assemblées annuelles et les forums des marchés ont donc été des canaux particuliers de communication et d’échange sur l’OPEN INNOVATION, car au cours de ces échanges les participants ont créé et échangé des informations afin de parvenir à une mutuelle compréhension de ce nouvel outil de management.

Selon le nouveau Président élu le Sénégalais Adama Ndiaye et son bureau, la montée des géants du numérique la survie du secteur des assurances devrait impérativement passer par des collaborations véritables dans le secteur et non vivre en autarcie comme cela était visiblement le cas

Ainsi dans sa stratégie de vulgarisation de l’OPEN INNOVATION, le nouveau Président élu de la FANAF et son bureau ont jugé important de réduire l’incertitude et la méfiance que la majeure partie des assureurs avaient jusque-là, à ouvrir leurs systèmes à des parties tiers pour une franche collaboration.

C’est donc dans cette dynamique que le thème retenu pour cette FANAF de 2014 était « LES NOUVEAUX HORIZON DE L’ASSURANCE AFRICAINE ».

En réalité ce thème principal traitait en profondeur trois (03) sous-thèmes majeurs sur l’OPEN INNOVATION :

  • Le premier de ces sous-thèmes était « le cloud computing dans le secteur de l’Assurances » ;
  • le second, « la gestion externalisée des contrats et sinistres dans l’industrie de l’Assurance » ;
  • le troisième portait sur « l’intelligence économique ».

Ainsi dès sa prise de fonction en 2014, le nouveau bureau de la FANAF a compris la nécessité pour tous les acteurs de mutualiser leurs efforts afin de résoudre les épineux problèmes de la distribution des produits d’assurances, du paiement des primes ainsi que celui de la gestion des sinistres à travers de nouveaux paradigmes de gestion.

Ne pouvant plus se permettre d’innover seul dans un contexte caractérisé par une situation économique difficile et par une concurrence intensifiée et mondialisée, la FANAF à partir de 2014 a pris son bâton de pèlerin pour exhorter ses membres à changer de paradigme en matière d’innovation afin de répondre à la demande évolutive et exigeante des consommateurs devenus « Emergeant » à travers la « Cocréation » et la « Coopétion » concepts clés de l’OPEN INNOVATION que j’ai présenté plus haut.

2015 A ANTANANARIVO (MADAGASCAR), LA PRISE DE CONSCIENCE VERITABLE DE L’ECOSYSTEME DE L’ASSURANCE AFRICAINE DES NOUVEAUX ENJEUX

A Madagascar les acteurs Africains du monde des assurances avaient « acté » un fait, : « les compagnies et les associations des marchés ne peuvent plus se permettre d’innover seules ».

Cette volonté s’est traduite par le thème retenu pour cette 39ième assemblée générale « L’Assurance dans une Afrique en pleine mutation ». Ainsi à cette FANAF le « Digital » faisait son entrée en force dans les débats qui ont meublé cette rencontre avec le principal panel intitulé : « Le Digital dans l’Assurance Africaine ».

2016 A ABIDJAN (CÔTE D’IVOIRE) L’ACCELERATION DU PROCESSUS DE PRISE DE CONSCIENCE DES ACTEURS ; LE CONCEPT DE « L’ASSURE EMERGEANT » EST NE.

« L’Afrique sous un jour nouveau : près de 6 % de croissance annuelle depuis une décennie et plus de 5 % dans les années à venir, des progrès en matière de gouvernance. • De l’afro pessimisme à une vision de l’Afrique comme zone attractive ou nouvelle frontière pour les investisseurs • La consommation et l’investissement, principaux moteurs économiques, n’attendent qu’à être allumés pour assurer le grand décollage économique du continent. Les assureurs seront-ils à ce rendez-vous économique ? Quels sont les grands défis auxquels devront-ils faire face ? » dixit Koné Mamadou Président actuel de l’Association des Assureurs de Côte d’Ivoire (ASACI) lors de sa présentation en plénière pendant cette Assemblée Générale le lundi 16 février 2016 (page 24).

A l’orée de ses 40 ans la FANAF était bien décidé à faire sa mue !

C’est pour cette bonne raison que le thème retenu cette année au bord de la lagune Ebrié était « L’Assurance Africaine au cœur de l’Emergence Economique ».

Comment saisir les opportunités dans un contexte économique Africain de plus en plus favorable et répondre aux besoins de l’assuré devenu de plus en plus exigeant et émergent ? tels étaient les défis auxquels s’étaient assignés à ressourdre les participants de la 40ième Assemblée annuelle de la faîtière des assureurs.

Pour répondre à ces différentes problématiques un état des lieux préalable sans complaisance avait été fait.

Ainsi (03) trois présentations avaient retenu l’attention. Il s’agissait de celles sur :

  • « Les enjeux futurs de l’Assurance dans la zone FANAF » présenté par l’Ivoirien KONE Mamadou, Président Actuel de l’Association des Assureurs de Côte d’ivoire ; (Ancien membre d’alors du Bureau Exécutif de la FANAF et du Comité des Expert de la CIMA) ;
  • L’« Impact des évolutions socio-économiques et de l’innovation sur les métiers, l’offre et la demande d’assurance à l’horizon 2030 » présenté par le Suisse Jean-Jacques HENCHOZ ;
  • « Comment trouver et atteindre les Assurés Emergents » du Burkinabé Alfred YAMEOGO, auteur du concept de ‘l’« ASSURE EMERGEANT ».

A la fin de cette FANAF dite de « Vérité » les participants se sont donné rendez-vous au Maroc pour des recommandations plus fortes.

2017 MARRAKECH (MAROC), 2018 KIGALI (RWANDA), 2019 TUNIS (TUNISIE), LES ANNEES DE PERSUASION POUR L’ADOPTION DE L’OPEN INNOVATION

Ces trois années de l’histoire de l’Assurance Africaine ont été marqué par des résolutions fortes en faveurs de l’OPEN INNOVATION.

La résolution phare des assises du Maroc ; dont le thème retenu pour cette Assemblée Générale était « Nouveaux enjeux règlementaire et défis opérationnels : quelle stratégie pour l’assurance » était libellée ainsi : « Sur le principe de la digitalisation de l’Assurance Africaine : l’Assemblée Générale retient le principe de la digitalisation de l’Assurance Africaine dans un cadre règlementaire simple (..) et qui doit tenir compte des intérêts des assurés. Toutefois, au regard des coûts que cela pourrait générer, l’Assemblée Générale invite le régulateur à encourager la MUTUALISATION technologique permettant la digitalisation » ; Recommandation que la Côte d’ivoire appliquera 3 ans plus tard…à travers l’appel d’offre international lancé pour la digitalisation du secteur.

Aussi dans la même veine des recommandations fortes, les travaux de Kigali et de Tunis allaient dans le même sens que ceux de Marrakech, c’est-à-dire accentuer les collaborations à l’ère des disruptions.

Notons également que les conclusions des travaux des forums des marchés de Cotonou de 2018 « Distribution de l’Assurance dans l’espace FANAF : un modèle à repenser » et de Douala de 2019 « Relecture du traité CIMA quelle orientations pour nos marchés après 25 ans de mise en œuvre ? » ont également persuadé l’écosystème à opter pour des collaborations plus étroites entre acteurs dans les recherches aux solutions notamment aux niveaux des pratiques de gestion et du cadre règlementaire en vue de s’adapter aux nouveaux enjeux technologiques

2020 : LA COTE D’IVOIRE ENTEND L’APPEL DE LA FANAF ET DU REGULATEUR CIMA ET ADOPTE DEFINITIVEMENT L’OPEN INNOVATION

L’année 2020 celle l’émergence tant souhaité par la plupart des états Africains marque le début d’une nouvelle dynamique pour les acteurs du marché des assurances en Côte d’Ivoire à travers l’adoption de l’OPEN INNOVATION.

Après la réduction de l’incertitude sur cette innovation par la FANAF à travers ses assemblées annuelles et forums des marchés, la Côte d’Ivoire franchit donc le pas en adoptant ce modèle de gestion tant vulgarisé par la FANAF et conseillé par la CIMA.

Selon ce modèle d’innovation, les entreprises d’ordinaire concurrentes collaborent pour des projets où elles ne bénéficient pas d’un avantage concurrentiel spécifique, mais où elles peuvent partager des ressources complémentaires ou des coûts communs pour la réalisation de leurs objectifs.

C’est exactement ce modèle prôné par la FANAF entre 2014 et 2020 et soutenu par le régulateur que la Côte d’Ivoire des Assurances a décidé de s’approprier.

En effet les acteurs du marché des assurances en Côte d’Ivoire ont fédéré les ressources (financières, matérielles et humaines) pour la mise en œuvre d’un projet commun de dématérialisation de l’attestation automobile. Ce projet unique dans son genre constitue l’un des projets les plus structurant de toute la zone CIMA et partant de l’Afrique tout en entière.

2023 : KINSHASA (REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO) LES PERSPECTIVES SONT BONNES POUR LES BENEFICIAIRES DU CONTRATS ET LES ACTEURS DES ASSURANCES NOTEMMENT LES FINTECHS

UNE NOUVELLE ERE S’OUVRE POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES

Dans la tribune libre de votre confrère Jeune Afrique dans sa parution de févier 2023, Monsieur Ridha Meftah (associé chez EY chargé de l’offre conseil pour le secteur financier en Afrique francophone) expliquait « pourquoi les assureurs Africain doivent passer par l’innovation ouverte ».

Sans nul doute avec cette innovation majeure pour le secteur des assurances en Côte d’Ivoire nous verrons certainement une émulation dans le secteur Fintechs, qui proposeront des produits et services très innovants pour les assureurs qui en demanderont certainement davantage.

Ainsi à travers le développement des produit et services d’assurance plus innovants via le Digital, le taux de pénétration de l’assurance, le règlement des primes ainsi le paiement des sinistres seront à coups sûr de vieux maux.

Espérons donc qu’avec cette innovation, Monsieur Adje Evariste fervent défenseur des droits des assuré n’ira pas « Dormir à Libreville ; Intitulé de son dernier ouvrage » pour réclamer les droits des victimes.

En tout cas je reste persuadé que les deux acteurs clé du marché des assurances, le Président de l’ASACI et le Directeur des Assurances ne ménagerons aucun effort pour la protection des droits des victimes

Avant le terme de ce regard porté sur les actions entreprises par le secteur des assurances en Côte d’ivoire, nous pouvons affirmer sans nous tromper que les perspectives pour le secteur et les bénéficiaires des contrats assurances sont bonnes.

Les signaux positifs que nous laisse voir les acteurs du secteur des assurances en Côte d’Ivoire et dans toutes la zone CIMA sont positif.

A l’orée du début des travaux de la 47ième Assemblée Générale Annuelle de la FANAF je reste convaincu que tous les acteurs du secteur joueront leur partition dans « l’histoire de la transformation numérique de l’Afrique » (notamment dans celui des assurances) comme le disait Stéphane Richard ex Président-directeur général du groupe Orange dans la préface du livre de Bruno Mettling intitulé « Booming Africa ; Le temps de l’Afrique digitale ».

L’AVENIR NOUS LE DIRA !

CONCLUSION

L’adoption d’une innovation étant un processus, j’ai essayé au cours de cette contribution de situer le début de cette dynamique de diffusion de l’OPEN INNOVATION dans le secteur des Assurance dans la zone CIMA (2014 par l’élection du nouveau bureau de la FANAF) jusqu’ à son adoption et sa mise en œuvre par le marché ivoirien.

J’ai par ailleur essayé de montrer comment la FANAF à travers ces canaux de communication ont bien eu un impact positif sur l’adoption de l’OPEN INNOVATION par le marché des assurances en Côte d’ivoire en réduisant l’incertitude sur ce nouveau paradigme de management.

J’ai également présenté les différentes séquences de ce processus.

Aussi force est de constater que la COVID 19 a certainement eu un effet accélérateur (point de basculement) sur le processus d’adoption de l’OPEN INNOVATION par le marché Ivoirien ;

Mais il faut bien reconnaitre que les acteurs du marché étaient déjà bien engagés dans ce processus de changement de paradigme.

Facebook et Instagram lancent un abonnement payant : ce que l’on sait

Nous vous proposons cette excellente contribution de Le HuffPost

RÉSEAUX SOCIAUX – Mark Zuckerberg marche dans les pas d’Elon Musk. Le patron de Meta (Facebook, Instagram) a annoncé ce dimanche 19 février le lancement d’un abonnement payant, Meta Verified, à partir de 11,99 dollars (11,20 euros) par mois pour authentifier son compte sur les plateformes, alors que le géant des réseaux sociaux traverse une passe financière difficile.

La formule, qui sera d’abord déployée en Australie et Nouvelle-Zélande cette semaine, ressemble à celle mise en place par Elon Musk sur Twitter. Meta n’a pas précisé dans quelles mesures, ni quand, ce service serait accessible dans d’autres pays.

Dans un message publié sur ses pages anglo-saxonnes, Meta explique que les clients qui paieront auront le droit à une « tick » bleue symbolisant un compte vérifié. Ils devront pour cela fournir une pièce d’identité et avoir une photo de profil sur laquelle figure leur visage. Les noms de comptes devront également être ceux présents sur les documents d’identité. Il faudra d’ailleurs être âgé de 18 ans.

Pour le moment les entreprises n’ont pas accès à ce service.

Un utilisateur vérifié aura une visibilité accrue de ses messages -il apparaîtra en haut des résultats de recherche et recommandations-, une meilleure protection contre les imitateurs et un accès plus facile au service client, détaille la BBC. The Verge ajoute de son coté que cela donnera également droit à des stickers supplémentaires pour les stories and reels.

Pour le moment, il n’est pas question que ce service ait des effets sur les comptes qui ont actuellement le statut « vérifé ». Une différence notable avec Twitter qui a mis en pause son nouveau système de vérification payant après que des utilisateur se sont fait passer pour des entreprises ou des personnalités politiques.

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Pas le même suivant Apple ou Android

Le slogan de Facebook lancé en 2004 a longtemps été « C’est gratuit et (ça le restera toujours) ». Le réseau social a ainsi établi le modèle dominant des grandes plateformes en ligne : les utilisateurs profitent de services gratuits qui récoltent des informations personnelles sur eux pour les cibler avec de la publicité personnalisée.

Plébiscités par les annonceurs, des grandes marques aux petits commerces, Google et Meta sont ainsi rapidement devenus les acteurs dominants du secteur, gagnant des dizaines de milliards de dollars chaque année. Mais en 2022, Meta a vu ses recettes publicitaires décliner pour la première fois depuis que le groupe californien est entré en Bourse en 2012.

L’entreprise souffre notamment des changements réglementaires instaurés par son voisin Apple, qui brident les capacités des réseaux sociaux à récolter les données des utilisateurs pour vendre des espaces publicitaires ultra ciblés.

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Ces facteurs ont déjà poussé d’autres réseaux, de Reddit à Snapchat, à lancer des formules payantes.

Racheté par Elon Musk à l’automne, Twitter a mis en place « Blue », un abonnement pour authentifier son compte, faire apparaître ses tweets en priorité et voir moins de publicité, entre autres avantages.

Blue et Meta Verified ne coûtent pas le même prix selon que l’abonnement est souscrit sur le web ou sur l’application mobile, à cause des commissions prélevées par iOS (Apple) sur les iPhone et Google sur les smartphones opérés par système d’exploitation Android.

Les objectifs et les KPI du marketing d’influence

Nous vous proposons cette excellente contribution de Le Journal du CM

Lorsqu’on a recours au marketing d’influence, il est important de définir ses objectifs et ses KPI tout comme la recherche des influenceurs pour ses campagnes qu’il faut gérer au cas par cas. Les objectifs à atteindre peuvent différer et la personnalité des profils influer sur ces derniers.

N’oubliez pas qu’un influenceur doit incarner la marque pour laquelle il assure la promotion de ses produits et services.

Avant tout il est important de recourir à une plateforme de marketing d’influence performante comme Stellar pour la recherche des influenceurs et ainsi préparer vos cartographies.

Les objectifs en marketing d’influence

Les objectifs à atteindre peuvent être nombreux et spécifiques selon les actions menées, mais ceux qui sont majeurs ne changent pas, tels que le trafic, la visibilité, l’image et la notoriété ainsi que les ventes. Bien que la finalité étant de vendre ses produits / services par le biais des campagnes réalisées, on considèrera les ventes à part au travers des conversions et de la génération de leads.

Reprenons ces objectifs d’influence majeurs :

Les objectifs majeurs de l’influence marketing

Les objectifs des campagnes sont à travailler avec les clients selon leurs attentes et leurs besoins et au cas par cas selon les produits et services à promouvoir. Les canaux empruntés par les influenceurs retenus seront aussi à considérer dans les objectifs à atteindre.

 

Définissons ces objectifs majeurs afin de les aborder plus en détail.

  • La visibilité : Toute marque ou entreprise qui souhaite acquérir de la visibilité pour elle-même ou pour l’un de ses produits ou services, peut faire appel au marketing d’influence. Cet objectif est majeur pour la majorité des structures.
  • L’image : L’image est généralement un objectif que l’on cherche à atteindre pour renforcer son expertise et son positionnement, du fait que l’entité devient très visible et est référente dans son domaine. Elle se travaille après avoir gagné en visibilité et/ou en parallèle, mais également pour l’entretenir en vue d’atteindre ensuite de la notoriété.
  • Le trafic : La recherche de trafic est particulièrement intéressante en amont d’une campagne promotionnelle ou en vue de l’associer à la visibilité, c’est-à-dire se faire connaitre. Le trafic peut être rediriger vers une page spécifique qui présente un produit ou un service, ou directement sur le site de l’entreprise ou la marque. Si on considère que le site Internet héberge son offre produits/services, il est important que les consommateurs en prennent connaissance.
  • Les conversions : Générer des leads ou directement des ventes dans le cadre d’une campagne de marketing d’influence est un objectif majeur et courant. C’est à ce titre que de nombreuses marques font appel à des influenceurs de type macro-influenceurs ou des stars selon les budgets alloués aux actions.

1. La visibilité, un objectif clé du marketing d’influence

Les réseaux sociaux gagnent chaque année de plus en plus de place. La généralisation de l’accès à internet et l’avènement des NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication) boostent l’intérêt de la population pour les plateformes sociales. Si celles-ci permettent de communiquer avec un large public et de divertir, leur fonction a évolué dans le temps.

La visibilité en marketing d'influence

Les réseaux permettent aujourd’hui ide gagner en visibilité plus rapidement, contrairement au contenu diffusé pour les moteurs de recherche, qui vise davantage le trafic organique.

Les réseaux sociaux : canaux majeurs pour gagner en visibilité

En plus de servir de plateformes d’échanges et de distraction, les réseaux sociaux comme Instagram, TikTok ou YouTube sont des sources d’informations pour les acheteurs. Ces canaux sont devenus incontournables dans la stratégie de marketing de toutes les entreprises, grâce au nombre élevé de personnes qui les utilisent. Dans cet univers, les influenceurs sont de puissants leviers que les entreprises exploitent au travers de partenariats.

Il a été largement démontré que les abonnés sont plus enclins à tester un produit ou un service si celui-ci a été recommandé ou prescrit par une personnalité qu’ils suivent. Travailler avec les influenceurs est devenu un levier clé pour se faire connaitre rapidement auprès d’une large audience. Les entreprises définissent en collaboration avec des influenceurs, des campagnes à déployer sur les réseaux sociaux.

Le choix du collaborateur doit être basé sur l’étude de ses KPI (indicateurs de performances) de ses canaux de prédilection. Vous pouvez ainsi évaluer la pertinence de l’influenceur que vous choisirez, pour garantir une plus grande portée (reach) de vos publications ou campagnes.

Les impressions sont par exemple des statistiques rattachées aux KPI qui vous permettent d’analyser la qualité et la pertinence de vos campagnes. Tout ces points contribueront ainsi à vous garantir de la visibilité.

2. Améliorez l’image de marque grâce au marketing d’influence

Le marketing d’influence vise aussi à développer l’image de marque d’une structure. Les entreprises ont ainsi la possibilité d’organiser des campagnes pour se positionner sur les réseaux sociaux et offrir une meilleure portée à leurs actions. L’image contribue à assoir votre expertise et à devenir un acteur référent à terme.

Quelles actions déployer pour votre image ?

En publiant du contenu viral qui met en avant vos valeurs, vous générerez de l’engagement autour de vos posts sur les plateformes comme Instagram, TikTok ou YouTube. Les internautes régiront par le biais des interactions (commentaires, like, partage, etc.) pour créer de l’engagement.

Pour améliorer son image, il sera intéressant de miser sur l’influenceur qui portera parfaitement votre marque et de travailler sur le conversationnel pour créer du lien avec votre communauté.

Organiser des jeux-concours sur des thématiques qui sont d’actualités permet d’asseoir l’image de votre marque. Proposez des récompenses pertinentes pour séduire votre communauté et vous positionner comme une marque généreuse. Les followers auront une meilleure image de votre marque et n’hésiteront pas à faire affaire avec vous et à vous recommander à d’autres utilisateurs.

Objectif : l'image en marketing d'influence

La collaboration avec des influenceurs, experts dans leur domaine, et des personnalités, donnera plus de visibilité à vos actions. Ceci vous aidera à booster votre e-réputation plus rapidement.

Vous pouvez aussi vous allier à vos clients les plus influents pour créer des campagnes avec un reach plus large. Il s’agit de travailler avec les consommateurs qui ont déjà utilisé vos produits ou services et qui ont une certaine influence sur les réseaux sociaux. Ils peuvent vous aider à créer du contenu qui sera ensuite divulgué auprès de leur communauté. L’engagement généré vous permettra d’accroitre votre popularité.

Chaque action doit être bien pensée pour vous aider à atteindre votre objectif, celui de développer votre image de marque. Votre stratégie de marketing d’influence doit mettre en avant vos valeurs, votre philosophie et votre engagement sur les thématiques qui touchent à l’environnement, à la société, au bien-être, etc. En montrant que vous défendez des causes nobles, vous pourrez réussir à vous imposer comme une marque responsable.

3. Le marketing d’influence pour générer du trafic

Le marketing d’influence aide à générer du trafic vers le site internet de votre entreprise. Il permet d’amener les utilisateurs des réseaux sociaux à visiter votre page web. Le trafic social augmente le nombre de visites sur votre plateforme et contribuent à donner des signaux positifs pour votre référencement.

Pour créer du trafic grâce au marketing d’influence, il est nécessaire de mettre en place une stratégie solide en collaboration avec des influenceurs qui savent rediriger vers un site ou une landing page. C’est pourquoi il y a un intérêt de capitaliser aussi sur des blogueurs influenceurs. Instagram ou TikTok ne sont pas les meilleurs canaux lorsqu’il est question de travailler le trafic, qui plus est pérenne et organique.

Exemple de lien cliquable avec Instagram

Sur un réseau social comme Instagram, vous avez la possibilité de partager le lien de votre site web en le mettant dans la partie « bio » de votre profil. Sollicitez ainsi les influenceurs avec qui vous collaborez, pour mettre votre lien en bio afin qu’il soit cliquable ou l’insérer dans la description du contenu sponsorisé.

Lien cliquable dans la bio Instagram

Ils doivent se montrer inventifs pour convaincre leurs abonnés à cliquer sur votre lien pour être redirigé vers votre site internet. Vous pouvez évaluer la pertinence de vos campagnes en analysant le nombre de personnes qui visitent votre site grâce au lien que vous avez mis dans vos contenus.

Les blogueurs influenceurs

Les blogueurs influenceurs sont généralement des profils qui ont des compétences avérées en référencement naturel. Ils ont gagné leur influence grâce à une importante visibilité découlant du trafic organique qu’ils génèrent, ou encore par le bais de multiples publications quotidiennes relayées massivement sur les réseaux sociaux.

L’avantage du blogueur influenceur est de pouvoir travailler sur des actions pushs en diffusant ses publications sur ses réseaux sociaux. Il travaillera sur un pic de visibilité ponctuelle, vu que ses publications sont récurrentes comme les profils influents usent des réseaux sociaux. La visibilité monte rapidement lors du partage, mais elle redescend aussi rapidement car la durée de vie du contenu sur ces plateformes est assez courte.

Le blogueur qui travaille sur le référencement et l’optimisation des contenus, peut potentiellement atteindre une bonne position sur Google. De ce fait le contenu offre une durée de vie bien plus longue pour une marque ou une entreprise qui collaborera avec lui. En terme de trafic et de génération de leads et/ou conversions, c’est un profil à intégrer à sa stratégie d’influence.

4. Convertissez vos prospects grâce au marketing d’influence

La finalité d’une stratégie de marketing est de permettre à une entreprise de vendre ses produits ou services. Grâce aux publications, vous boostez vos ventes. Les influenceurs avec qui vous travaillez vous recommandent à leur communauté et offrent une meilleure visibilité à votre activité.

Leurs abonnés vous connaissent mieux et peuvent décider de visiter votre site ou de vous contacter pour prendre des renseignements sur votre offre. En mettant en place une stratégie efficace, vous pourrez réussir à convertir vos prospects en clients. Ceci vous offre la possibilité d’élargir votre portefeuille client et de booster vos ventes.

Générer des ventes et des leads en marketing d'influence

Sur les réseaux sociaux, on trouve de nombreuses personnes qui sont à la recherche de produits spécifiques, de tests et parfois de fournisseurs pour les professionnels. Le marketing d’influence vous aidera alors à être visible auprès d’entreprises ou de particuliers si vous exploitez les bons types de contenu. On a souvent recours à la vidéo dans ce cas, et c’est à à ce titre qu’il faudra se tourner vers des plateformes comme YouTube ou TikTok selon votre cible.

Le marketing d’influence permet aux entreprises d’atteindre différents objectifs pour développer leur activité et ainsi générer des ventes. Grâce à la publication de contenus de qualité, vous boosterez la visibilité de votre société. Vous améliorez l’image de marque et générerez du trafic vers votre site. La conversion de vos prospects en clients vous offre la possibilité d’augmenter vos ventes et d’accroitre ainsi votre chiffre d’affaires.

Il est envisageable de coupler vos actions en marketing d’influence avec des scénarios à déployer sur votre site, en usant d’inbound marketing et de marketing automation. Les profils influents auxquels faire appel pourront être des influenceurs en B2B notamment, car ils sont experts des solutions permettant de générer des leads.

Les KPI en marketing d’influence

On découvrira également une série de KPI qui seront là pour vous indiquer si vous êtes en voie d’atteindre vos objectifs, et le cas échéant pouvoir les réajuster. Les indicateurs de performance sont également très nombreux et spécifiques, soit aux réseaux sociaux, soit à des résultats attendus pour renforcer l’expertise, l’image, la notoriété etc.

Les KPI du marketing d'influence

Parmi eux on peut soulever le taux d’engagement, qui est l’un des plus important pour démontrer la réussite de ses actions. Là encore les KPI en marketing d’influence seront parfois très différents d’une campagne à une autre, mais les différentes interactions liées aux réseaux sociaux sont très souvent les KPI qui sont mis en avant :

  • Les likes,
  • Les partages,
  • Les commentaires,
  • Les clics,
  • Les vues ou les impressions,
  • La portée,
  • L’engagement etc.

Si une entreprise souhaite améliorer sa relation client par exemple, elle pourra prôner sa capacité à intervenir rapidement, à privilégier l’humain au dépend des solutions basées sur l’IA etc. Un influenceur aura donc pour but de valoriser l’entreprise sur ce levier. C’est ici très spécifique mais c’est un exemple qui montre que les KPI sont à définir eux-aussi au cas par cas et au-delà des réseaux sociaux selon les objectifs.

Considérez bien les KPI comme des étapes ou objectifs intermédiaires, qui vous indiquent si vous êtes sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs principaux. Dans de nombreux cas, ils sont aussi des objectifs majeurs quand les marques ou entreprises ont une forte notoriété. Elles feront alors focus sur les chiffres comme les taux d’engagement, la rétention et les interactions générées au travers des actions.

Les objectifs secondaires en marketing d’influence ?

Le marketing d’influence tout comme de nombreux leviers tels que le community management et le marketing digital, repose majoritairement sur des objectifs communs à ces univers. On part ainsi de ces objectifs principaux, ceux que l’on a évoqué précédemment, pour ensuite définir des objectifs secondaires qui permettront de les atteindre.

Les objectifs secondaires du marketing d'influence

Les objectifs secondaires pourront être bien plus spécifiques pour le marketing d’influence notamment. De même que les KPI ou indicateurs de performance, vu qu’ils seront des points intermédiaires permettant de conduire à la réussite et la performance globale des campagnes.

Ils peuvent dépendre directement des influenceurs retenus comme des contenus à produire. Vous pourriez par exemple chercher de la viralité autour d’un contenu en vue de gagner de la visibilité. Il s’agira donc de viser un type de contenu viral permettant de développer la visibilité, qui elle sera portée par un influenceur en vue de l’amplifier.

La viralité devient alors un objectif secondaire, auquel on peut rattacher des indicateurs pour le vérifier. L’objectif majeur demeurant la visibilité à acquérir ou le trafic à générer. La réflexion portera alors sur le type de contenu à produire et les influenceurs aptes à amplifier sa viralité.

On peut noter les visuels tels que les infographies qui sont très virales, et qui au passage elles peuvent améliorer le référencement lorsque la source est partagée par certains sites ou médias en ligne. A vous de bien définir les objectifs secondaires car ils peuvent être nombreux en fonction de ce que vous recherchez.

Le taux d’engagement en marketing d’influence

Le taux d’engagement est l’un des objectifs les plus avancés en marketing d’influence. Il repose principalement sur les interactions des utilisateurs envers les contenus partagés jusqu’aux échanges avec les influenceurs dans des cas de recherche de feedback.

On parle ainsi de conversationnel, au delà des simples commentaires. La recherche de feedback produit, étant plutôt réservée à des communautés de micro-influenceurs voir nano-influenceurs. Cependant ce taux bien trop souvent survendu, est dans de nombreux cas mal interprété. Il devient malheureusement un objectif majeur mais il ne devrait pas, car il faut être capable de bien interpréter les interactions.

Un taux d’engagement peut être trompeur !

2 taux d’engagement identiques peuvent remplir dans un cas un objectif majeur, mais pas dans l’autre. Derrière l’un de ces taux peut se placer de nombreux clics qui répondront à un objectif de trafic, comparé au second où un plus important nombre de likes n’y répondra pas. Si le taux d’engagement est souvent soulevé comme valeur déterminante, il est indispensable de savoir l’interpréter correctement !

Canal+ renforce sa présence en Afrique

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Nous vous proposons cette excellente contribution de Afrique IT News

Canal+ étend son rayonnement en Afrique avec le lancement du centre de création numérique, Digital Factory, basé au Sénégal. La Digital Factory a été construite pour identifier ou produire des contenus numériques destinés à faire de l’application Canal+ la première application de contenus africains.

Elle propose un service de replay pour les chaînes locales africaines afin de les aider à numériser leurs programmes et les rendre accessibles à tous les abonnés via l’application Canal+. Après son lancement, Canal+ a pour objectif d’enrichir les contenus numériques proposés au sein du nouveau Décodeur Connecté Canal+ disponible en Côte d’Ivoire ainsi qu’au Gabon, et qui sera déployé sur les autres territoires africains fin 2023.

Snapchat a atteint les 750 millions d’utilisateurs actifs mensuels

Nous vous proposons cette excellente contribution de Siècle Digital

Lors de l’Investor Day de Snapchat ce 16 février, durant lequel le réseau social s’est adressé à ses investisseurs, il a révélé avoir atteint les 750 millions d’utilisateurs actifs mensuels. Si la plateforme se rapproche du milliard emblématique, elle reste loin derrière ses principales concurrentes.

Changement de stratégie

2022 a été difficile pour tout le secteur de la tech, et particulièrement pour Snapchat. L’entreprise a enregistré une perte significative d’1,4 milliard de dollars au cours de l’année. Peinant à devenir rentable, elle a donc modifié sa stratégie avec trois priorités en tête : augmenter son nombre d’utilisateurs et les inciter à passer plus de temps sur Snapchat, relancer la croissance des revenus et investir dans la technologie de réalité augmentée, rapporte Bloomberg.

Ces efforts semblent payants. En atteignant les 750 millions d’utilisateurs, Snapchat signe une augmentation de 25 % en dix mois. « Tout cela a été réalisé grâce aux changements que nous avons apportés à notre activité et malgré la décélération de la croissance de notre chiffre d’affaires », assure Evan Spiegel, le PDG de l’entreprise. À noter que la hausse d’utilisateurs est surtout notable dans les marchés émergeants comme l’Inde ; Snapchat compte désormais sur ces territoires pour atteindre le milliard d’utilisateurs dans les prochaines années.

Si Snapchat fait mieux que Pinterest, elle est largement surpassée par Facebook et Instagram qui comptent respectivement 3 et 2 milliards d’utilisateurs mensuels. TikTok, avec qui elle est en compétition auprès des jeunes utilisateurs, en possède plus d’1 milliard.

Snapchat est plus confiante pour 2023

Malgré tout, Evan Spiegel s’est montré enthousiaste quant à la grande popularité du système d’abonnement Snapchat+, qui compte 2,5 millions de souscriptions et est en passe de réaliser un chiffre d’affaires annuel de 100 millions de dollars seulement six mois après son lancement. De même, les investissements de la plateforme dans la réalité augmentée commencent à porter leurs fruits : en 2022, plus de 250 millions d’utilisateurs ont utilisé les objectifs de shopping en réalité augmentée de Snapchat.

Spotlight, lancé pour concurrencer directement TikTok, n’attire que 300 millions des 750 millions d’utilisateurs mensuels de Snapchat, mais la plateforme affirme que ce chiffre est en constante progression. Au quatrième trimestre 2022, le temps total passé sur Spotlight a plus que doublé par rapport à la même période de l’année précédente.

Le réseau social a également indiqué que la baisse des dépenses dans le marketing digital qui a frappé le secteur l’année dernière se stabilise. Snapchat va proposer de nouvelles offres publicitaires cette année, notamment basées sur la réalité augmentée. Elle espère donc voir ses revenus repartir à la hausse après avoir été fortement affectée par l’App Tracking Transparency d’Apple.

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