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Proposer du contenu web qui plaise à Google n’est pas toujours facile. Il est pourtant indispensable que vos pages soient bien positionnées dans les moteurs de recherche. Une bonne visibilité sur le web vous aidera à attirer de nouveaux clients. Et, pour y parvenir, un tableau de bord SEO bien conçu sera votre meilleur outil.
Le référencement naturel ou SEO est une stratégie digitale importante pour toute entreprise désireuse d’attirer des visiteurs qualifiés sur son site web. Il s’avère difficile de mesurer l’efficacité de votre stratégie si vous n’avez pas créé, au préalable, un bon tableau de bord SEO.
Mais quels sont les éléments clés à intégrer dans votre tableau de bord ? Avec quels outils le mettre en place ? Retrouvez tous nos conseils pour créer un tableau de bord SEO efficace pour suivre les performances de votre site web.
Créer un bon tableau de bord SEO : quels sont les KPIs à suivre ?
Avant de construire un tableau de bord SEO, vous devez déterminer les indicateurs de performance clés (key performance indicators, ou KPIs) que vous souhaitez suivre.
Voici quelques exemples d’indicateurs clés à intégrer dans votre tableau :
Le classement des pages : pour surveiller la position de vos pages (et leur évolution) dans les moteurs de recherche ;
Le trafic organique : il correspond au nombre de visiteurs qui arrivent sur votre site web via les résultats de recherche organiques ;
Le taux de rebond : il désigne le pourcentage de visiteurs qui quittent votre site après avoir visité une seule page ;
Le temps moyen passé sur le site par vos visiteurs ;
Le taux de conversion : le pourcentage de visiteurs qui effectuent une action souhaitée, comme un achat ou une inscription à une newsletter…
C’est à vous de juger les KPIs les plus utiles pour votre stratégie SEO. Un site média ne surveillera pas nécessairement les mêmes indicateurs de performance qu’une plateforme marketplace.
Créer un bon tableau de bord SEO : quels outils utiliser ?
Il existe plusieurs outils pour collecter les données nécessaires à la création de votre tableau de bord SEO. Voici les plus populaires :
Google Analytics : le service gratuit d’analyse d’audience d’un site web le plus populaire. Il vous permet de suivre le trafic et le comportement des visiteurs sur votre site ;
Google Search Console : vous permet de suivre les performances de votre site web dans les résultats de recherche de Google ;
SEMrush : pour effectuer une analyse de la concurrence et alimenter votre recherche de mots-clés ;
Ahrefs : un outil SEO d’analyse de backlinks pour suivre ceux qui pointent vers votre site web et optimiser votre netlinking, et ainsi votre positionnement.
Tous ces outils vous aident à élaborer la meilleure stratégie SEO possible pour le référencement de votre site web. Une fois que vous savez quels KPIs suivre, ils vous permettent d’optimiser votre contenu et de connaître vos forces et vos faiblesses.
Créer un bon tableau de bord SEO : quelles sont les sections clés à inclure ?
Vous avez déterminé les KPIs à suivre et vous savez quels outils utiliser pour votre stratégie SEO ? Très bien, il est temps pour vous de commencer la création de votre tableau de bord.
Peu importe la manière dont vous présentez les données, certaines sections clés sont à inclure dans tout tableau de bord SEO efficace :
Aperçu général : cette section doit inclure une vue d’ensemble des KPIs tels que le trafic organique, le taux de conversion et le taux de rebond ;
Classement des pages : on trouvera dans cette section le classement de toutes vos pages pour les mots-clés pertinents ;
Analyse des mots-clés : une section qui montre les mots-clés qui génèrent le plus de trafic organique sur votre site web ;
Analyse des backlinks : cette section devrait montrer les sites web qui renvoient des liens vers le vôtre ;
Analyse de la concurrence : comment votre site web se compare à celui de vos concurrents…
Là encore, vous pouvez ajouter ou supprimer certaines sections en fonction de votre stratégie SEO. C’est à vous de juger les KPIs que vous souhaitez suivre et les données les plus importantes à surveiller, en respectant votre stratégie marketing globale.
Créer un bon tableau de bord SEO : quels avantages en tirer ?
Un tableau de bord SEO bien conçu peut vous aider à prendre des décisions éclairées de manière à améliorer la performance de votre site web. En utilisant les données de votre tableau de bord, vous devez pouvoir :
Identifier les pages à fort potentiel pour le référencement ;
Les optimiser pour les mots-clés pertinents ;
Surveiller la performance de vos pages par rapport à vos concurrents ;
Ajuster votre stratégie SEO selon votre positionnement ;
Suivre les évolutions du trafic organique, du taux de conversion et du taux de rebond…
À l’ère digitale, toute entreprise doit inclure le SEO dans sa stratégie marketing. Ne faites donc pas l’impasse sur la création de votre tableau de bord SEO, qui doit être complet. En termes de présentation, il doit bien présenter et être agréable à lire pour motiver vos équipes à atteindre les objectifs fixés.
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Il est un ingénieur en génie civil et un jeune entrepreneur. Dans le but de rendre l’accès à l’investissement immobilier plus facile aux Africains, il a cofondé la start-up Keble, dont il est le dirigeant.
Emmanuel Oballa (photo) est un cofondateur et le président-directeur général de la start-up Keble. Originaire du Nigeria, il y a fait ses études universitaires, plus précisément à l’université de Lagos où il a obtenu un bachelor en génie civil et environnemental en 2020. Il est également titulaire d’un certificat en marketing digital délivré par Google en 2018.
Sa start-up Keble, fondée en 2020, est une fintech qui met à disposition des jeunes Africains, tant dans leur pays d’origine que dans la diaspora, des options immobilières accessibles et abordables. Son objectif est de rendre les avantages de l’investissement immobilier accessibles à tous en créant un moyen sûr et stable pour les Africains d’accroître leur richesse avec confiance.
Plus concrètement, la plateforme Keble met en relation ses utilisateurs avec les meilleures options d’investissement immobilier disponibles sur le marché mondial, leur permettant ainsi d’épargner, d’investir et de diversifier leur portefeuille avec succès. La start-up est l’une des 12 sélectionnées pour la classe inaugurale de l’ARM Labs Lagos Techstars Accelerator, un programme basé à Lagos qui se concentre sur la création de start-up proptech et fintech à un stade précoce à travers l’Afrique.
« Nous vous donnons des actifs immobiliers en dollars dont le prix est fixe et nous vous donnons la confiance. Avec Keble, vous pouvez tout savoir sur votre bien, de sa localisation à ses performances. Keble a également des partenariats et des administrateurs sur différents continents, de sorte que ses actifs internationaux sont bien entretenus », a déclaré Emmanuel Oballa en mars 2023.
« Nous entretenons de bonnes relations avec l’organisme des promoteurs au Royaume-Uni, par exemple, ce qui nous permet d’avoir une communication cohérente. Nous recevons des rapports, de la documentation, des mises à jour et des informations de première main sur les propriétés et les nouvelles opportunités d’investissement », ajoute-t-il.
Emmanuel Oballa est depuis 2018, le directeur de programme du campus Connected Development (CODE). Sa carrière professionnelle a commencé en 2013 au sein de House Of Chi (plus connue sous le nom de Chivita), une industrie manufacturière responsable de la production de jus, de produits laitiers et diététiques, de produits pharmaceutiques, etc., où il était membre du personnel chargé de l’assurance qualité.
De janvier à avril 2018, il a été le directeur de la gestion des programmes chez Enpact Initiative, une communauté d’étudiants pionniers de l’université de Lagos qui se consacre au développement de l’esprit d’entreprise et à l’enrichissement professionnel. De juillet 2018 à la création de Keble, il était un consultant en immobilier de RealtyPro Investment Global Limited, une entreprise immobilière.
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Vous souhaitez créer votre site avec WordPress ou êtes déjà passé à l’acte ? Peu importe le cas de figure dans lequel vous vous trouvez, vous allez avoir besoin d’un thème WordPress gratuit ou payant digne de ce nom. Et le choix ne manque pas ! Ainsi, quel que soit le but de votre site web (vente en ligne, site vitrine, portfolio, blog, etc) vous pourrez choisir un template adapté.
Seulement voilà, les possibilités sont si nombreuses qu’il peut être difficile de se décider. Pour vous aider à faire le bon choix, nous vous proposons un classement des 15 meilleurs thèmes WordPress gratuits de 2023.
Meilleurs thèmes WordPress gratuits : notre top 15
Si les thèmes WordPress sont très nombreux, tous ne sont pas accessibles gratuitement… et certains choix 100% gratuits ne sont clairement pas à la hauteur.
Nous avons testé, comparé et trié l’ensemble pour vous, et nous vous présentons à la suite les meilleurs.
Pour commencer notre classement des meilleurs thèmes WordPress gratuits, nous allons vous présenter Astra. C’est notre favori en 2023.
Il est en concurrence directe avec Neve et OceanWP (dont nous allons vous parler à la suite). Avec Astra, vous profiterez d’un thème de grande qualité, vous permettant aussi bien de créer un blog qu’un site vitrine ou qu’un site de vente en ligne.
Et si Astra se positionne si bien dans notre classement, c’est qu’il est léger et rapide. Ce thème est aussi très souple, et admet de nombreuses personnalisations, tant en termes de couleurs que de menus, par exemple.
Astra fonctionne bien entendu avec les principaux page builders et se montre intéressant d’un point de vue du SEO. En ce qui concerne le nombre d’utilisations actives en 2023, Astra en dénombre plus d’un million, ce qui en dit long sur sa qualité. Il obtient par ailleurs une note moyenne de 4,9/5 de la part de ses utilisateurs.
Si vous souhaitez aller plus loin, et notamment profiter de plus d’options de personnalisation, sachez que Astra propose une version payante disponible à partir de 47$ par an.
À la deuxième place de notre comparatif des thèmes WordPress gratuits, on retrouve Neve. Et le nombre d’installations actives de ce dernier atteste de son succès : on en compte plus de 300 000, avec une note moyenne de 4,8/5. Neve bénéficie de mises-à-jour régulières, ce qui lui permet d’être au top à tous les niveaux.
Pour ce qui est des caractéristiques de Neve, il est bon de savoir que ce thème gratuit se montre assez simple. Il est cependant intuitif, facile à utiliser, agréable et possède de nombreuses fonctionnalités. Ainsi, il peut coller à beaucoup de projets.
Que vous souhaitiez faire du blogging, de la vente en ligne ou encore créer un site vitrine ou de petite entreprise, vous trouverez ce qu’il vous faut avec Neve.
Neve s’adapte aussi avec les supports mobiles, supporte le format AMP et vous permet une bonne optimisation SEO.
Avec plus de 700 000 installations actives, OceanWP arrive à la troisième place de ce listing des thèmes gratuits les plus populaires sur WordPress. Il obtient d’ailleurs une note moyenne de 4,9/5 la part de ses utilisateurs.
Mais si OceanWP ne tient pas la première place de ce classement des meilleurs thèmes gratuits, c’est que selon nous il se montre moins pratique à utiliser que Astra et Neve.
Il n’y a cependant rien de dramatique. OceanWP est optimal pour bien des projets, il dispose de divers templates pour s’adapter aux besoins de chacun et sa compatibilité avec les principaux page builder est appréciable (Divi, BeaverBuilder ou encore Elementor).
De plus, OceanWP inclut de bonnes pratiques SEO ou encore des fonctionnalités de e-commerce poussées, ce qui le rend particulièrement intéressant si vous voulez créer un site eCommerce, notamment avec WooCommerce.
Au pied de notre podium, nous retrouvons Sydney. Ce thème WordPress gratuit a largement de quoi séduire les utilisateurs du célèbre CMS. À notre sens, il est simple à utiliser et conviendra au plus grand nombre.
Il est aussi assez complet, et permet de créer n’importe quel type de site, du blog à la boutique en ligne.
Ce thème WordPress gratuit est cependant davantage pensé pour les entreprises et les indépendants. Sydney vient avec un package de templates pré-établis, qui vous permettent de gagner du temps lors de l’édition du design de votre site.
Certains sont très professionnels et d’autres d’apparence plus friendly. Sydney est adapté sur les supports mobiles, vient avec des blocs de construction et rencontre donc un grand succès en 2023.
La note moyenne que lui attribuent ses utilisateurs est de 4,9/5 pour plus de 100 000 installations actives.
Si vous débutez avec WordPress, ou même dans le domaine de la création de site de manière plus générale, nous vous recommandons de vous intéresser à Hestia.
Hestia est très simple à utiliser et accompagne son utilisateur au mieux dans son processus de création.
La configuration et l’administration avec ce thème sont simplifiées, et Hestia vous donne aussi accès à des templates prêt à l’emploi. Mais Hestia ne réduit pas pour autant vos possibilités. Ce dernier vous propose un panneau de configuration très complet et intuitif.
D’ailleurs, Hestia ne nécessite pas de page builder, mais permet tout de même d’en utiliser un. Le succès de ce thème WordPress gratuit est donc grandissant en 2023 : il en est à plus de 100 000 installations actives (chiffre en constante augmentation) et obtient une note moyenne de 4,8/5.
Parmi les thèmes WordPress qui ont une version gratuite, nous souhaitons vous parler de Storefront. Ce thème est assez connu, il se peut donc que vous l’ayez déjà croisé. Orienté vers le commerce en ligne, ce thème WordPress gratuit est excellent.
D’ailleurs, c’est le thème recommandé lorsque vous utilisez WooCommerce pour la création votre boutique de vente en ligne.
Ce qui fait de Storefront un thème si qualitatif ? Il est simple d’utilisation, permet de multiples personnalisations et se montre responsive (il s’adapte sur les supports mobiles). Storefront vient aussi avec un certain nombre de templates que vous pouvez utiliser tels quels ou personnaliser.
Avec plus de 200 000 installations actives et une note de 4,5/5 en moyenne, Storefront est donc à étudier sérieusement si vous souhaitez faire du e-commerce. Le seul bémol à noter selon nous avec ce thème est qu’il peut se montrer légèrement limité dans sa version gratuite.
Continuons avec Airi, un autre thème WordPress gratuit très apprécié des utilisateurs du CMS. Créé pour les sites web professionnels et de vente, ce thème s’adapte cependant à tous les projets, même pour les sites personnels.
La qualité principale de Airi est qu’il est léger et permet donc de très bonnes performances, notamment en termes de vitesses de chargement.
C’est un bon point pour votre expérience utilisateur, mais aussi pour votre SEO. Dans cette même idée, il est utile de noter que ce thème est responsive. Sachez aussi que Airi est flexible, qui vous permet un maximum de personnalisations.
Côté pratique, notez également que Airi est compatible avec les page builders comme Elementor. Il est aussi adapté à un usage avec WooCommerce, et vous donne même accès à un support client en cas de soucis.
À mi-parcours de notre classement des meilleurs thèmes WordPress gratuits, intéressons-nous à GeneratePress.
Si nous l’aimons particulièrement, c’est car il vous permet d’installer un maximum de plugins WordPress. Il dispose en effet de nombreuses compatibilités à ce niveau-là, mais aussi de bonnes performances.
GeneratePress est léger, rapide, convivial et vous permet une bonne optimisation.
Vous pourrez l’utiliser avec Elementor ou encore WooCommerce, et vous en servir pour créer toutes sortes de sites web.
Pour citer quelques chiffres, sachez que GeneratePress compte plus de 500 000 installations actives, et réalise l’exploit d’obtenir une note moyenne de 5/5 de la part de ses utilisateurs (version premium comprise).
Cependant, si ce thème n’est que huitième dans notre top, c’est que nous regrettons quelque peu les limitations auxquelles il est possible de se heurter dans sa version gratuite.
Si vous voulez trouver un thème WordPress gratuit pour votre blog, nous vous recommandons ColorMag. Ce dernier est avant tout pensé pour les sites web d’actualités, de blogging ou tout ce qui concerne des publications périodiques.
ColorMag propose dans sa version gratuite une quinzaine de templates aboutis et adaptés aux activités que nous avons citées. Les designs sont modernes, professionnels, et s’adaptent à des thématiques variées comme la santé, l’alimentation, le sport ou encore les divertissements.
ColorMag peut s’utiliser avec les principaux constructeurs de page WordPress, et ses performances sont très bonnes. Avec ce thème gratuit WordPress, vous pouvez aussi profiter de bons paramètres SEO, ainsi que de nombreuses traductions.
De plus, notez que ColorMag compte plus de 90 000 installations actives et décroche une note moyenne de 4,9/5.
Parmi les meilleurs thèmes gratuits pour WordPress, Shapely se démarque grâce à sa puissance et sa polyvalence.
Il prend en charge un maximum d’options et d’extensions WordPress (notamment en ce qui concerne l’optimisation SEO). Il vient d’ailleurs avec ses propres widgets, qui vous permettront de créer toutes sortes de sites web.
Des fonctionnalités très intéressantes sont incluses à Shapely, comme le Lazy Load, pour un chargement automatique des images de votre site. Votre SEO n’en sera que meilleur, tout comme votre expérience utilisateur.
Le thème gratuit Shapely est totalement responsive, et permet d’agir sur tous les paramètres de votre site simplement (couleurs, etc…). Pour vous donner une idée de ce qu’il vaut, Shapely affiche une note moyenne de 4,5/5 avec plus de 70 000 installations actives.
À la 11ème place de notre top 15 des meilleurs thèmes gratuits pour WordPress nous retrouvons Zakra. Avec Zakra, vous êtes assuré de pouvoir créer votre site web au mieux, quel que soit son genre.
En effet, il permet aussi bien de développer un blog qu’un site vitrine professionnel, ou même un site de vente en ligne, grâce à sa compatibilité avec WooCommerce notamment. Ce qui fait son succès, c’est entre autres sa légèreté et sa rapidité. En plus d’être agréable, c’est un bon point pour votre SEO. Zakra se montre aussi très ludique à utiliser.
Pour le côté pratique, Zakra fonctionna avec les principaux page builders, à commencer par Elementor.
Le thème est totalement adapté sur supports mobiles et traduit dans de nombreuses langues. Il réussit ainsi l’exploit d’avoir une note de 5/5 selon ses utilisateurs.
Si vous êtes à la recherche d’un thème moderne pour votre site WordPress, voici Phlox.
Avec Phlox, vous pouvez profiter d’un thème très personnalisable, mais aussi tout à fait optimal dans bien des domaines.
En effet, quel que soit le type de site que vous créez, ce thème gratuit saura vous aider. Il est principalement adapté à un usage pour un blog, un portfolio, un site d’actualité ou un site vitrine, mais peut aussi se prêter au jeu du commerce en ligne (il est compatible avec le plugin WooCommerce).
Avec une note moyenne de 4,8/5 pour plus de 50 000 installations actives, Phlox s’impose donc comme l’un des meilleurs thèmes WordPress gratuits de 2023.
Adapté pour le blogging mais aussi pour des sites professionnels, Bento est un autre thème gratuit très intéressant. Ainsi, si vous créez un site avec le célèbre CMS, vous pouvez vous y intéresser sérieusement.
Avec lui, vous pourrez personnaliser un maximum de paramètres de votre site : les couleurs, le menus, les options, etc… D’ailleurs, nous apprécions beaucoup Bento pour le choix de couleurs quasi-infini qu’il propose.
Avec Bento, il vous sera aussi possible d’agir sur votre SEO et d’optimiser la vitesse de chargement de votre site grâce à ce thème léger. Bento est responsive, et vous offre une très bonne expérience utilisateur. Ce thème se prend en main très facilement, et obtient ainsi une note de 4,5/5 auprès de ses utilisateurs.
À la quatorzième place de notre liste des meilleurs thèmes gratuits pour WordPress nous trouvons Zerif Lite. Il se prête au jeu dans de multiples cas : que vous souhaitiez créer un blog gratuit, mais aussi un site vitrine ou encore un portfolio.
Zerif Lite se montre toutefois particulièrement adapté à un site de photographie. Il propose en effet un design minimaliste, moderne et épuré, qui s’adapte très bien à un site photographique. Zerif Lite est aussi responsive, léger et rapide, pour un bon référencement et une bonne expérience utilisateur.
De plus, il est simple à installer et à utiliser, même si vous débutez.
Cependant, il est bon de garder en tête que Zerif Lite est un thème “One-Page”, qui peut donc avoir certaines limites en termes de contenu.
Dans le cas où vous désirez créer une boutique en ligne avec WordPress et WooCommerce, un thème à envisager est Nitro.
Ce dernier propose une version gratuite pour WordPress conçue afin de fonctionner avec WooCommerce.
Pour votre site de vente en ligne, Nitro vous offre un maximum de possibilités : design de qualité, fonctions avancées, etc… Les utilisateurs lui accordent la note moyenne de 4,7/5, ce qui est honorable selon nous.
Toutefois, s’il ne se trouve pas plus haut dans notre classement, c’est que selon nous, Nitro est légèrement en retrait sur certains aspects, comme les performances ou encore les possibilités de personnalisations.
Tuto : comment installer un thème WordPress ?
Pour installer un thème WordPress, trois principales solutions s’offrent à vous.
La première solution consiste à installer un thème depuis votre panneau d’administration “wp-admin”.
Rendez-vous dans l’onglet “Apparence”, puis “Thèmes”. Vous pourrez alors visiter la boutique de thèmes.
Il vous sera possible d’en chercher un en particulier depuis la barre de recherche prévue à cet effet. Une fois votre choix fait, cliquez simplement sur “Installer”, puis sur “Activer”. La seconde solution vous concerne si vous voulez installer un thème que vous avez obtenu hors de WordPress.
Dans ce cas, vous devez avoir téléchargé un fichier qui est stocké sur votre appareil. Pour le transférer sur votre site, allez aussi dans le menu “Apparence”, puis “Thèmes”. Vous trouverez ensuite un bouton “Ajouter”.
Cliquez ensuite sur “Installer”, puis procédez de la même manière, en activant le thème.
Il existe une troisième option pour installer un thème WordPress : passer par un client FTP. Cela permet de déplacer des fichiers d’un ordinateur vers un serveur.
Pour cela, vous devez disposer des fichiers de votre thème gratuit (par ailleurs téléchargé en amont) et les envoyer sur votre hébergement via un client FTP (File Transfer Protocol). Vous retrouverez ensuite votre thème depuis votre tableau de bord WordPress, et vous pourrez l’activer normalement.
Bonus : le meilleur hébergement WordPress pour votre thème
Étant donné que nous venons de parler de la possibilité d’installer un thème via votre hébergement web, et que créer un site avec WordPress va de toute manière en nécessiter un, nous souhaitons vous présenter celui qui est – selon nous – le meilleur hébergeur web. Il s’agit de Hostinger.
Ce prestataire tient la première place de notre classement des hébergeurs web français, notamment grâce à une qualité de service irréprochable. Hostinger propose des hébergements rapides, disponibles, qui incluent pour la majorité un nom de domaine et un certificat SSL offerts.
D’ailleurs, Hostinger affiche des hébergements spécialement optimisés pour WordPress, incluant une installation automatique et simplifiée du CMS. Le rapport qualité/prix est ici excellent, et Hostinger vous donne accès à un support client très qualitatif.
Et pour créer votre site WordPress avec ce prestataire, c’est ici que ça se passe :
Conclusion : quel est le meilleur thème WordPress gratuit ?
Pour conclure, nous pouvons dire qu’il existe plusieurs thèmes WordPress gratuits et satisfaisants afin de créer un site web complet et fonctionnel.
Les meilleurs sont ceux qui arrivent en tête de liste ici, à savoir : Astra, Neve et OceanWP. Ils existent aussi dans des versions premium plus poussées, si jamais vous veniez à être limité dans vos envies de personnalisation.
Ceci étant dit, s’il ne fallait vous recommander qu’un seul thème gratuit, ce serait Astra qui s’avère être extrêmement léger, performant et personnalisable.
Il ne vous reste plus qu’à vous lancer. Si vous souhaitez profiter d’un peu d’aide, nous avons publié un tutoriel étape par étape pour réaliser un site avec WordPress.
Nous vous proposons cette excellente contribution de seneplus.com
Une plainte est déposée contre Tik Tok devant la Commission de protection des données personnelles (Cdp). C’est l’information donnée par le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (Restic) dans un communiqué. Il reproche au réseau social d’origine chinoise de ne pas respecter «la législation du Sénégal sur les données personnelles, notamment les enfants et mineurs qui constituent une audience et une cible pour la société chinoise ».
Le Restic, sur avis de ses conseillers juridiques, compte également «assigner la société Bytedance (officiellement enregistrée aux îles Caïmans), qui gère la plateforme Tik Tok, pour stockage de contenus d’autrui dans des serveurs situés hors du territoire sénégalais, des données qui peuvent être utilisées à d’autres fins, notamment aux fins d’espionnage».
Dans la même dynamique, l’organisation voudrait contraindre la société «à adapter ses contenus et algorithmes à nos législations sur les enfants et mineurs». Ce, afin d’avoir «une protection effective des données des citoyens contre toute utilisation à des fins autres que celles pour lesquelles leurs auteurs les ont publiées».
Par ailleurs, le Restic a dans son communiqué défendu Seydou Ba, membre du Fintech Koppar Express, arrêté depuis le 27 février et poursuivi pour «financement d’activités de nature à compromettre la sécurité publique, fraude fiscale et blanchiment d’argent». Les membres de cette organisation, qui estiment que «Koppar Express est une vitrine dans notre écosystème des fintechs, et ses dirigeants et fondateurs des entreprenants et innovateurs qu’il faut incuber, financer et protéger dans le respect des lois vigueur dans notre pays», demandent «aux plus hautes autorités, l’élargissement des fondateurs de Koppar Express».
Ils souhaitent aussi «un meilleur cadre législatif qui protège les entrepreneurs du digital et du numérique pour le développement de leur business model autour de l’innovation financière et technologique». Poursuivant leur plaidoyer, ils font savoir que les Tic, «avec les communications électroniques, contribuent à hauteur de 15% de notre Pib, les fintechs contribuent à fluidifier les flux de transaction et à l’inclusion financière des populations». C’est donc, d’après eux, «un maillon essentiel pour notre économie».
Nous vous proposons cette excellente contribution de Presse-citron
Bing, le moteur de recherche de Microsoft, a intégré la technologie de OpenAI pour proposer une expérience de recherche conversationnelle basée sur la technologie GPT-4
Depuis le lancement de Bing IA le 7 février 2023, le nombre de visites sur le site a augmenté de 15,8%, tandis que Google accuse une légère baisse
Bing espère ainsi se démarquer de son concurrent dominant et attirer plus d’utilisateurs avec son assistant virtuel intelligent et personnalisé
Comme vous le savez, Microsoft a massivement investi dans OpenAI, au point d’avoir désormais accès à l’ensemble de leurs technologies et de les intégrer progressivement à ses produits et services, notamment Windows 11 et le moteur de recherche Bing. Le « nouveau Bing », propose désormais un onglet conversation animé par GPT-4. Il peut aller chercher pour vous les dernières infos sur internet et les intégrer à ses réponses.
Le sujet fait visiblement paniquer la direction Google depuis quelques temps. Et pour cause : Bard, la réponse de Google à ChatGPT, est encore loin d’être au même niveau. Microsoft parie que l’assistant GPT-4 est une vraie innovation dans la recherche en ligne – de quoi donner au moteur de recherche Bing un vrai atout par rapport à Google. Et il semble que ce pari est en train de se réaliser. L’IA booste en effet les parts de marché de Bing… et on constate déjà une légère érosion des parts de marché de Google.
Bing a tout ce qu’il faut pour faire trembler Google
Selon Reuters, Microsoft a enregistré une hausse de près de 16% des visites sur Bing depuis le lancement de son mode conversation basé sur la technologie ChatGPT-4 de OpenAI le 7 février 2023. Cette fonctionnalité séduirait un nombre considérable de nouveaux utilisateurs, puisque Microsoft a lui-même confirmé que Bing a dépassé les 100 millions d’utilisateurs actifs pour la première fois ce mois-ci.
La hausse de 15,8% des recherches sur Bing montre que Microsoft relance le match des moteurs de recherche – qui semblait pourtant à jamais gagné par Google. De leur côté, les parts de marché de Google ont diminué d’environ 1% sur la même période. Rien de bien méchant pour le moment, mais il faut prendre en compte le fait que les utilisateurs de Bing sont aussi des utilisateurs de Google – et que les comportements et habitudes de recherche prennent du temps à changer.
De fait, on parle de 1 % de parts de marché mondiales, ce qui signifie donc, très concrètement, des millions d’internautes. En plus d’être menacé dans les recherches en ligne, Google risque gros pour ses applications. En comparant la période du 5 février au 11 mars à celle du mois précédent, le nombre de téléchargements de l’application Bing sur le App Store et le Play Store a été multiplié par huit, tandis que celui de l’application éditée par Google a baissé d’environ 2%.
Google ne baisse pas les bras pour autant, puisque la société vient de lancer un aperçu de Bard, son propre produit d’IA générative, et a également précisé comment la technologie sera éventuellement intégrée à “Google Search” et à d’autres produits Google tels que Workspace. Mais, en l’état actuel des choses, Google commence le combat de boxe sur la touche, sans même les gros gants rembourrés qui lui permettraient de répondre à Bing. 🍿Scrontch, schrontch, schrontch…
Nous vous proposons cette excellente contribution de Agence Ivoirienne de Presse
Abidjan, 24 mars 2023 (AIP) – Une société de services, « Berexia digital », d’origine marocaine, spécialisée dans le conseil en architecture des systèmes d’information ainsi que dans la conception et le développement de logiciels veut contribuer au renforcement des capacités numériques des entreprises en Côte d’Ivoire, notamment les PME.
Lors de la présentation de la société, jeudi 23 mars 2023 à Abidjan-Cocody, en présence de l’ambassadeur du Maroc, son directeur de vente et des opérations, Anas Fassi-Fihri a indiqué que sa structure est prête à accompagner les PME et autres entreprises dans la prospection et l’identification des projets.
L’entreprise digitale sert également à l’autonomisation des process et à l’évaluation du coût de certaines tâches qui doivent être accomplies et surtout à la transparence et à l’accès des données. Elle intervient dans le domaine de l’éducation, la santé, la construction, l’agriculture, le transport, la banque, la cybersécurité et l’intelligence artificielle.
L’objectif étant, entre autres, le renforcement des infrastructures numériques le renforcement de la cyber sécurité l’amélioration de la gouvernance numérique ainsi que la promotion de l’entreprenariat numérique, a expliqué son consultant, Abdelilah Benryane.
Pour faire de la Côte d’Ivoire le hub digital de l’Afrique de l’Ouest, une stratégie nationale de développement du numérique à l’horizon 2025 a été adoptée lors du conseil des ministres du 22 décembre 2021. Ce Plan va amener le Gouvernement à engager 32 reformes et réaliser 96 projets sur la période 2021-2025 pour un investissement de 2 000 milliards F CFA.
Cette stratégie nationale s’articule autour de sept piliers fondamentaux, notamment les infrastructures numériques, les services numériques, les services financiers numériques, Les compétences numériques, l’environnement des affaires dans le secteur de l’économie numérique, L’innovation, la cybersécurité et la confiance numérique.
Le 14 mars, GPT 4 a été dévoilé avec un peu d’avance. De nombreux utilisateurs – et SEO – se sont précipités dessus pour le tester et vérifier s’il tenait toutes ses promesses. La réponse : oui ! Nous avons interrogé Louis Bazile, Laurent Jean et Yannick Bouvard sur leur utilisation de GPT-4. Globalement, les experts sont unanimes : l’intelligence artificielle propose des réponses plus qualitatives, avec un meilleur raisonnement et en étant davantage créative.
Les 6 points à retenir
Les contenus de GPT 4 sont plus efficaces et de meilleure qualité avec un travail de réécriture moindre
GPT 4 est capable de résoudre des problématiques mathématiques plus complexes
L’augmentation du nombre de mots de contexte permet de fournir des prompts plus détaillés et donc, d’obtenir des réponses plus complètes et précises
Les prompts à base d’image seront pratiques pour créer du meilleur contenu et, d’ici peu, générer des attributs alt de façon automatique
Même si les réponses sont plus crédibles, il est important de repasser derrière avec un oeil humain pour s’assurer que la réponse est juste et cohérente
Le métier de SEO va évoluer en collaboration avec l’IA, car l’expertise humaine restera nécessaire sur de nombreux sujets
Globalement, quelles sont les différences que vous avez constaté entre GPT 3.5 et GPT 4, pour le moment ? Est-il vraiment plus fiable ?
Laurent J. – Tout d’abord, il y a 3 façons de pouvoir utiliser GPT4 : avoir ChatGPT Plus, utiliser Bing Chat ou être dans la Waitlist. L’accès API n’a été débloqué qu’hier (16 mars) aux alentours de 18h. Je le teste depuis le lancement via ChatGPT et il y a une très bonne avancée dans le contenu produit.
On ne note pas de différences sur certains prompts, mais les contenus me semblent un peu plus qualitatifs. Certaines expressions, certaines tournures de phrases permettaient de détecter que le contenu était généré par une IA, là c’est moins le cas.
Louis B. – La principale différence est une nette montée en qualité dans le niveau de langage et l’efficacité des réponses proposées. L’intention de recherche est toujours aussi bien comprise mais j’observe une nette progression sur la qualité de la réponse : plus pédagogique, une pertinence beaucoup plus fine avec des exemples, vulgarisations ou élaborations mieux choisies.
GPT3 avait tendance à faire beaucoup plus de répétition de prépositions ou dans des énumérations de listes à puces (il titrait chaque élément de la liste et répétait le titre juste après dans une phrase explicative). De même, l’ancien modèle montrait trop souvent dans ses tournures de phrases qu’il était plus performant en anglais. J’avais tendance à traduire les générations. C’est de moins en moins le cas.
Sur mes nombreuses utilisations depuis une semaine via ChatGPT, j’ai beaucoup moins de travail de réécriture à faire sur les résultats proposés. Il devient plus difficile de distinguer ses réponses de celles d’un humain.
En revanche, la nouvelle version est plus lente et les générations s’arrêtent plus souvent en milieu de réponse. Cela le rend moins utilisable en automatisation mais ce n’est qu’une question de temps avant que les performances s’améliorent.
Yannick B. – Mon étude comparative de GPT 3.5 et de GPT 4 s’est principalement concentrée sur des besoins et des usages pour le SEO. Le bilan global est qu’il y a quand même un vrai gain de qualité en termes de réponses de la part de GPT-4, mais que l’essentiel semble résider dans la capacité à comprendre les instructions et donc ensuite à les appliquer. Ainsi, pour des prompts simples, on ne verra pas forcément beaucoup de différences. Le vrai gain se fera avec des prompts élaborés. Fini donc de jouer vite fait avec GPT, il va falloir bien travailler ses prompts.
Parmi les 3 nouveautés majeures, OpenAI a annoncé la créativité (réponse aux besoins créatifs comme composition musicale, écriture de scénario ou ton d’un auteur), le format (prompt à base d’image) et le contexte (plus de 25 000 mots générés). Pour ces 3 nouveautés, quels sont vos constats par rapport à GPT 3.5 et laquelle est la mieux réussie selon vous ?
Laurent J. – Ce qui a été introduit dans GPT4, c’est la capacité à avoir plus de « raisonnement ». Par exemple, lorsque l’on posait des problèmes à GPT3 qui semblaient triviaux même pour un enfant, il n’était parfois pas capable de donner la bonne réponse. Par exemple : si on lui demandait si un œuf de cheval était plus gros qu’un œuf de poule, il répondait oui. Alors que GPT4 va indiquer que les chevaux ne pondent pas d’œufs.
J’ai fait un test avec des problèmes mathématiques à partir d’un site qui produit tous les mois de nouveaux problèmes depuis 15 ans (Diophante) et GPT4 a réussi à résoudre les problèmes soumis.
En tout cas, les démos d’Open AI sont bluffantes. Un de leurs exemples est une application pour aider les déficients visuels : Be my eyes. Elle permet de prendre une photo et l’IA décrit l’image. C’est une vraie avancée car cela peut aider les aveugles à avoir des informations sur l’endroit où ils sont, si on la monte sur des lunettes avec un moteur vocal. Dans un cadre SEO, cela aide à l’accessibilité, un des critères phares de Google. Levez la main ceux qui renseignent leurs images avec des informations factuelles au lieu de bourrer les « alt » de mots-clés !
En ce qui concerne la possibilité de rajouter beaucoup plus de contexte (8000 tokens pour la version API de GPT4), c’était un point négatif de la version GPT3 car il ne suivait pas forcément les instructions qu’on lui donnait, alors que ChatGPT qui combine GPT3 + Instruct GPT permettait de lui donner des instructions de contexte avant qu’il n’écrive un texte.
Avec GPT4 on peut donner beaucoup plus de contexte, et cela réduit l’effet d’ « hallucination ». Si je vous donne une fausse information en disant que GPT4 est 100 fois plus gros que GPT3, vous allez extrapoler en disant que GPT4 est 100 fois plus intelligent. GPT3 et GPT4 vont faire la même chose, ils vont inventer. Donnez-lui des informations factuelles, et là il orientera le contenu pour qu’il soit plausible, donnez-lui beaucoup plus de contexte, il écrira un meilleur contenu en utilisant ces informations. On repassera toujours pour vérifier qu’il n’a pas eu d’hallucination et pour faire des optimisations SEO, mais globalement en terme de qualité pour l’utilisateur on sera bon, avec le prompt adapté 😉.
Louis B. – La créativité s’inscrit dans la continuité de l’effet « whaou » que m’avait inspiré GPT 3.5. Les générations sont beaucoup plus efficaces et ça me laisse penser qu’on va tendre vers une montée en qualité rapide sur ce point sur les prochaines mises à jour.
L’augmentation du nombre de mots de contexte permet d’avoir une belle montée en puissance pour produire des contenus à partir de prompts très détaillés en le faisant travailler étape par étape, de l’analyse de l’intention de recherche à une page complète en passant par l’enrichissement du contenu et la définition d’un plan pertinent.
J’ai peu utilisé la détection d’images dans mes tests.
Yannick B. – Je n’ai pas fait de tests sur des aspects purement créatifs, mais même lorsque la demande est axée sur la stratégie, GPT-4 est effectivement plus créatif que le modèle précédent. Là où GPT 3.5 avait une tendance à répondre sur de la théorie, l’aspect créatif de GPT-4 lui permet d’aborder des notions plus pratiques et de proposer des choses plus concrètes. Je n’ai pas encore testé les résultats sur les deux autres aspects.
Dans votre utilisation, qu’est-ce que la compréhension des images change ? Quelles sont les nouvelles possibilités ?
Laurent J. – D’un point de vue SEO, si on travaille pour un site de voyage, la difficulté est de trouver le bon contenu et d’illustrer le discours. Là on peut faire l’inverse : avoir une photo factuelle (pas généré par de l’IA pour de vrais lieux) et demander à GPT 4 de décrire l’image. Cela permet d’écrire de meilleurs contenus en contextualisant avec l’image. Dans le cadre de l’évolution de Google qui permet de trouver des informations à partir d’une photo, il y a sûrement une optimisation qui va se faire naturellement lors du déploiement de MuM (Multitask Unified Model, le nouvel algorithme de Google).
Louis B. – Je m’attends à voir cette fonctionnalité utilisée rapidement pour avoir des solutions de génération d’attributs alternatifs automatisées. Dans un avenir proche, cela sera probablement intégré nativement dans Google avec le moteur qui n’a plus besoin d’alt pour analyser les images dans le cas où ils arrivent à en optimiser le coût. Cela donne également des idées pour enrichir le contenu d’une page en décrivant une image en détail ou pour générer des fiches produits à partir des packshots.
Avec une meilleure qualité linguistique et contextuelle, est-ce que les réponses apportées par GPT 4 vont commencer à se confondre avec des réponses humaines ? Y aura-t-il encore besoin de repasser derrière ?
Laurent J. – On s’aperçoit qu’il y a une évolution en français. C’est également le cas dans toutes les langues, donc un contenu anglais, espagnol ou même breton ont dû gagner en qualité. Google sera capable de donner à l’utilisateur une réponse dans sa langue à partir d’une information créée dans une autre. Probablement que le contenu pourra être estampillé comme dupliqué, et qu’avec la possibilité d’écrire dans une autre langue, on peut créer des contenus beaucoup plus orientés utilisateur en visant d’autres mots-clés qui ne sont pas les mêmes sur un autre marché. D’ailleurs, j’ai réservé le nom de domaine https://ai.bzh où je vais mettre un traducteur breton-français. Un clin d’oeil à Olivier Andrieu et ses Astérix 😉
Louis B. – Cela dépend des thématiques, notamment sur les sujets plus experts mais d’une façon générale, oui. Avec GPT 3.5, un œil averti reconnaissait facilement les structures de textes et de phrases issues de l’outil. C’est encore le cas sur de nombreuses réponses mais de façon beaucoup plus fine. En travaillant bien ses prompts, on arrive à des résultats très crédibles.
Yannick B. – La question n’est pas de savoir s’il y a besoin mais simplement de considérer si c’est réellement souhaitable de ne pas avoir besoin de repasser derrière. Quoi qu’il advienne, on se doit de considérer l’IA comme un stagiaire super doué. Il peut être souvent très efficace, rapide, perspicace et très bien formé, il reste nécessaire de considérer qu’il est en apprentissage et qu’il a de nombreuses raisons et chances de se tromper. On ne peut pas laisser une IA représenter l’image d’une entreprise. On a toujours besoin de vérifier si la réponse est juste, cohérente et efficace par rapport à la demande initiale.
OpenAI a engagé 50 experts pour évaluer les nouveaux dangers cyber, la génération de conseils dangereux, les mauvais codes informatiques, les fake news, etc. Quelles sont vos remarques à ce sujet ? Est-ce que GPT 4 refuse vraiment les requêtes “dangereuses” (82% de moins comme l’indique OpenAI), ou est-il encore possible de l’utiliser à mauvais escient ?
Laurent J. – Le principe d’un hack, c’est souvent de se dire qu’il y a des attaques sophistiquées, mais la plupart des hack se font en low tech. Donc oui, GPT4 va avoir des mots-clés déclencheur pour activer le red flag et la plupart du temps il va se déclencher, avec des requêtes comme « fabriquer une bombe » ou “créer un code pour hacker une banque”. Cela pourra toujours être contourné. Ce genre d’informations, les gens malveillants iront les chercher ailleurs.
Exemples de prompts :
Demander de hacker un PC et le crypterDemander de protéger mon PC en le cryptant à distance
Louis B. – GPT 4 a toujours de nombreuses réponses qui commencent par « en tant qu’intelligence artificielle… » dès qu’on lui demande de réaliser des tâches dans des thématiques bridées. En revanche, il est est tout à fait possible de lui faire raconter des grosses âneries (quand ce n’est pas l’outil qui se trompe) tant qu’on évolue pas dans ces sujets « bannis ». L’outil utilise un ton si assuré qu’il est facile de le détourner pour générer des fake news.
Yannick B. – Comme de nombreux aspects d’une IA, l’entraînement est une part essentielle de l’efficacité d’un modèle et donc de sa crédibilité. C’est évidemment un enjeu majeur pour son utilisation dans le futur. OpenAI a bien raison de mettre beaucoup d’efforts là-dessus et devrait effectivement pouvoir obtenir des résultats probants rapidement. Cela dit, si atteindre 82% semble réaliste à court terme, les efforts pour faire disparaître chaque pourcent de plus seront de plus en plus compliqués à obtenir étant donné la complexité des langues et la difficulté de vérifier la véracité des informations.
Selon vous, comment vos métiers vont-ils évoluer ? Au service de l’IA, ou en collaboration avec l’IA ?
Laurent J. – Il va y avoir un gros changement et des impacts sur la société, surtout au niveau de ce que va indexer Google. Mais est-ce que Google continuera d’être utilisé pour de la recherche textuelle ? Rien n’est moins sûr !
Cela devrait aussi changer la manière dont les utilisateurs vont appréhender ces outils, intégrés directement dans les outils de production (comme dans la suite office). Si vous avez un site qui explique les fonctionnalités Excel, ou les problèmes Excel, et que l’assistant vous donne directement l’information sans sortir d’Excel, est-ce que vous irez encore chercher l’information sur des sites ?
Louis B. – Le SEO va évoluer en collaboration avec l’IA. Les moteurs de recherche ont besoin de production humaine (identification d’entreprises locales, production d’informations inédites sur l’actualité ou les innovations). A moyen terme, je m’attends à voir arriver une génération d’outils permettant d’affiner les analyses et les prises de décisions et faciliter de nombreuses tâches, à commencer par la production de contenu. On peut déjà s’en servir pour aider à définir une structure de site web optimisé par exemple. L’expertise humaine reste toujours nécessaire sur la plupart des sujets cependant, a minima pour piloter et contrôler l’outil. La prochaine évolution majeure que j’anticipe est l’intégration d’une importante part de ces technologies dans les classements et réponses des moteurs de recherche.
Yannick B. – Beaucoup de nos métiers vont évoluer avec l’IA, de la même manière qu’ils ont évolué avec l’informatique puis avec internet. Lors de l’arrivée de ces deux autres révolutions, on s’est posé les mêmes questions. Certains métiers ont disparu, d’autres ont fortement évolué, certains moins et les derniers d’une manière indirecte seulement.
Nos métiers vont évoluer parce qu’on va pouvoir être plus efficaces et plus rapides, exactement comme on a pu gagner en productivité avec l’arrivée de l’informatique et d’internet.
Quelle est LA fonctionnalité phare que vous retenez, et que vous utilisez quotidiennement ?
Laurent J. – Le prompt « continue » 😉. La plupart des gens pensent que lorsque Chatgpt ne finit pas une phrase, il faut cliquer sur « regénérer une réponse », alors que lui dire simplement « continue » lui permet de reprendre à l’endroit où il s’est arrêté.
Louis B. – La génération de contenu, en particulier pour accélérer le travail de recherche. Je la complète avec des suggestions de pages secondaires pour enrichir rapidement un silo.
Yannick B. – Difficile d’avoir un tel retour d’expérience après aussi peu de temps à tester GPT-4, mais la capacité qu’a ce modèle à pouvoir donner des idées de départ lorsqu’on a un besoin est impressionnante. En SEO, pouvoir rapidement identifier des idées de contenu et comment le construire va clairement devenir indispensable, avec le bonus de pouvoir rédiger un brief de rédaction à envoyer à un rédacteur humain. Les fonctionnalités de création de code sont impressionnantes et beaucoup de non codeurs vont pouvoir résoudre des problèmes ponctuels rapidement avec ces solutions.
Quelles sont les améliorations que vous attendez dans les prochaines versions ?
Laurent J. – Je n’ai pas encore digéré ce que propose GPT 4 tellement les idées fusent. Peut-être l’intégration native de Dall-E pour pouvoir créer les contenus et les images.
Louis B. – Plus de vitesse et de performance et une créativité encore en hausse. Des fonctionnalités natives pour piloter les prompts (choisir le ton, l’identité de l’auteur et de la cible, le format de la réponse…). Des outils tiers spécialisés dans différents corps de métiers (assistants comptables, génération de textes juridiques…).
Yannick B. – Sur les IA générant du texte, une amélioration des capacités à analyser la demande sera sans doute encore une avancée supplémentaire. Mais nous ne sommes qu’à l’aube de cette tendance, et ce qui sera surtout une révolution ce sera lorsque les IA seront performantes en vidéo par exemple. Imaginez un peu dans quelques années que Netflix puisse proposer une série rien que pour vous, générée automatiquement en fonction de vos goûts, de vos acteurs et actrices préférés, de votre style d’humour et pourquoi pas même, en fonction de votre humeur du jour…
Nous vous proposons cette excellente contribution de Frenchweb.fr
OpenAI, la start-up spécialisée en intelligence artificielle, a lancé une série de plugins pour ChatGPT, son chatbot alimenté par l’IA, qui lui donnent désormais accès à des sources d’informations tierces et à des bases de données, y compris sur le web.
L’un des plugin les plus interessant est certainement le plugin de navigation web d’OpenAI, qui permet à ChatGPT de collecter des données provenant de sites pour répondre aux diverses questions posées. Le plugin utilise l’API de recherche Bing pour récupérer le contenu du web et affiche les sites web visités dans la réponse de ChatGPT, en citant ses sources.
OpenAI a publié un outil de code pour ChatGPT qui fournit au chatbot un interpreteur Python. Il prend en charge le téléchargement de fichiers vers ChatGPT et le téléchargement des résultats. OpenAI affirme qu’il est particulièrement utile pour résoudre des problèmes mathématiques, faire de l’analyse et de la visualisation de données et convertir des fichiers entre des formats.
En outre, des plugins permette de connecter ChatGPT avec des services tiers, notamment Expedia, Instacart, Kayak, Klarna, OpenTable, Shopify, Slack, et Zapier.
En exemple le plugin Klarna permet de proposer une expérience de shopping en ligne personnalisée et intuitive en fournissant des recommandations de produits sélectionnés aux utilisateurs qui demandent des conseils d’achat et d’inspiration sur la plateforme, ainsi que des liens pour acheter ces produits via l’outil de recherche et de comparaison de Klarna.
Vous pourrez faire de même sur le moteur de recherche de voyage Kayak, ChatGPT proposera des recommandations personnalisées en fonction de vos critères de recherche et des données de vos précédents voyages, ou requètes sur le site.
Même chose pour la recherche de restaurants disponibles sur OpenTable, la possibilité pour ChatGPT de passer des commandes auprès de magasins locaux grâce au plugin Instacart, ainsi que la connexion de Zapier à des applications comme Google Sheets, Trello et Gmail pour déclencher une série d’actions.
Contrairement à d’autres bots conversationnels, la capacité de ChatGPT à comprendre et analyser le langage naturel permet de fournir des réponses très pertinentes, un moyen pour de nombreux acteurs de l’ecommerce d’augmenter leurs ventes.
Disponibles en version alpha pour les utilisateurs et les développeurs de ChatGPT (sur la liste d’attente), OpenAI déclare qu’elle donnera initialement la priorité à un petit nombre de développeurs et d’abonnés à son plan premium ChatGPT Plus avant de déployer un accès à plus grande échelle et à une API.
Google prépare d’ores et déjà le terrain pour l’arrivée de l’IA dans Gmail. En effet, de nouveaux éléments d’interface dédiés ont été repéré dans la dernière version de la messagerie.
Comme vous le savez peut-être, la course à l’IA bat son plein depuis le lancement de Chat GPT en décembre 2022. Microsoft a d’ores et déjà fait fructifier son investissement de 10 milliards de dollars dans OpenAI en intégrant Chat GPT dans Bing et Edge.
Dernièrement, la firme de Redmond est allée plu loin en présentant Bing Image Creator, un générateur d’images alimenté par l’IA proprement révolutionnaire. De son côté, Google multiplie les efforts pour rester dans la compétition.
Google veut intégrer l’IA dans ses produits Workspace
La semaine passée, Google a confirmé que des fonctionnalités alimentées par l’IA et l’apprentissage automatique étaient prévues sur ses produits Workspace, comme Gmail ou Docs. Ces outils permettront notamment de rédiger des mails pour vous dans Gmail, de vous aider à écrire des documents dans Docs, ou encore de générer des formules dans Sheets par exemple.
“La phase suivante consiste à faire en sorte que les êtres humains soient assistés par un collaborateur IA qui travaille en temps réel de concert avec eux “, a résumé Google.
Dans la foulée de cette annonce, Google a déclaré qu’elle commencerait à essayer ces fonctionnalités auprès de “testeurs de confiance” en 2023. Et bien, il semble que l’entreprise soit déjà en train de préparer le terrain pour l’arrivée de l’IA, sur Gmail du moins.
Google prépare le terrain pour l’IA dans Gmail
En effet, comme le rapportent nos confrères du site 9to5Google, la dernière version de Gmail 2023.03.03.515729449 présente déjà de nouveaux éléments d’interface dédiés à l’IA.
On remarque notamment l’apparition d’un bouton “Aidez-moi à écrire” dans les brouillons. 9to5Google a pu activer le bouton et a partagé des images de son utilisation. En appuyant dessus, un champ de saisie de texte apparaît en bas de l’écran, vous demandant d’indiquer à “Gmail ce qu’il doit écrire pour vous”.
Crédits : 9to5Google
En fournissant une description détaillée, vous pourrez obtenir un aperçu du texte façonné par l’IA. Malheureusement, la version actuelle de l’appli ne permet pas d’obtenir un aperçu, encore moins un résultat.
Par ailleurs, le média spécialisé affirme avoir repéré un bouton “Affiner mon message”. Cet outil permettrait à l’IA d’améliorer la rédaction de votre courriel, que ce soit au niveau du style, de l’orthographe, de la syntaxe ou de la conjugaison. Lorsque l’IA a terminé son travail, il sera possible d’insérer son texte dans le corps de votre mail ou bien d’obtenir une autre proposition en cliquant sur “Voir autre”. Pour l’instant, impossible de savoir quand ces outils seront activés et disponibles pour l’ensemble des utilisateurs.
Nous vous proposons cette excellente contribution de Abondance
Ça y est ! Quelques jours après Microsoft, Google donne enfin l’opportunité de tester Bard, son IA conversationnelle. Une possibilité réservée pour le moment à quelques utilisateurs chanceux situés aux USA ou au Royaume-Uni.
Les 4 points à retenir :
Bard est accessible aux USA et au Royaume-Uni aux utilisateurs inscrits sur liste d’attente
Contrairement à Microsoft, l’IA de Google Bard est basée sur un LLM maison (LaMDA)
Conscient des imperfections de son outil, Google anticipe les critiques
Bard propose parfois plusieurs réponses, ou points de départ, pour une seule requête
Un test encore limité à certains territoires
Dans un article publié le 21 mars sur son blog officiel, Google a annoncé l’ouverture de l’accès à Bard, après une première phase de test à laquelle seuls quelques testeurs de confiance avaient été conviés. Désormais, il est donc possible de s’essayer à l’IA générative de Google… à condition de s’inscrire et de se situer aux USA ou au Royaume-Uni. La firme de Mountain View a d’ores et déjà annoncé le déploiement prochain de cet accès à d’autres territoires et d’autres langues.
Illustration d’une erreur : le nom scientifique de la plante ZZ n’est pas correct – Source : Google
Google anticipe déjà les critiques
Dans son annonce, Google présente Bard en ces termes : « Vous pouvez utiliser Bard pour augmenter votre productivité, accélérer vos idées et alimenter votre curiosité. Vous pourriez demander à Bard de vous prodiguer des conseils pour atteindre votre objectif de lire plus de livres cette année, d’expliquer la physique quantique en des termes simples ou de stimuler votre créativité en décrivant un article de blog. Nous avons beaucoup appris jusqu’à présent en testant Bard, et la prochaine étape critique pour l’améliorer est de recueillir des commentaires d’un grand nombre de personnes. »
Parfaitement conscient des erreurs et des approximations que peuvent être amenées à produire les IA conversationnelles, et certainement pour anticiper les critiques, Google insiste sur le côté expérimental de son outil et sur le fait que ce dernier aura besoin des feedbacks des utilisateurs en vue de l’améliorer.
Un système de réponses multiples
L’une des particularités les plus notables de Bard est qu’il affiche parfois plusieurs réponses (nommés « drafts » ou « brouillons » en français) pour une seule requête afin de permettre à l’utilisateur de choisir « le meilleur point de départ ». Une manière aussi de contourner les problèmes d’approximation ou les réponses trompeuses en laissant à l’utilisateur le soin de juger sur pièce. Autrement, selon les utilisateurs qui ont déjà pu s’y essayer, l’IA générative de Google semble peu ou prou au niveau de la concurrence, avec notamment la possibilité de générer des lignes de code.
Google Bard propose parfois plusieurs réponses – Source : Google
Pour le moment, l’une des observations les plus récurrentes, outre les inévitables réponses surprenantes qu’il peut générer, est que Bard ne propose pas la même transparence que Bing à propos des sources utilisées. De plus, d’autres critiques portent sur l’utilisation éventuelle de données issues de Gmail… Un surprenant aveu que l’on doit à Bard lui-même, rapidement démenti par Google, qui précise que Bard « n’est pas entraîné sur des données Gmail. » Une erreur à laquelle il fallait s’attendre, sans doute…
Pour rappel, Bard repose sur une version allégée et optimisée de LaMDA, famille de modèles de langage développés par Google. Par ailleurs, Google Bard, dont le début du développement remonte à 2015, n’a pas vocation à se substituer à Google Search, comme l’a récemment indiqué Jack Krawczyk, directeur de produit chez Google : « Bard est une expérience autonome, extérieure à Search ».