Nous vous proposons cette excellente contribution de Tech&Co
En réponse à un rapport de son comité de surveillance, Facebook indique revoir son système de contrôle spécial pour les gros comptes, mais reste timide sur les autres recommandations.
Pas sûr que cette annonce signe la fin des privilèges pour les comptes VIP de Facebook. Le 3 mars, Meta (maison-mère de Facebook) a répondu aux recommandations faites par son conseil de surveillance. Le réseau social a timidement indiqué revoir sa politique de modération pour les comptes VIP, mais a rejeté les mesures les plus significatives, rapporte le Wall Street Journal.
En décembre dernier, le conseil de surveillance de Meta a établi 32 recommandations en ce qui concerne « le contrôle croisé ». Ce contrôle, très obscur, s’adresse aux comptes très suivis sur Facebook. Il ne sont pas soumis aux contrôles automatiques de leurs publications comme c’est le cas pour tous les autres comptes. Si une publication de l’un de ces comptes est jugée problématique par le vérification automatique, ces utilisateurs vont bénéficier d’un traitement spécial car ils présentent un intérêt public plus élevé.
En effet, en temps normal la publication est immédiatement retirée. Là, le contenu reste en ligne le temps de bénéficier d’une deuxième vérification, un processus qui prend en général plusieurs jours, et parfois plusieurs mois.
Parmi ses recommandations, le conseil de surveillance incite notamment Meta à prendre des dispositions pour améliorer la transparence de ce système et pour prévenir le favoritisme de certains comptes notamment politiques.
Meta prend note
Meta promet de prendre en compte 26 des 32 recommandations du rapport. Mais ses engagements restent timides. L’entreprise de Menlo Park a déclaré être d’accord pour fournir des rapports réguliers sur la transparence du programme de « vérification croisée » et de limiter les publications de contenus provenant de personnalités ayant enfreint les règles de modération.
Mais Meta a refusé des dispositions importantes dont l’une incitant à rendre public les comptes VIP qui bénéficient de ce contrôle spécial, qui ne sont autres que des dirigeants, des acteurs, des chanteurs, des politiques… La société refuse également de donner les critères qui permettent à un utilisateur de bénéficier de ce programme.
Une enquête du Wall Street Journal publiée en septembre 2021, indiquait que le programme de « contrôle croisé », était mal supervisé et à l’origine de nombreux cas de favoritisme. Par exemple, les hauts dirigeants de Facebook étaient intervenus pour protéger une star du football de renommée internationale et publier des images de nudité.
A la suite de cette enquête, Meta avait donc demandé à son conseil de surveillance d’établir des recommandations, qui se sont apparement révélées plus symboliques qu’utiles.
Nous vous proposons cette excellente contribution de Journal du geek
Le lancement de la vérification payante de compte Meta Verified pour Facebook et pour Instagram a provoqué un mouvement de rejet très fort de la part des utilisateurs de ces réseaux sociaux. Les requêtes sur Google pour désactiver son compte ont littéralement explosé !
Meta est dans une passe difficile. Le géant des réseaux sociaux, qui possède entre autres Facebook, Instagram et WhatsApp, doit composer avec des revenus publicitaires moins importants que prévu à cause notamment de la politique d’Apple sur la gestion des données privées. Et les utilisateurs eux-mêmes sont beaucoup plus au fait des questions de confidentialité. Mais l’annonce par Mark Zuckerberg du lancement d’un compte Meta Verified a eu un impact très négatif chez de nombreux utilisateurs des services en ligne du groupe.
Un abonnement uniquement pour une poignée d’utilisateurs
Contre 11,99 $ par mois (ou 14,99 $ depuis une app iOS ou Android), l’utilisateur de Facebook et d’Instagram bénéficiera d’une vérification de son compte ainsi qu’à quelques fonctions de sécurité supplémentaires, en particulier contre l’usurpation d’identité. L’initiative dévoilée par Mark Zuckerberg ne concerne à l’heure actuelle que l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Elle devrait logiquement être lancée dans d’autres pays.
L’abonnement n’est pas du tout obligatoire, et en fait il ne servira réellement qu’à très peu d’utilisateurs qui ont besoin de faire certifier leur compte Meta. Malgré tout, pour beaucoup d’entre eux c’est le signal que l’accès à Facebook et à Meta va devenir payant, ce qui a motivé une explosion des requêtes sur Google pour « désactiver Facebook » (+ 1.566 %) et « désactiver Instagram » (+ 2.400 %) dans les jours qui ont suivi l’annonce !
Ça ne veut pas dire pour autant que tous les internautes ayant recherché sur le web le mode d’emploi pour désactiver leur compte Meta vont réellement le faire. Et malgré les polémiques autour de Facebook, le réseau social continue d’engranger les utilisateurs : au dernier trimestre 2022, ils étaient 2,963 milliards à utiliser Facebook au moins une fois par mois…
Nous vous proposons cette excellente contribution de Afrimag
Orange inaugure en République Démocratique du Congo, le 15ème Orange Digital Center en Afrique et au Moyen-Orient, pour former les jeunes au numérique, renforcer leur employabilité et encourager l’entrepreneuriat innovant. D’une superficie de 590 m2, il réunit les 4 programmes stratégiques du Groupe Orange
Orange ouvre officiellement ce 4 mars à Kinshasa, le 15ème Orange Digital Center, un écosystème entièrement dédié au développement des compétences numériques et à l’innovation, en présence de hautes autorités politiques et académiques congolaises, des membres de la Direction d’Orange RDC, des membres du Comité de Direction d’Orange Afrique et Moyen Orient et du Comité Exécutif du Groupe Orange.
Après la Tunisie, le Sénégal, l’Ethiopie, le Mali, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, l’Egypte, la Jordanie, Madagascar, le Maroc, le Libéria, le Botswana, la Guinée et la Sierra Leone, c’est en République Démocratique du Congo, que le 15ème Orange Digital Center d’Afrique et du Moyen-Orient est inauguré.
D’une superficie de 590 m2, il réunit les 4 programmes stratégiques du Groupe Orange, à savoir : une Ecole du Code (académie digitale), un atelier de fabrication numérique FabLab Solidaire, un accélérateur de start-up Orange Fab, ainsi qu’Orange Ventures Middle East and Africa, le fonds d’investissement du Groupe Orange qui investit dans les startups les plus prometteuses.
L’ensemble de ces programmes sont gratuits et ouverts à tous. Ils vont de la formation pratique des jeunes au numérique, à l’accompagnement des porteurs de projets en passant par l’accélération de start-ups et l’investissement dans ces dernières.
Fonctionnant en réseau, les Orange Digital Centers permettent un échange d’expériences et d’expertises d’un pays à l’autre tout en offrant une approche simple et inclusive pour renforcer l’employabilité des jeunes, encourager l’entrepreneuriat innovant et promouvoir le tissu numérique local.
Lancé officiellement ce jour, l’Orange Digital Center en République Démocratique du Congo est déjà opérationnel, accueille plusieurs formations et événements numériques ; à ce jour plus 1 700 apprenants ont été formés. De plus, Orange RDC, en partenariat avec les universités, va former gratuitement les étudiants et déployer dans certaines universités dans les régions des Orange Digital Center Clubs, extensions de l’Orange Digital Center dans les régions. Ceci vise ainsi à compléter le dispositif pour offrir au plus grand nombre l’accès aux nouvelles technologies et les aider à les utiliser pleinement. Les villes retenues pour ces déploiements sont Kananga, Lubumbashi, et Matadi courant deuxième semestre 2023.
Orange s’engage à concrétiser sa vision, qui consiste à favoriser l’employabilité des jeunes tout en soutenant la croissance durable et l’agenda de transformation numérique du pays. Le programme est également conçu pour faire progresser l’égalité des sexes et l’inclusion en favorisant l’accès des femmes et des filles aux emplois dans le domaine des TIC.
Parce que le numérique doit être une chance pour tous, cette initiative s’inscrit pleinement au cœur de la vision du Chef de l’Etat, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, traduite dans le Plan National du Numérique en son projet 22 « création des parcs technologiques, des cyberlabs, des télé-centres, et autres médiathèques… pour l’économie numérique » et répond, conformément au Programme de Développement Durable à l’horizon 2030 des Nations Unies, à 6 objectifs de développement durable : (ODD 4) une éducation de qualité, (ODD 5) l’égalité entre les sexes, (ODD 8) un travail décent et une croissance économique, (ODD 9) industrie, innovation et infrastructures, (ODD 10) inégalités réduites et (ODD 17) partenariat pour la réalisation des objectifs.
Jérôme Hénique, Directeur Général d’Orange Afrique et Moyen-Orient, indique : « Je suis très heureux d’être présent à Kinshasa pour le lancement de notre 15ème Orange Digital Center qui fait partie d’un réseau de 25 Orange Digital Centers qui seront déployés non seulement en Afrique et au Moyen-Orient, mais aussi en Europe d’ici fin 2023. L’objectif est de démocratiser l’accès au numérique pour les jeunes avec ou sans qualification. Nous voulons qu’ils participent à la transformation numérique de leur pays en les encourageant à devenir des entrepreneurs, à créer des contenus et des services digitaux locaux et à développer ainsi l’économie numérique de la République Démocratique du Congo ».
Elizabeth Tchoungui, Directrice Exécutive en charge de la responsabilité sociétale d’entreprise du Groupe Orange déclare : « Ce beau projet s’inscrit comme une étape clé de notre responsabilité sociétale en faveur de l’inclusion numérique, et tout particulièrement pour les jeunes et les femmes. Le FabLab Solidaire, programme structurant de la Fondation Orange, en constitue une brique essentielle et permet aux bénéficiaires éloignés du numérique de renouer avec le monde professionnel : le début d’un beau parcours qui passe par le développement de compétences techniques et peut aller, grâce à la complémentarité des dispositifs déployés, jusqu’à la création d’entreprises. »
Ben Cheick Haidara, Directeur Général d’Orange RDC cite : « L’engagement d’Orange RDC en faveur de l’inclusion numérique est une réalité. En tant que partenaire de la transformation numérique, nous nous positionnons comme un acteur majeur du développement socio-économique du pays à travers la mise en place d’écosystèmes innovants et des dispositifs spécifiques pour développer l’entrepreneuriat dont l’Orange Digital Center et le Prix Orange de l’Entrepreneur Social (POESAM) font partie. Avec les Orange Digital Centers Club bientôt installés dans les universités des régions à Kananga, Lubumbashi, et Matadi, nous apporterons toutes les compétences nécessaires pour donner au plus grand nombre l’accès aux nouvelles technologies et les aider à les utiliser pleinement. »
Nous vous proposons cette excellente contribution de Le Monde
A compter de la mi-mars, le personnel et les élus du Parlement européen et de la Commission européenne n’auront plus le droit d’utiliser TikTok sur leurs appareils professionnels. Au Canada, le gouvernement a déjà banni la très populaire application des appareils mobiles qu’il fournit à son personnel. Quant aux Etats-Unis, une loi ratifiée au début de janvier prohibe le téléchargement et l’utilisation de cette plate-forme de microvidéos sur les appareils des fonctionnaires de l’Etat fédéral, tandis qu’un projet de loi porté au Congrès pourrait aboutir à son interdiction totale. La plate-forme vidéo inquiète également la France, où les sénateurs ont mis en place, mercredi 1er mars, une commission d’enquête sur l’application détenue par l’entreprise chinoise ByteDance.
Au cœur des préoccupations des Etats, l’éventualité que le gouvernement chinois puisse accéder aux données de leurs nationaux et les espionner. TikTok est en effet l’un des rares mastodontes des plates-formes sociales à ne pas être né dans une entreprise de la Silicon Valley. Le service en ligne, qui a vu le jour en Chine en 2016, a des bureaux dans plusieurs villes du monde, dont Paris, mais le siège social de ByteDance, sa maison mère, reste à Pékin. Plusieurs motifs d’inquiétude viennent aussi étoffer ces accusations, qui concernent entre autres certaines pratiques qui ne sont pas l’apanage de ce réseau social.
Un outil de soft power chinois jugé dangereux pour la jeunesse
Selon une récente étude mondiale de Qustodio, société spécialisée dans le contrôle parental, les mineurs ont passé en moyenne une heure quarante-sept minutes par jour sur TikTok, à zapper de vidéos suggérées en vidéos suggérées. Si TikTok (comme tous les géants du Net) garde le secret de son très efficace algorithme de recommandation, le réseau social expliquait, dans une communication en 2020, qu’il se basait classiquement sur les interactions des utilisateurs (les likes, les partages, les messages, etc.) et les métadonnées de la vidéo comme les légendes, les hashtags et les chansons utilisées ; l’appli tient aussi compte des paramètres enregistrés par l’internaute, comme la langue d’utilisation ou le pays où il se trouve. Récemment, le réseau social a annoncé le déploiement pour les mineurs d’un avertissement au bout d’une heure d’utilisation et la limitation des consultations abusives.
Non seulement des soupçons concernent le caractère addictif de la plate-forme, mais des critiques portent sur la modération de TikTok ces derniers mois. Plusieurs rapports de centres de recherches ou d’entreprises spécialisées dans la désinformation pointent la facilité avec laquelle les utilisateurs peuvent se retrouver confrontés à des informations fausses ou trompeuses au sujet d’élections ou de la pandémie. En décembre 2022, aux Etats-Unis, un rapport du Centre de lutte contre la haine en ligne a démontré comment des contenus préjudiciables, par exemple des vidéos relatives à l’automutilation et aux troubles alimentaires, étaient recommandés par l’algorithme du réseau social à ses jeunes utilisateurs.
Des griefs similaires ont déjà été adressés à d’autres plates-formes, dont Facebook, YouTube et Instagram. Le fait que ByteDance ait déployé deux versions distinctes de son application – Douyin, exclusive au marché chinois, TikTok pour le reste du monde – renforce cependant soupçons et fantasmes autour de cette dernière.
La collecte massive de données des utilisateurs
Pour fonctionner, afficher des publicités ciblées ou des vidéos pertinentes, TikTok demande au préalable un accès étendu aux appareils de ses utilisateurs. Sur le site de l’association ToSDR, qui simplifie et analyse les conditions générales d’utilisation de différentes applications et services, TikTok réalise un score E, la pire note du classement. Ses conditions générales d’utilisation sont cependant assez similaires à celles d’autres réseaux sociaux : toujours sur ToSDR, ni Facebook, Twitter, Instagram ou Snapchat ne font mieux.
En matière d’outils de pistage embarqué par TikTok, l’application est là aussi proche de ses concurrents. L’association Exodus Privacy, qui analyse les applications Android, note que TikTok demande un grand nombre de permissions à l’utilisateur : l’application a ainsi accès au micro de l’appareil, aux contacts, à la caméra, au stockage ou encore aux données de géolocalisation.
L’application chinoise demande plus de soixante-seize permissions à ses utilisateurs pour fonctionner sur un appareil Android, dont certaines permettent, en théorie, à TikTok d’espionner l’ensemble des touches tapées par l’utilisateur – une fonctionnalité dont ByteDance a reconnu l’existence, tout en assurant qu’elle n’était pas utilisée. A titre de comparaison, l’application Android d’Instagram demande quarante-six permissions sur le téléphone de l’utilisateur, tout comme Twitter, tandis que Snapchat en demande soixante.
L’étendue exacte des données collectées par TikTok reste difficile à estimer avec certitude : selon des chercheurs en sécurité, l’application emploie de nombreuses techniques qui limitent légitimement les risques d’espionnage industriel, mais qui, de facto, permette également de dissimuler l’étendue exacte de la collecte de données.
Cet appétit de TikTok lui vaut l’attention des autorités de protection des données. En France, la CNIL a déjà sanctionné la société mère de TikTok pour n’avoir pas respecté les règles en matière de dépôt des cookies sur son site Web (et non l’application). En parallèle, l’autorité irlandaise de protection des données a ouvert, en 2021, une enquête visant à déterminer si TikTok transférait les données personnelles des utilisateurs vers la Chine – ce que TikTok a fini par reconnaître en novembre 2022, pressé par plusieurs enquêtes de la presse américaine. La société assure cependant que les données sont sécurisées et que seuls quelques employés triés sur le volet peuvent y accéder.
Risque d’espionnage de Pékin
En décembre 2022, TikTok a reconnu que, comme l’avait révélé Forbes, plusieurs de ses employés avaient espionné des journalistes grâce à la géolocalisation permise par l’application. TikTok a admis son erreur, et les employés responsables de cet espionnage ont été renvoyés. L’épisode a renforcé la méfiance à son encontre. En 2020, Donald Trump souhaitait déjà interdire l’application aux Etats-Unis, l’accusant d’espionnage pour le compte de Pékin – sans cependant fournir d’éléments de preuve.
Si le sujet est si sensible, c’est parce que la société ByteDance, propriétaire de TikTok, est soumise à la loi chinoise de 2017 sur le renseignement. Cette loi, dont Huawei a, par exemple, déjà fait les frais, précise que les sociétés et entreprises chinoises sont tenues de collaborer avec les services de renseignement du pays lorsque ceux-ci les sollicitent. Cette mesure s’étend également aux entreprises chinoises opérant hors du territoire national et pourrait donc en théorie s’appliquer aux données collectées par TikTok.
Dans un contexte de relations internationales tendues avec Pékin, on peut comprendre que la prudence vienne dicter la position des institutions européennes. Il faut néanmoins rappeler que les Etats-Unis disposent depuis 2018 d’un arsenal législatif assez similaire, le Cloud Act, qui permet au renseignement américain d’accéder aux données hébergées ou stockées par un acteur national, tel que Microsoft ou Amazon.
Nous vous proposons cette excellente contribution de Leptidigital
Vous cherchez un moyen efficace de booster votre présence sur Instagram ? Le carrousel Instagram est la réponse à vos besoins ! Découvrez pourquoi et comment cette fonctionnalité a le pouvoir de transformer votre compte Instagram en une véritable machine à engager vos followers et à promouvoir votre marque ! Dans cet article, nous allons vous présenter cette fonctionnalité, ses avantages et ses inconvénients, puis vous montrer comment en créer un, avant de terminer par des réponses à quelques questions sur le sujet.
Le carrousel Instagram en #Short
Qu’est-ce que c’est ? Fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de publier plusieurs images ou vidéos dans un seul et même post.
Les avantages :
Hausse de l’engagement
Améliore la visibilité
Permet de raconter une histoire
Permet de faire la promotion de plusieurs produits en une seule publication
Laisse la possibilité de créer du contenu diversifié
Les inconvénients :
Offre moins de visibilité à chaque média du carrousel
Peut rendre plus difficile la cohérence de la publication
Complexité de l’optimisation du contenu
Nécessite des médias de haute qualité
Demande plus d’efforts au créateur
Quelques conseils de création :
Réfléchir en amont au contenu à intégrer au carrousel
Choisir des médias de qualité
Utiliser un design cohérent
Détailler les légendes
Intégrer des balises de localisation et de produit
Être créatif
Qu’est-ce que le carrousel Instagram ?
Le carrousel Instagram est une fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de publier plusieurs images ou vidéos dans un seul et même post.
Cette fonctionnalité peut permettre aux marques et aux influenceurs de faire plusieurs choses :
Raconter une histoire
Présenter une gamme de produits ou de services
Mettre en valeur des moments forts
Partager des histoires qui se déroulent sur plusieurs images ou vidéos
Depuis sa création en 2017, la fonctionnalité carrousel est devenu une tendance centrale dans le marketing des réseaux sociaux, notamment en raison de ses avantages pour les marques et les influenceurs. Cette fonctionnalité est d’ailleurs également disponible sur Facebook, Twitter et LinkedIn.
Cette fonctionnalité est très facile à utiliser et peut être créée directement à partir de l’application mobile ou desktop d’Instagram. Les utilisateurs doivent simplement sélectionner plusieurs photos ou vidéos et les organiser dans l’ordre qu’ils souhaitent. Du texte, des émojis et des hashtags peuvent ensuite être ajoutés pour rendre leur publication plus attrayante.
Comment reconnaitre un carrousel Instagram ?
Il n’est pas compliqué d’identifier les carrousels sur Instagram. Vous devez prêter attention à 2 caractéristiques :
Si vous êtes sur votre fil d’actualité : des petits points s’affichent sous la photo, ainsi que des numéros en haut à droite de l’image principale (exemple : 1/5). En faisant défiler les images avec votre doigt (en swipant vers la gauche), le point bleu se déplace et sélectionne l’image suivante, et lui numéro en haut à droite de l’image change en temps réel (exemple : 2/5).
Si vous êtes sur le profil d’un utilisateur Instagram : cherchez les publications de son feed qui incluent un petit symbole avec un carré blanc en haut à droite de l’image.
Identifier un carrousel sur Instagram
Les avantages et les inconvénients du carrousel Instagram
Les avantages
Tout d’abord, le format de carrousel peut contribuer à augmenter l’engagement de votre audience envers votre compte. Pourquoi ? Puisque les publications avec carrousel Instagram ont tendance à recevoir plus d’engagement de la part des utilisateurs, parce qu’elles leur offrent une expérience de navigation plus complète, plus riche, et leur permettent de passer plus de temps sur un même post. Ils ont donc tendance à interagir davantage avec les publications qui utilisent un carrousel Instagram.
Le deuxième avantage va de pair avec le premier : le carrousel Instagram améliore votre visibilité sur la plateforme. Les publications qui incluent plusieurs médias ont tendance à apparaître plus souvent dans le fil d’actualité des utilisateurs, ce qui améliore la visibilité de la personne qui les créent.
Étude Social Insider : L’engagement sur Instagram selon le type de publication
Vous pouvez aussi vous servir de ce format de publication pour raconter une histoire : en utilisant plusieurs images ou vidéos, vous pouvez plus facilement partager des moments forts et des histoires qui nécessitent plusieurs étapes dans un seul et même récit.
En plus de raconter une histoire et ainsi de créer une proximité avec leurs clients, les marques peuvent utiliser le carrousel Instagram pour faire la promotion de plusieurs produits ou services dans un seul post. Cela permet de mettre en avant une gamme de produits ou de services sans avoir besoin de créer un post par produit, et donc de gagner en efficacité.
Et pour finir, voici un dernier avantage du format carrousel : la possibilité de créer un contenu diversifié : le carrousel Instagram permet de varier le contenu publié. Les marques peuvent utiliser différentes images et vidéos pour promouvoir un produit, ou encore proposer un tutoriel ou une immersion dans leurs locaux professionnels.
Les inconvénients
Le principal inconvénient du carrousel, c’est qu’il offre moins de visibilité pour chaque image. Les photos et vidéos du carrousel peuvent être moins visibles que si elles étaient publiées individuellement, puisqu’il est logiquement plus facile pour les utilisateurs de passer rapidement d’une image à l’autre sans s’attarder sur chaque élément. Si vous souhaitez mettre particulièrement en valeur un média, alors il ne faut peut-être pas privilégier ce format de publication.
Dans la même idée, il peut parfois être difficile de créer un contenu cohérent lorsque l’on utilise le carrousel sur Instagram. Ce type de publication nécessite de créer un contenu cohérent pour chaque image ou vidéo (sinon, quel est l’intérêt de tout rassembler dans une seule publication ?). Mais, cette tâche peut être plus difficile pour certains utilisateurs, que ce soient des marques ou des influenceurs. L’objectif à ne pas perdre de vue : les utilisateurs doivent être en mesure de suivre l’histoire racontée en utilisant les différentes images et vidéos du carrousel.
L’optimisation du contenu peut également être plus complexe pour un post carrousel. Les utilisateurs doivent s’assurer que chaque image ou vidéo est bien référencée et optimisée pour les moteurs de recherche, sinon, leur publication risque de tomber dans l’oubli.
Pour qu’il soit bien réalisé, le carrousel Instagram nécessite de créer un contenu de qualité pour chaque image ou vidéo. Cela peut prendre plus de temps pour créer un post efficace, mais cela peut également être un avantage pour les marques qui prennent le temps de créer un contenu de qualité et de proposer une expérience immersive pour leurs utilisateurs.
Globalement, le carrousel Instagram nécessite plus d’efforts pour le créateur de contenu, que ce soit en termes de conception graphique et visuelle, ou en termes de planification de contenu. Cela peut demander plus de temps et d’efforts.
Comment créer un carrousel efficace sur Instagram ?
Conseils
Voici nos conseils principaux quant à la réalisation de votre carrousel Instagram :
Réfléchissez au contenu que vous souhaitez intégrer au carrousel : Réfléchissez à l’histoire que vous souhaitez raconter, aux produits ou services que vous souhaitez promouvoir, ou aux différents moments que vous souhaitez partager. Il faut qu’il y ai un lien logique entre tous les médias.
Choisissez des médias de bonne qualité : Les images ou vidéos que vous utilisez dans votre carrousel doivent être de haute qualité.
Dans le cas d’une publication professionnelle, choisissez des images ou vidéos qui reflètent l’image de marque de votre entreprise et qui attirent l’attention des utilisateurs.
Dans le cas d’une publication personnelle, ne faites pas trop de compromis sur la qualité de vos photos et vidéos, cela pourrait dégrader la qualité de votre feed.
Utilisez un design original et cohérent : Pour créer un carrousel efficace, il est important d’utiliser un design cohérent pour chaque image ou vidéo. Cela peut inclure l’utilisation de la même police, la même couleur de fond, ou encore la même disposition pour chaque élément de votre carrousel. Si chacun des éléments du carrousel a sa propre identité visuelle, vous risquez de rendre les utilisateurs confus et perdre leur attention.
Rédigez une légende détaillée : Les légendes et les descriptions que vous utilisez dans votre carrousel doivent être détaillées et informatives. Utilisez des hashtags pertinents pour aider les utilisateurs à trouver votre contenu, et ajoutez des descriptions détaillées pour chaque image ou vidéo pour aider à raconter l’histoire de manière claire et concise.
Utilisez la localisation et les balises de produit : Ces paramètres peuvent aider les utilisateurs à trouver votre contenu et à en savoir plus sur les produits ou services que vous proposez.
Soyez créatif ! N’ayez pas peur d’être créatif et d’expérimenter : utilisez différentes images et vidéos, essayez différents designs et mises en page, utilisez des légendes et des descriptions originales pour vous démarquer.
Tutoriel en 10 Étapes
Voici un tutoriel très simple pour apprendre à créer un carrousel sur Instagram en quelques minutes :
Ouvrez Instagram
Ouvrez la page de création d’une nouvelle publication, en :
Cliquant sur le symbole + en bas, au centre, de l’écran
Faisant glisser votre écran sur la droite
Sélectionner le format de post « Publication »
Cliquez sur le symbole carré qui vous permet de créer un carrousel (cf. image ci-dessous)
Sélectionnez toutes les photos et vidéos que vous voulez intégrer à votre carrousel (maximum 10)
Cliquez sur « Suivant » – Bouton en haut à droite de l’écran
Ajoutez les filtres qui vous plaisent (vous pouvez choisir un filtre par média)
Sliquez sur « Suivant »
Complétez les informations comme pour n’importe quel post Instagram : légende, localisation, hashtags, identifications…
Cliquez sur « Partagez »
Et voilà, vous n’avez plus qu’à attendre que votre publication charge et soit publiée, et votre carrousel est en ligne !
Bouton carrousel Instagram
FAQ sur les carrousels Instagram
Comment rendre mon carrousel Instagram plus attractif et intéressant pour les utilisateurs ?
Il existe plusieurs stratégies pour rendre votre carrousel Instagram plus attractif. Voici quelques idées :
Racontez une histoire : utilisez les différentes images de votre carrousel pour raconter une histoire cohérente. Cela peut aider à capter l’attention des utilisateurs et à les encourager à faire défiler toutes les images.
Utilisez des transitions créatives : plutôt que de simplement utiliser des images statiques, essayez d’ajouter des transitions créatives entre chaque image.
Variez les formats d’image : n’utilisez pas que des images carrées ou rectangulaires. Essayez d’ajouter des images en portrait ou en paysage pour ajouter de la variété à votre carrousel.
Utilisez des couleurs vives : les couleurs vives et accrocheuses peuvent aider à attirer l’attention des utilisateurs.
Créez des légendes captivantes : les légendes de vos images peuvent également aider à rendre votre carrousel plus captivant. Essayez d’utiliser des légendes qui racontent une histoire ou qui ajoutent des informations supplémentaires aux images.
Y a-t-il une taille ou un format d’image recommandé pour les images dans un carrousel Instagram ?
Oui, Instagram recommande un format d’image de 1080 pixels de largeur par 1350 pixels de hauteur pour les images dans un carrousel Instagram.
Vous pouvez utiliser des images de tailles différentes, mais elles seront recadrées automatiquement pour s’adapter au format Instagram.
Il est également important de noter que les images doivent respecter les règles de taille de fichier d’Instagram. Les images doivent être inférieures à 20 Mo et doivent être au format JPG ou PNG.
Comment planifier un calendrier éditorial pour mes publications avec carrousel Instagram ?
La planification d’un calendrier éditorial pour vos publications avec carrousel Instagram peut vous aider à rester organisé et à maintenir une présence régulière sur la plateforme. Voici quelques étapes pour planifier votre calendrier éditorial :
Déterminez votre objectif : avant de commencer à planifier vos publications, déterminez l’objectif de votre présence sur Instagram.
Identifiez votre public cible : déterminez qui est votre public cible et quel type de contenu les intéresse.
Créez un calendrier éditorial : utilisez un calendrier pour planifier vos publications pour les semaines ou les mois à venir. Identifiez le type de contenu que vous allez publier, le jour et l’heure de publication, et le format de chaque publication.
Créez du contenu : en fonction de votre calendrier éditorial, créez du contenu pour vos publications avec carrousel Instagram. Assurez-vous que chaque publication est alignée avec votre objectif et qu’elle est adaptée à votre public cible.
Programmez vos publications : utilisez un outil de programmation pour planifier vos publications à l’avance. Cela peut vous aider à gagner du temps et à maintenir une présence régulière sur Instagram.
Est-il possible d’ajouter des liens cliquables dans un carrousel Instagram ?
Oui, il est possible d’ajouter des liens cliquables dans un carrousel Instagram, mais il y a une limitation importante : seul le premier média d’un carrousel Instagram peut inclure un lien cliquable. Cela signifie donc que si vous voulez inclure un lien dans votre carrousel Instagram, vous devez le placer dans le premier média de votre carrousel.
Bon à savoir : seuls les comptes Instagram certifiés ou les comptes disposant d’un nombre suffisant d’abonnés peuvent ajouter des liens cliquables à leurs publications Instagram. Si votre compte ne répond pas à ces critères, vous ne pourrez pas intégrer de liens à votre carrousel.
Nous vous proposons cette excellente contribution de Emarketing
Dans un monde où la concurrence est de plus en plus rude, il devient de plus en plus difficile pour les entreprises de se démarquer. Le recours au digital est devenu essentiel pour se faire une place au soleil. C’est là qu’intervient l’agence web. Mais dans quel cadre faire appel aux services d’une telle entité ? Quelles sont les situations où l’intervention d’une agence de communication est essentielle ? Lisez la suite pour avoir des réponses claires.
Dans quel cadre faire appel à une agence de communication et marketing ?
Tout d’abord, pour la création d’un site web, une agence web peut être d’une grande aide. La création d’un site web implique effectivement de nombreuses compétences techniques, que ce soit en matière de design, de développement ou de référencement naturel. Le recours à une structure spécialisée telle que D-Impulse, agence web de communication et marketing peut permettre à une entreprise de s’assurer de la qualité de son site web et de son référencement naturel.
Ensuite, une agence de communication est indispensable pour la mise en place d’une campagne publicitaire. Que ce soit pour le lancement d’un produit, pour promouvoir une offre spéciale, ou pour augmenter la notoriété d’une entreprise, une agence de communication dispose des outils nécessaires pour concevoir une campagne publicitaire efficace et adaptée aux besoins de l’entreprise.
Enfin, une telle agence est utile pour la conception d’un plan de communication. Elle peut accompagner une entreprise dans la définition de sa stratégie de communication, et la mise en place d’un plan de communication adapté à ses besoins.
L’expertise de D-Impulse, agence web de communication et marketing
D-Impulse, agence web de communication et marketing, met à la disposition de ses clients plusieurs pôles d’expertise.
Le pôle acquisition a pour but d’aider les entreprises à accroître leur notoriété et leur visibilité en ligne en mettant en place une stratégie d’acquisition de trafic qualifié. Pour cela, l’équipe de D-Impulse utilise des leviers tels que les campagnes de publicité en ligne, les réseaux sociaux, le référencement payant et les partenariats pour booster la visibilité des entreprises.
Le pôle SEO (Search Engine Optimization) est également crucial pour améliorer la visibilité des sites web des entreprises. L’équipe de D-Impulse met en place des stratégies SEO pour améliorer le référencement naturel des sites web de ses clients. Cela permet de positionner les sites web sur les premières pages des moteurs de recherche et ainsi attirer un trafic qualifié sur le long terme.
Le développement de sites web e-commerce et vitrine est également un domaine d’expertise de D-Impulse. Les sites web sont des vitrines pour les entreprises, c’est pourquoi il est essentiel qu’ils soient attractifs, intuitifs et fonctionnels. Les professionnels de D-Impulse accompagnent les clients dans la création de sites web performants et personnalisés, adaptés à leurs besoins et à leur marché.
Le community management est un autre domaine d’expertise de D-Impulse. La gestion des réseaux sociaux est une étape essentielle pour maintenir une présence en ligne constante et de qualité. L’équipe de D-Impulse met en place des stratégies de community management pour aider les entreprises à interagir avec leur communauté, à créer des contenus attractifs et à gérer leur image de marque en ligne.
Enfin, le pôle design est crucial pour offrir une expérience utilisateur de qualité sur les sites web et les supports de communication. Des designers créatifs et passionnés sont présents chez votre agence web pour aider les entreprises à créer des identités visuelles percutantes, des supports de communication originaux et des sites web esthétiques et modernes.
Tous les pôles sont dirigés par des experts dans leur domaine pour assurer une efficacité maximale.
En somme, faire appel à une agence web de communication et marketing telle que D-Impulse peut se révéler essentiel pour les entreprises qui souhaitent booster leur visibilité en ligne, améliorer leur image de marque et attirer un trafic qualifié sur le long terme. Les différents pôles d’expertise proposés par D-Impulse sont là pour accompagner les entreprises dans leur stratégie de communication et de marketing en mettant en place des actions sur mesure et adaptées à leurs besoins.
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Contenu sur-optimisé, liens artificiels, bourrage de mots-clés… les situations inhabituelles en référencement naturel étaient autrefois agressives pour essayer d’obtenir un bon référencement. Mais ces techniques SEO souvent mal vues ont rapidement évolué pour que les référenceurs se concentrent sur des pratiques centrées sur la qualité. Parmi les éléments à surveiller et à optimiser afin de booster son SEO, il y a ces balises HTML…
Vous avez dit « balise HTML » ?
Les balises HTML, plus connues sous le nom “tags”, sont des éléments qui structurent un contenu en ligne. Elles permettent d’optimiser l’expérience de lecture du côté de l’utilisateur et de fournir des informations complètes et précises aux moteurs de recherche.
Rédigées et utilisées correctement, elles rendront le contenu de votre site structuré et compréhensible par l’algorithme de Google. Par conséquent, un site facile à comprendre aura un impact positif sur son référencement et sera mieux classé dans les SERP.
Tout bon référenceur devra donc y porter une attention particulière, pour que les internautes et les bots puissent les comprendre comme expliqué clairement dans ce module de formation « Les fondamentaux du référencement naturel ». Les experts comptent de nombreux types de balise HTML, mais on retiendra surtout ces 6 éléments.
Les balises HTML à surveiller en SEO
Balise Title
Comme son nom l’indique, c’est le titre donné à une page de votre site web. Il s’agit de la balise HTML la plus importante pour le référencement de vos pages, car elle aide les moteurs de recherche à comprendre le sujet de chaque contenu.
C’est donc LA principale balise à optimiser si vous visez les premières positions sur Google ! Il utilise le texte contenu dans la balise Title pour afficher les pages ou articles de votre site dans ses résultats de recherche.
Donner envie aux utilisateurs de lire et de les attirer pour améliorer votre taux de clics (CTR) dans les SERP ;
Compter entre 7 à 10 mots descriptifs ;
Etre unique.
Notez que cette balise ne s’affiche pas directement sur votre page Web, mais elle peut être visible depuis le code HTML de la page. Des CMS comme WordPress permettent cependant de modifier le contenu de la balise Title sans avoir à coder.
Balise Meta
Les metatags ou balises méta, principalement utilisés par les moteurs de recherche, contiennent les informations sur les éléments présents dans une page Web (textes, images, vidéos, etc.). Elles permettent de décrire le contenu de votre page, ce que les utilisateurs y trouveront. Les internautes les voient également apparaître sur Google et sur votre site Web.
Meta possède plusieurs attributs, notamment : Viewport, Description, Robots ou encore Open Graph Social Media. Elles sont placées dans l’en-tête du code HTML d’une page web.
Meta Viewport
Cette balise est responsable de l’adaptativité (responsive) de votre site web sur différents appareils de dimensions d’écran variables (mobile, tablette, desktop). Meta Viewport adapte donc l’interface de votre site web à chaque taille d’écran, selon les valeurs inscrites sur cette balise.
Elle est une composante cruciale d’un site web vu l’importance de l’ergonomie mobile qui est actuellement l’un des critères de qualité requis par Google.
Assurez-vous donc qu’elle soit fonctionnelle. Sur WordPress, il existe des thèmes premium qui peuvent vous aider à gérer cette balise.
Meta Description
Du côté des utilisateurs, c’est le texte en noir qui figure en dessous de la balise titre dans les résultats de recherche. Il vise à décrire le contenu de votre page web en le mettant en contexte. En gros, c’est l’intro de la page, un résumé très court et engageant.
Au cas où votre page n’en a pas, le moteur de recherche improvisera une page à partir du contenu de votre site.
Certes, une méta description n’est pas utilisée par les bots de Google pour votre référencement, mais elle joue un rôle essentiel : donner envie aux utilisateurs de cliquer sur votre page.
Pour être efficace, la méta description doit :
Être unique et attractive ;
Inclure votre mot-clé principal, le tout dans une phrase lisible ;
Être compris entre 150 et 160 caractères.
Meta Robots
La balise meta robots détermine la façon dont les moteurs de recherche explorent et indexent les pages d’un site.
Cependant, certains moteurs de recherche ne respectent pas les instructions contenues dans la balise meta robots. Google, Yahoo et Bing y sont très sensibles et tiennent compte des métas robots.
Meta robots est une variante de la balise Meta. En effet, la valeur de cette propriété détermine l’interaction entre les moteurs de recherche et votre site web, commefollow, nofollow, noimageindex, noindex, noarchive, unavailable_after.
Si cette balise n’apparaît pas sur une page Web, il appartient aux moteurs de recherche de décider comment interpréter ou indexer la page. Elle peut être gérée avec le plugin Yoast SEO si vous utilisez WordPress. Vous pouvez également les trouver dans le fichier robots.txt, à la racine de votre site.
Les balises de titres ou balises Hn
Cette balise se divise en plusieurs types qui vont de 1 à 6 (h1, h2, h3, h4, h5, h6).
Leur objectif : apporter de la clarté au texte en le structurant et en le hiérarchisant.
Les balises Hn sont affichées dans le corps du texte, mais n’apparaissent pas dans les résultats des moteurs de recherche.
Elles sont analysées par les robots chargés d’indexer vos pages. Avec une bonne optimisation, elles peuvent donc renforcer les informations obtenues lors du processus d’exploration et ainsi améliorer votre classement dans les résultats de recherche.
Ainsi, ce sont des composantes à ne pas négliger si vous souhaitez améliorer son référencement naturel !
Pour vous aider davantage :
Utilisez une seule balise h1 (qui fait moins de 60 caractères) par texte ;
Répartissez dans le bon ordre les balises de titre (h2 pour les chapitres, h3 pour une sous-section de chapitres, etc.) ;
Choisissez des titres clairs et concis qui contiennent les mots-clés principaux.
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Ce jeudi 2 mars 2023 marque l’ouverture de la 5e édition de l’Africain Digital Summit (ADS) à Casablanca. Initié par le Groupement des annonceurs du Maroc (GAM), l’évènement tenu pendant deux jours réunit les acteurs du marketing digital de toute l’Afrique et d’ailleurs, dépassant même les prévisions du nombre de participants.
En ouverture du 5ème Africain Digital Summit (ADS), près de 3 000 participants ont afflué, ce jeudi 2 mars à Casablanca, dans le cadre de cette édition qui s’étendra sur deux jours. En préparation de l’évènement, qui marque son grand retour après trois ans d’arrêt à cause de la crise sanitaire liée au Covid-19, les organisateurs se sont attendus à accueillir près de 2 000 participants. Président du Groupement des annonceurs du Maroc (GAM), initiateur de l’ADS, Youssef Cheikhi a déclaré à Yabiladi que «la dernière semaine avant l’ouverture de la rencontre a connu un nombre très important des inscriptions». «Jusqu’à la veille du lancement, nous avons comptabilisé entre 2 600 et 2 700 participants attendus et l’évolution continue, au point où nous pourrions atteindre les 3 000 sur les deux jours», a-t-il ajouté.
Il s’agit d’un «parti pris stratégique du GAM de s’ouvrir sur l’ensemble des annonceurs et de l’écosystème de la publicité, quel que soit le secteur d’activité ou même la taille des entreprises», nous a encore déclaré Youssef Cheikhi, expliquant ainsi l’engouement grandissant autour de l’African Digital Summit. «C’est ce qui explique aujourd’hui la diversité que nous avons en termes de participants et d’intervenants : nous avons parmi nous des multinationales, des grands groupes nationaux, des TPME, des TPE», a-t-il souligné.
Un échange des bonnes pratiques entre les entrepreneurs de l’Afrique et de la diaspora
Cette 5e édition connaît également une participation importante des professionnels du secteur digital parmi les Marocains du monde et la diaspora africaine. Intervenant lors de cette première journée, Amine Bentahar est directeur du digital et du marketing à Advantix Digital, agence de marketing numérique primée, basée à Dallas (Etats-Unis) et qui travaille sur la gestion des besoins en matière de publicité numérique. Avec l’assistance, il a échangé autour de son expérience dans l’intégration de l’intelligence artificielle aux usages des entreprises du secteur.
A partir de son expérience internationale, Amine Bentahar souligne auprès de Yabiladi que l’échange des expériences dans le cadre de l’ADS peut être une opportunité pour le tissu entrepreneurial local de s’ouvrir notamment sur les bonnes pratiques de l’IA. «Elle revêt un grand aspect d’accessibilité, faisant que même les très petites entreprises peuvent intégrer cet outil à leur développement, quel que soit leur secteur d’activité, avec très peu de budget», a-t-il déclaré.
Le MRE estime qu’au Maroc, comme dans toute l’Afrique, le tissu des TPME «peut bénéficier grandement de tous les changements qu’apporte l’usage de l’intelligence artificielle dans la planification et la mise en œuvre des process». «S’il y a un usage positif de cet outil, ce sera justement celui-ci, qui permet d’avoir accès à des mécanismes pareils que ceux dont les géants se dotent dans le monde de l’entreprise», a-t-il ajouté.
Une mixité entre multinationales, TPME et start-ups pour une transmission toute azimut
Directeur général du cabinet de conseil Officium, Reda Taleb pilote cette année les Moroccan Digital Awards, dans le cadre de l’ADS. Il estime que cette 5e édition connaît «un très grand succès, avec un engouement général dans la suite de la belle impression qu’a laissé l’ADS depuis sa dernière édition avant la crise sanitaire». «Ce succès s’explique par la qualité des organisateurs, le GAM qui porte le projet, avec un écosystème de partenaires grandissant, ce qui traduit la crédibilité de l’évènement doté désormais d’un comité scientifique», a-t-il déclaré.
Le responsable note aussi «la diversité de l’audience», entre «responsables marketing, digital media, agences de publicité, médias et digital, multinationales, grand groupes nationaux, TPME, start-ups», surtout que «le digital a cette capacité de lever les barrières, de manière à ce que la cross-fertilisation puisse se faire dans tous les sens».
Concernant le Moroccan digital Awards, Reda Taleb souligne à notre rédaction que cette année aura connu «le plus grand taux de participation depuis la création de ce prix». «Nous avons reçu près de 200 candidatures, que nous avons filtrées pour en retenir une centaine éligibles, à partir desquels les heureux gagnants seront primés dans sept catégories», a-t-il indiqué. Un jury d’experts, présidé par Salim Cheikh, directeur général de Soread 2M, «délibère encore lors de la première journée de l’ADS», ajoute-t-il encore.
«Les critères retenus seront l’innovation, la créativité, l’impact et les résultats, entre autres», a noté Reda Taleb. Cette année, le nombre de catégories est passé à sept, au lieu des cinq habituelles, afin d’«intégrer les réalités nouvelles au digital». Parmi ces ajouts, une catégorie est consacrée aux «marques engagées» et à la recherche d’impact. Les gagnants seront dévoilés en clôture de cette cinquième édition.
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A cette occasion, le conseiller technique du ministre de la Communication, des télécommunications et de l’économie numérique en charge de la cyber sécurité, Cheikh Ahmadou Bamba Fall, a expliqué que la troisième édition du Baol Digital Show est un événement-phare dans la région de Diourbel initié par un jeune entrepreneur, du nom d’Ismaïla, qui a eu la volonté de faire quelque chose dans le domaine du numérique pour la région de Diourbel.
Et aujourd’hui, a-t-il dit, ce Baol Digital Show devra aider les jeunes Diourbellois à mieux s’imprégner de l’évolution technologique, en leur offrant des formations, en leur permettant de voir les technologies de pointe et de nouvelles générations. Mais aussi, comme eux, en tant que ministère de tutelle, en leur offrant des masters class qui leur permettent aujourd’hui de les sensibiliser sur les dérives qui se rencontrent sur les réseaux sociaux.
Pour Cheikh Bamba Fall, le Baol digital show n’est pas seulement un impact régional parce que c’est une formation qui est ouverte pour tous les jeunes Diourbellois sur le marketing digital, le pilotage de drones et la sensibilisation sur le cyber sécurité des réseaux sociaux. Donc, pour lui, ce sera déjà un impact au niveau régional, au niveau départemental et communal, parce que les jeunes viennent des villages les plus reculés, pour venir s’imprégner de ce que le numérique peut leur offrir comme atout.
Mais ce sera aussi un impact national parce que, aujourd’hui, on a besoin des «Baol Digital Show», mais aussi des Kaolack Digital Show, parce que dans toutes les régions, il y a des jeunes entrepreneurs qui sont là et le digital est là pour tout le monde. Sans oublier de soutenir que le ministre Moussa Bocar Thiam a choisi pour crédo, de faire du numérique un pourvoyeur d’emplois parce qu’aujourd’hui, il n’y a que le numérique qui peut proposer des emplois aux jeunes. D’autant plus qu’au Sénégal, l’employabilité des jeunes est une problématique.
En ce sens, le représentant du ministre, Cheikh Ahmadou Bamba Fall, rassure que son patron est en train de faire un excellent travail dans ce cadre. L’adjoint au gouverneur chargé de l’administration, Omar Ndiaye, qui dit avoir l’insigne honneur de présider la troisième édition du label «Baol Digital Show» pour l’emploi du numérique, initié par le Baol Baol Ousseynou Fall, a fait noter que le président de la République a très tôt compris, en dotant le Sénégal d’Espaces numériques ouverts (Eno) pour permettre aux différents étudiants de pouvoir se former pour les métiers du futur et d’être compétitifs par rapport à tous les pays du monde.
Il soutient que le thème choisi, «Le numérique, une solution pour contribuer à la réduction du chômage au Sénégal», pour la troisième édition, est d’une importance capitale. Ce qui lui permet de dire que le Sénégal est un pays qui aspire à l’émergence, et quand on dit émergence, on doit dire transformation de tous les secteurs d’activités. Et quand on dit transformation de tous les secteurs d’activités, pour le grand commis de l’État, le meilleur moyen, le levier sur lequel on doit s’appuyer, c’est le numérique. Et en ce sens, il a remercié le promoteur pour avoir eu vraiment l’audace d’initier une activité aussi importante de cette nature, pour la formation des jeunes, dans la région de Diourbel.
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L’outil d’IA ne pourra pas faire le travail à votre place. Mais il vous donnera des textes à retravailler pour vos titres et vos descriptions, et pourra même vous orienter dans votre stratégie.
ChatGPT peut vous aider pour les annonces payantes de Google. Attention cependant à bien le diriger, car le célèbre outil d’IA peut parfois s’apparenter à un stagiaire capable de réaliser bien des erreurs. Pour ne pas vous faire taper sur les doigts par Google, (le moteur fait la chasse aux déclarations « trompeuses » sur ses annonces payantes et réclame des « annonces claires, à l’apparence professionnelle, qui redirigent l’utilisateur vers un contenu pertinent, utile et avec lequel il est facile d’interagir« ), mieux vaut donc écrire un prompt (consigne) pertinent en amont et bien vérifier les faits écrits en aval. Faites aussi en sorte de conserver vos données dans un seul chat et de les enregistrer. En effet, ChatGPT est censé apprendre de ses conversations précédentes et développera ainsi de meilleures réponses.
A ces conditions, alors, vous pourrez alors possiblement vous servir des textes de ChatGPT pour rédiger vos propres annonces ou encore pour vous aider dans vos réflexions liées au marketing.
1. Des titresparfoisétranges mais souvent intéressants
Les titres des annonces payantes permettent de montrer un argument marketing et d’obtenir plus de clics que ses concurrents. Dans le cas des annonces responsive sur le réseau de recherche (RSA), l’annonce textuelle comporte jusqu’à 15 titres. Chacun doit faire 30 caractères maximum. Google Ads testera automatiquement différentes combinaisons au fil du temps pour identifier les plus performantes.
Afin d’obtenir les meilleures réponses possibles auprès de ChatGPT, soyez précis dans votre demande. Demandez-lui le nombre de titres que vous désirez, le nombre maximum de caractères voulus, le bénéfice du produit ou du service que vous souhaitez mettre en avant, ainsi que l’éventuel mot clé que vous voulez voir apparaitre.
Dans cet exemple-ci, vous pouvez demander trois titres. Ils seront par exemple regroupés selon l’avantage produit que vous mettez en valeur ou selon un même mot clé. Vous pouvez refaire de même avec les autres titres, dans la limite des 15 impartis.
On voit dans les résultats obtenus que ChatGPT a globalement bien respecté les consignes. Si les résultats sont un peu laborieux, ils peuvent néanmoins donner des idées intéressantes de titres et être retravaillés en lien avec votre discours et votre marque par exemple.
2. Des lieux de diffusion relativement génériques
Les annonces Google Ads peuvent être diffusées à différents endroits du web. Cela dépend des méthodes de ciblage, de l’audience et des types d’annonces choisies. Avec les annonces Display, vous pouvez diffuser sur des services de Google comme Gmail, et YouTube. Vous pouvez aussi être présent sur des sites et des applications mobiles. Pour connaitre les endroits les plus intéressants pour vos annonces, vous pouvez essayer de poser directement la question à ChatGPT, en mentionnant bien votre secteur d’activité.
Les réponses données sont dans l’ensemble intéressantes, bien que très générales. Cela peut éventuellement permettre de lister certaines que vous n’auriez pas encore envisagées ou vous conforter dans vos choix. En plus, ChatGPT se permet de donner à la fin un conseil sur une façon de trouver des sites
3. Des descriptions riches mais longues
Toujours pour les annonces RSA de Google Ads, vous pouvez écrire quatre descriptions de 90 caractères maximum chacune. Google testera aussi les meilleures combinaisons. Vous pouvez réaliser le même style de demande que pour les titres, en étant, là aussi, précis dans votre demande.
Si le mot clé demandé n’est pas repris, ChatGPT respecte la plupart des consignes demandées. Notons qu’il dépasse par contre à chaque fois la limite demandée de caractères. Même s’il y a par exemple un souci de répétition du mot » enfant » sur la deuxième réponse, la mise en avant de la fiabilité du produit et même un call to action sur chacune des deuxièmes phrases donne un résultat intéressant à retravailler. Et faites attention aux déclarations » trompeuses » que peut engendrer ChatGPT.
4. Une analyse très générale
CTR, trafic, nombre d’affichages de l’annonce… Si toutes les données de Google Ads sont souvent inexploitées, certaines demeurent indispensables pour comprendre vos performances et atteindre les objectifs voulus. ChatGPT peut être utilisé pour une analyse, par exemple en comparant une période avec une autre sur un indicateur précis.
La réponse de ChatGPT, hormis le dernier point discutable, est plutôt pertinente, bien qu’assez générale. Cela permettra de reprendre certains points de base à vérifier pour optimiser votre campagne Google Ads.
